07h00 – … et mise au point par Donald Trump himself !
Martial law = Fake News. Just more knowingly bad reporting !
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) December 20, 2020
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05h00 – Hypothèses juridiques et possibilité de la loi martiale…
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20 décembre, 00h00 –
Samedi, le président Donald Trump a appelé ses partisans à se joindre à une manifestation prévue à Washington le 6 janvier 2021.
Trump a affirmé dans un tweet qu’il lui était « statistiquement impossible » d’avoir perdu les élections de 2020, en référence à un rapport que son conseiller commercial Peter Navarro a publié cette semaine.
Il a ensuite ajouté : « Grosse manifestation à Washington le 6 janvier. Soyez là, soyez en colère ! »
Dans une autre missive, le président a déclaré que le candidat démocrate à la présidence, Joe Biden, n’avait pas gagné l’élection.
« Il a perdu les 6 Swing States, de beaucoup. Ils ont ensuite déversé des centaines de milliers de votes dans chacun d’eux, et se sont fait prendre. Maintenant, les politiciens républicains doivent se battre pour que leur grande victoire ne soit pas volée. Ne soyez pas de faibles imbéciles » a-t-il écrit.
Biden a déclaré sa victoire aux élections, en se référant aux décomptes certifiés des votes des 50 États. Trump et d’autres républicains contestent les résultats des élections devant les tribunaux des principaux États.
Navarro a publié un rapport qui prétend que l’élection « pourrait bien avoir été volée » à Trump.
« Si ces irrégularités électorales ne font pas l’objet d’une enquête approfondie avant le jour de l’investiture et ne sont donc pas effectivement autorisées à être présentées, cette nation court le risque très réel de ne plus jamais pouvoir organiser une élection présidentielle équitable », a déclaré M. Navarro dans le rapport.
Les partisans de l’élection présidentielle devraient se réunir dans la capitale du pays lorsque les membres du Congrès se réuniront en session conjointe le 6 janvier pour compter les votes électoraux. Les organisateurs de « Stop the Steal » ont déclaré qu’ils organiseraient un événement.
Il existe une possibilité que le Congrès décide d’annuler les votes de certains États ou de les faire passer d’une liste électorale démocrate à une liste républicaine, mais certains experts estiment que c’est peu probable.
Lors du dépouillement, un partenariat composé d’au moins un représentant et d’au moins un sénateur peut déposer des objections par écrit aux votes d’un État. Cela déclenche le retrait des chambres et un débat sur l’objection. Les chambres peuvent alors voter sur l’objection ; il faut une majorité simple dans chaque chambre pour que l’objection soit retenue.
Une poignée de personnes qui seront présentes à la Chambre des représentants lorsque le Congrès se réunira – le député Mo Brooks (Républicain) et le député Marjorie Taylor Greene (Républicain), Barry Moore (R.) et Bob Good (R.) – se sont engagés à déposer des objections. Au moins cinq sénateurs ou sénateurs-élus ont déclaré qu’ils n’excluaient pas de se joindre à eux.
La direction républicaine du Sénat et de nombreux démocrates ont tourné ces projets en dérision.
« Il y a 0 chance que la Chambre renverse l’élection » a écrit le député Ted Lieu (Démocrate, Californie) sur Twitter.
« Je pense que sur la base du fonctionnement du système, la décision prise hier par le Collège électoral a été déterminante » a déclaré aux journalistes cette semaine le leader de la majorité au Sénat, Mitch McConnell (Républicain), en référence aux Grands électeurs qui votent dans leurs États respectifs.
« Le Collège électoral a soumis son vote. Et je pense aussi que pour l’année prochaine, il est très important que chacun d’entre nous s’engage à travailler avec le président élu Biden et le vice-président élu [Kamala] Harris » a déclaré aux journalistes le sénateur Todd Young (Républicain), président de la commission sénatoriale nationale républicaine.
Traduction E&R de l’article de The Epoch Times.
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05h00 – Dernière vidéo d’Alexis Cossette de Radio Québec : « Cyberguerre : l’État d’urgence bientôt déclaré ? »
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04h30 – Donald Trump vient de tweeter à propos de la Cour suprême.
I am very disappointed in the United States Supreme Court, and so is our great country !
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) December 18, 2020
« Je suis très déçu par la Cour suprême, comme l’est aussi notre grand pays ! »
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18 décembre, 02h00 – Lin Wood : « Trump a un plan » – Nouveau courriel de Hunter Biden – Le sénateur McConnell compromis ?
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06h00 – Etats des lieux des stratégies possibles de Trump et son équipe.
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04h00 – Mardi, le directeur du renseignement national John Ratcliffe a déclassifié et remis au Congrès des notes manuscrites de l’ancien directeur de la CIA John Brennan ainsi qu’un renvoi d’enquête de la CIA à James Comey et Peter Strzok leur demandant d’enquêter sur la connaissance par les Russes de l’opération de diffamation de la collusion anti-Trump d’Hillary Clinton.
Les hauts responsables des services de renseignement américains étaient si inquiets à l’approche des élections de 2016 que les Russes soient au courant des plans de la candidate démocrate à la présidence, Hillary Clinton, de salir Donald Trump en tant qu’agent russe qu’ils ont personnellement informé le président Barack Obama à ce sujet, comme le montrent des documents récemment déclassifiés de la Central Intelligence Agency (CIA). Les responsables de la CIA ont également demandé au FBI d’enquêter sur la connaissance par la Russie de l’opération de diffamation de la campagne Clinton.
Des notes manuscrites récemment déclassifiées de l’ancien directeur de la CIA, John Brennan, montrent que la communauté du renseignement américaine savait en 2016 que les services de renseignement russes surveillaient activement, et injectaient potentiellement des désinformations dans le récit de la collusion anti-Trump de Clinton. Les renseignements concernant la connaissance par la Russie des plans de campagne de Clinton étaient si préoccupants pour Brennan et d’autres responsables de la sécurité nationale qu’ils ont personnellement informé Obama de l’affaire dans le Bureau ovale à l’été 2016. Les notes manuscrites de Brennan ont été déclassifiées par le directeur du renseignement national (DNI) John Ratcliffe et fournies au Congrès mardi après-midi.
Selon les notes déclassifiées, Brennan et la communauté du renseignement américain savaient, des mois avant l’élection de 2016, que la diffamation pour collusion était le résultat d’une opération de campagne menée par la candidate démocrate à la présidence, Hillary Clinton.
« Nous obtenons des informations supplémentaires sur les activités russes grâce à [CENSURÉ] », indiquent les notes manuscrites de Brennan. « Cite la prétendue approbation par Hillary Clinton, le 26 juillet, d’une proposition de l’un de ses conseillers en politique étrangère visant à vilipender [sic] Donald Trump en provoquant un scandale prétendant à l’ingérence des services de sécurité russes. »
Traduction E&R partielle de l’article de The Federalist comportant une copie des documents déclassifiés.
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03h00 – Lundi, lors d’une apparition à l’émission « Lou Dobbs Tonight » de FBN, le député Mo Brooks (Républicain, Alabama) a juré de ne pas se laisser abattre sans se battre, bien que les États aient certifié les résultats du Collège électoral plus tôt dans la journée, ce qui a ouvert la voie à Joe Biden pour devenir le président élu (vidéo en anglais).
Brooks a parlé à l’animateur Lou Dobbs de ses efforts pour contester le Collège électoral, ce qui s’est produit aussi récemment qu’en 2017 après la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle.
« Eh bien, cela s’est produit à de nombreuses reprises dans le passé » a déclaré M. Brooks. « Apparemment, certaines personnes ont oublié leur histoire. A titre d’exemple, les démocrates de la Chambre ont essayé en 2017 lorsqu’ils ont tenté de faire sauter les votes de l’Alabama pour Donald Trump. La Géorgie, de la même façon, les démocrates de la Chambre ont essayé de le faire. Barbara Boxer a essayé de faire sauter l’Ohio pour George Bush en 2005, ce n’est donc pas inhabituel. La loi est très claire, la Chambre des représentants en combinaison avec le Sénat des États-Unis a l’autorité légale d’accepter ou de rejeter les soumissions de vote du Collège électoral des États qui ont des systèmes électoraux si défectueux qu’ils ne sont pas dignes de notre confiance. »
« Et dans ce cas, avec ce qui s’est passé au niveau national, je suis tout à fait convaincu que si nous ne comptions que les votes valides exprimés par les citoyens américains éligibles, Donald Trump a gagné le Collège électoral, et que nous ne devrions pas compter des votes invalides et mettre en place un président des États-Unis illégitime » a-t-il poursuivi.
Le membre républicain du Congrès de l’Alabama s’est également engagé à ne pas faire partie de ce qu’il considère comme le « caucus de la reddition » dans le camp républicain, ajoutant qu’il a besoin qu’un sénateur américain se joigne à son défi au Collège électoral pour que celui-ci soit couronné de succès.
« Eh bien, notre pays est une république, et le fondement d’une république est un système de vote honnête et précis. Et si vous n’avez pas un système de vote honnête et précis, alors vous pouvez tout aussi bien rejeter l’affirmation selon laquelle vous êtes une République. Vous avez perdu ce droit. Vous avez perdu le contrôle de votre gouvernement, et dans ces circonstances, ceux qui peuvent voler le plus de votes, qui peuvent se livrer à la plus grande fraude électorale et s’en tirer à bon compte vont être ceux qui dirigent le perchoir à Washington DC. Ce n’est pas ce que nos pères fondateurs voulaient. Ce n’est pas ce que voulaient un million d’Américains qui ont perdu la vie dans des guerres, nous donnant cette République, cette démocratie où nous pourrions contrôler notre propre destin et notre propre destinée ».
« J’ai donc le choix, soit je reste assis et je me rends et je fais partie du caucus de la reddition, soit je me bats pour notre pays. Et c’est ce que je vais faire. Ainsi, le 6 janvier, je vais m’opposer aux propositions de vote du collège électoral de divers États qui, à mon avis, ont des systèmes électoraux tellement défectueux que leur décompte des voix est indigne de notre ratification au Congrès des États-Unis. Ce dont j’ai besoin, c’est d’un sénateur des États-Unis qui se joindra à moi. Si nous avons un membre de la Chambre des représentants et un sénateur, alors, bon sang, cela oblige à un vote de la Chambre et à un vote au Sénat sur l’acceptation ou le rejet de ce système électoral systématiquement défectueux. Je veux le rejeter afin que nous puissions avoir une élection honnête, juste et précise. »
Traduction E&R de l’article Breitbart
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16 décembre, 00h00 – Charles Gave est invité sur TV Libertés pour parler des élections américaines. Emission enregistrée le 8 décembre et mise en ligne le 15 décembre, mais reste d’actualité.
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05h30 – Le rapport criminalistique des machines à compter Dominion du Comté d’Antrim (Michigan) montre que « le système de vote Dominion est conçu intentionnellement et à dessein avec des erreurs internes permettant une fraude systématique et une influence sur le résultat des élections ».
Le lien vers le rapport complet (en anglais) est fourni dans le Tweet.
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05h00 – La Cour suprême du Wisconsin a rendu ce matin deux avis concernant l’élection de 2020. La Cour s’est prononcée contre le président dans sa tentative d’invalider environ 220.000 votes en faveur de Joe Biden dans une décision à 4 contre 3.
La Cour a affirmé que la contestation par M. Trump des bulletins de vote des électeurs indéfiniment confinés était « sans fondement » dans ce cas particulier. Elle a également jugé que le reste des contestations du président « ont échoué en raison du délai trop long ». Cela signifie simplement que la Cour a déclaré que l’équipe Trump était arrivée trop tard (une décision commune à tous les États pivots).
La juge Jill Karofsky, qui avait fait connaître par écrit son accord, a déclaré lors de l’audience de samedi que l’équipe Trump voulait « renverser cette élection pour que le roi puisse rester au pouvoir ».
Cependant, l’équipe Trump a obtenu une victoire concernant les électeurs indéfiniment confinés dans une affaire qui fait l’objet d’une publicité beaucoup moins importante ce lundi matin.
La Cour a statué en faveur de Mark Jefferson, directeur exécutif des républicains dans le Wisconsin, en disant que les élections du Wisconsin avaient tort d’affirmer que les électeurs pouvaient prétendre au statut d’« indéfiniment confinés » en raison de COVID-19. La loi du Wisconsin stipule qu’une personne ne peut être classée comme indéfiniment confinée que sur la base de son âge, de sa maladie physique (et non de celle d’un autre) ou de son infirmité.
La Cour a noté qu’une vérification doit être faite dans chaque cas avant de rejeter un bulletin de vote.
La différence entre ces deux dossiers est que dans le précédent, le président Trump a cherché à rejeter 220.000 bulletins de vote. Au lieu de cela, la Cour a estimé que les bulletins indéfiniment confinés (une partie de ces 220.000) doivent être examinés au cas par cas.
Environ 215.000 électeurs ont été identifiés comme indéfiniment confinés cet automne. C’est près de quatre fois plus que lors de l’élection de 2016.
Or, Biden mène Trump d’à peine plus de 20.000 voix dans le Wisconsin.
Traduction E&R du RF Angle
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04h00 – Mike Pence, sénateur républicain, peut invalider les électeurs présidentiels démocrates en Arizona, Géorgie, Michigan, Pennsylvanie et Nevada
La Constitution prévoit un processus pour mettre fin à une élection contestée, et il est possible que ce soit ce qu’il est en train de se passer.
Comme le président Donald Trump devrait recevoir un nombre inattendu de votes du Collège électoral de la part d’États où les controverses et les contestations sont en cours en vue de l’élection présidentielle de 2020, l’occasion se présente pour le vice-président Mike Pence et le Sénat dirigé par les républicains de refuser – avec l’aide du représentant Mo Brooks dans le Sud – les votes du Collège électoral des États pivots dont les résultats électoraux sont suspects ou frauduleux.
Comme l’a rapporté exclusivement National File aujourd’hui, les responsables ont confirmé que cette tâche est en cours en Géorgie, en Pennsylvanie, au Nevada et dans d’autres États pour envoyer une liste d’électeurs présidentiels ayant l’intention de voter pour le président Donald Trump.
Cela ouvre la porte à un événement constitutionnel qui n’a pas été vu depuis 1876, comme l’a déjà indiqué National File.
Le National File s’est entretenu aujourd’hui en exclusivité avec l’avocat constitutionnel Ivan Raiklin, qui avait précédemment exposé les grandes lignes de ce qui se passe actuellement, afin d’en savoir plus sur ce qui va probablement se dérouler.
Selon Raiklin, le 6 janvier, lorsque le Congrès entrera dans une session conjointe, sous la présidence de Mike Pence, les votes du Collège électoral des États commenceront à être comptés par ordre alphabétique.
Lorsque l’Arizona sera atteint, un représentant américain en exercice, probablement le député Mo Brooks, qui a déjà indiqué qu’il le ferait, pourra s’y opposer. Si un sénateur américain en exercice est d’accord – les experts suggérant que le sénateur Ted Cruz (Texas), le sénateur Rand Paul (Kentucky) ou le sénateur Ron Johnson (Wisconsin) sont tous des candidats probables – alors l’objection a rempli « l’exigence minimale légale » et sera notée.
À ce stade, le Sénat américain interrompra la session conjointe pour délibérer sur l’objection et déterminer s’il accepte la liste de l’Arizona. Le Sénat, qui sera apparemment toujours détenu par une majorité républicaine le 6 janvier, pourra alors choisir, selon la ligne du parti, de ne pas accepter la liste électorale de l’Arizona.
En attendant, la Chambre, dirigée par la Présidente Nancy Pelosi (Démocrate, Californie), acceptera les électeurs d’origine de l’Arizona. Pence servirait alors de vote décisif, refusant d’accepter les électeurs originaux de l’Arizona.
Ce processus pourrait se poursuivre pour chaque État contesté, jusqu’à ce que ni le président Trump ni Joe Biden n’aient obtenu le nombre de voix électorales requis.
Un scénario probable est que le Congrès confirme finalement 232 votes électoraux pour le président Trump, et 227 pour Joe Biden. À ce stade, explique M. Raiklin, le 12e amendement entre en jeu, car une « élection imprévue » (contingent election) à la Chambre des représentants sera nécessaire pour déterminer le prochain président.
« Pour le choix du président, les votes seront effectués par les États » a déclaré M. Raiklin. « Ce qui signifie que chaque État a une voix pour le président. »
Bien que la Chambre des représentants compte plus de représentants en fonction de la population, il y a actuellement 27 États qui ont envoyé des représentants républicains à la Chambre, et 20 États qui ont envoyé des représentants démocrates à la Chambre. Trois États ont une répartition égale.
Lors d’une « élection imprévue » (contingent election), les États républicains voteraient pour le président Trump, tandis que les États démocrates voteraient pour Biden. Le président Trump remporterait probablement ce scénario par 7 États.
Bien que ce scénario puisse sembler improbable, M. Raiklin souligne qu’il existe des preuves que ce processus est déjà en cours au Sénat américain.
Raiklin note cependant que « Pelosi pourrait essayer de bloquer l’audition conjointe et de mettre le Sénat à la porte pour empêcher Mike Pence de présider » dans un pur acte partisan.
Traduction E&R du National File
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03h00 – Le président Trump affirme qu’il va « tout déclassifier » concernant les mensonges et les trahisons des démocrates
Le président Donald Trump a tweeté samedi qu’il avait l’intention de « tout déclassifier », préoccupé par la rétention par le ministère de la Justice et le procureur général William Barr d’informations sur une enquête en cours du ministère de la Justice concernant Hunter Biden, le fils du candidat démocrate à la présidence Joe Biden.
Hunter Biden a reconnu cette semaine qu’il fait l’objet d’une enquête sur des questions concernant ses déclarations d’impôts et d’éventuels revenus non déclarés de la société pétrolière et gazière ukrainienne, Burisma. Comme l’a noté le Daily Wire à la fin de la semaine dernière, d’autres informations semblent avoir émergé, créant des questions sur les relations de Hunter Biden avec l’étranger, y compris une possible implication de la Chine.
« En plus du Delaware, l’unité de lutte contre les fraudes en matière de valeurs mobilières du district sud de New York a également examiné les finances de Hunter Biden, selon la personne ayant une connaissance directe de l’enquête » a rapporté Politico. « La personne a déclaré que, dès le début de l’année dernière, les enquêteurs du Delaware et de Washington ont également enquêté sur le blanchiment d’argent potentiel et les liens de Hunter Biden avec l’étranger. »
Vendredi, le Wall Street Journal a rapporté que des tensions ont éclaté à la Maison Blanche, suite à la nouvelle que le procureur général de Trump, William Barr, était au courant de l’enquête sur les relations d’affaires de Hunter Biden avant l’élection présidentielle mais ne l’a pas rendue publique – une décision qui, selon le président, lui a coûté son soutien et lui a peut-être coûté l’élection.
« M. Trump, lors d’une réunion vendredi, s’est emporté contre un rapport du Wall Street Journal selon lequel M. Barr connaissait l’existence d’une enquête fédérale sur Hunter Biden avant l’élection mais s’est efforcé de l’empêcher d’être rendue publique, a déclaré une personne connaissant bien la conversation. Lors de la réunion, M. Trump a envisagé de licencier M. Barr, ont déclaré des personnes connaissant la conversation, ajoutant qu’il n’est pas clair si M. Trump a l’intention de donner suite » a noté le WSJ.
Samedi soir, le président a suggéré qu’il pourrait demander des représailles contre Hunter Biden – et peut-être Barr – dans une avalanche de tweets où il s’est engagé à « tout déclassifier ».
« Si Joe Biden prend le pouvoir, il n’arrivera rien à Hunter ou à Joe » s’exclamait Trump. « Barr ne fera rien, et le nouveau groupe de partisans qui arrive va rapidement tout faire disparaître. »
« Même chose avec Durham. Nous les avons surpris en train d’espionner, de trahir et plus encore (la partie la plus difficile), mais la « Justice » a pris trop de temps. Ce sera mort » a-t-il déclaré, faisant référence au risque que le procureur américain John Durham ne puisse pas conclure son enquête pour savoir si l’administration Obama a lancé une enquête sur les liens entre la campagne présidentielle de 2016 et les responsables russes comme une forme de représailles politiques.
Bien que l’on ne sache pas clairement ce que Trump prévoit de déclassifier, le Wall Street Journal a rapporté samedi que le président envisage plusieurs enquêtes du conseil spécial : une sur les relations d’affaires de Hunter Biden et les problèmes fiscaux présumés, une sur les allégations de fraude électorale généralisée lors de l’élection présidentielle de 2020 et même une enquête sur Barr lui-même, suite aux commentaires de Barr la semaine dernière selon lesquels le Département de la Justice ne soupçonne pas un fraude nationale pour renverser les élections de novembre.
Traduction E&R du Daily Wire
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02h00 – C’est au tour de l’Arizona de tenir une audience sur les fraudes. Le direct est disponible sur la chaîne Right Side Broadcasting Network :
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01h00 – Un rappel salutaire de notre chère et irremplaçable Laurence :
USA
Rappel
Légalement personne n’est président avant la validation par le congrès le 6 janvier.— LAURENCE HAIM (@lauhaim) December 14, 2020
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00h30 – Présidentielle américaine : Joe Biden officiellement élu par le collège électoral
Les 538 grands électeurs du collège électoral ont voté ce lundi 14 décembre dans les cinquante États américains et le district de Columbia pour officialiser l’élection de Joe Biden.
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15 décembre, 00h00 – Le ministre de la justice américain William Barr (enfin) viré par Donald Trump.
William Barr, dont Wikipédia nous dit :
Barr est né à New York en 1950. Son père, Donald Barr, a enseigné la littérature anglaise à l’Université Columbia avant de devenir directeur de la Dalton School à Manhattan et plus tard de la Hackley School à Tarrytown, New York , tous deux membres de la Ivy Preparatory School League . La mère de Barr, Mary Margaret ( née Ahern), a également enseigné à Columbia. Le père de Barr était juif et a grandi dans le judaïsme mais s’est converti plus tard au christianisme et a rejoint l’ Église catholique.
Bill Barr, donc, qui a toujours freiné les dossiers importants ces derniers mois (en particulier sur Biden, père et fils) jusqu’à finir par déclarer il y a peu que le FBI et son ministère n’avaient constaté aucune irrégularité dans l’élection présidentielle…
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08h00 – Pour passer un bon dimanche, rappelons-nous la carte des résultats des élections américaines par comtés, et admirons la vague bleue promise par tous les médias et les sondeurs.
Si les démocrates ne pouvaient pas compter sur les citadins des mégapoles, les happy fews de la mondialisation, sur leur marché électoral issu des minorités de toutes sortes (ethniques, sexuelles, etc.), mais aussi sur toute la fraude massive que l’on peut organiser dans d’immenses métropoles – souvent gangrenées par la mafia (Detroit, Philadelphie, Chicago, etc.) – par rapport à des petites villes de province, et s’ils n’étaient pas soutenus quasi-unanimement par tous les Big medias, la Big tech et autres peoples, artistes ou sportifs, alors les démocrates ne seraient qu’une anecdote dans le paysage politique américain.
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06h00 – L’équipe de campagne de Donald Trump fait appel de l’affaire en première instance rejetée samedi par la cour fédérale du Wisconsin du 7e circuit.
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04h00 – Twitter interdit à ses utilisateurs de liker et commenter certains tweets de Donald Trump
Le réseau social Twitter a désactivé les fonctionnalités « like » et « commentaires » de publications qu’il juge « contestées » du président américain dénonçant notamment des fraudes lors de l’élection présidentielle.
« Pourquoi ne pouvez-vous pas aimer ce tweet ? Nous essayons d’éviter qu’un tweet comme celui-ci, qui enfreint les règles de Twitter, puisse toucher plus de monde, et nous avons donc désactivé la plupart des manières d’interagir avec lui. Si vous voulez en parler, vous pouvez toujours retweeter avec un commentaire. »
Tranquille Twitter, OKLM comme disent les jeunes !
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02h00 – Laurence Haïm fait de la publicité pour les ouvrages Kontre Kulture (probablement bien malgré elle) :
Acquérir le roman de John Kennedy Toole :
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13 décembre, 00h00 – Donald Trump va-t-il déclassifier certains dossiers ?
Todd Starnes : « Au point où on en est, Donald Trump devrait tout déclassifier. Absolument tout. »
Donald Trump : « Je l’ai fait. Je suis d’accord ! »
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23h30 – Alexis Cossette de Radio Québec nous fait part des ses observations concernant les derniers rebondissements des élections américaines et en particulier le rejet de la Cour suprême et les éventuels tribunaux militaires (à propos des militaires, voir notre information précédente).
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23h00 – Les aspirants de la marine et les cadets de l’armée ont accueilli le président Trump avec des acclamations et des chants en clamant « USA ! USA ! » pour le 121e match annuel de football entre l’armée et la marine.
La vidéo complète (10 minutes). On remarquera à la fin l’ovation des milliers de militaires lorsque le nom du président Donald Trump (qui est le seul à ne pas porter de masque) est énoncé au micro, par deux fois.
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06h00 – Rudy Giuliani, avocat de Donald Trump, revient sur le rejet de la Cour suprême.
Rudy Giuliani affirme que la bataille juridique du président Donald Trump se poursuivra malgré le rejet par la Cour suprême d’une tentative du procureur général du Texas de bloquer les bulletins de vote de millions d’électeurs dans les États pivots qui se sont prononcés en faveur de Joe Biden.
« L’affaire n’a pas été rejetée sur le fond, mais sur la qualité pour agir » a déclaré vendredi M. Giuliani lors d’une apparition à l’émission « Stinchfield » de Newsmax TV.
« La réponse à cela est de porter l’affaire devant le tribunal de district par le président, par certains des électeurs, en alléguant les mêmes faits où il y aurait qualité pour agir et donc obtenir une audience. »
L’ordonnance du tribunal a été rendue sans aucune divergence. Le Collège électoral se réunira lundi pour confirmer la victoire de Biden.
« Le pire dans tout ça, c’est que les tribunaux disent qu’ils veulent rester en dehors de tout ça, qu’ils ne veulent pas nous entendre et qu’ils ne veulent pas que le peuple américain entende ces faits », a déclaré M. Giuliani.
« C’est une terrible, terrible erreur. Ces faits resteront une plaie ouverte dans notre histoire, à moins qu’ils ne soient résolus. Ils doivent être entendus, ils doivent être diffusés et quelqu’un doit décider s’ils sont vrais ou faux et un tribunal doit avoir le courage de prendre cette décision. »
Le procès, intenté par le procureur général du Texas Ken Paxton, visait à poursuivre la Pennsylvanie, la Géorgie, le Wisconsin et le Michigan et à invalider leurs résultats électoraux. La Cour suprême a déclaré que le Texas n’avait pas démontré « un intérêt juridiquement recevable dans la manière dont un autre État conduit ses élections ».
Traduction E&R de l’article Newsmax
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12 décembre, 02h00 – La Cour suprême rejette le recours du Texas, soutenu par 17 autres États.
Comme l’on pouvait s’y attendre, et pour paraphraser Alain Soral, la Cour suprême n’aura pas eu les burnes de s’inquiéter du sort des urnes.
Il faut dire que remettre en cause des élections aussi sensibles et cruciales aurait probablement pu engendrer des émeutes savamment organisées par des groupes très financés comme le sont les Black Live Matters ou autres antifas. Mais, en face, le peuple de rednecks, ces déplorables d’Hillary Clinton, vont-ils se faire voler une élection dont tout démontre qu’il s’agit d’une fraude généralisée ? Ces petits Blancs ouvriers (mais pas seulement, Trump ayant réussi l’exploit unique de rassembler plus de Noirs et de Latinos que n’importe quel candidat républicain) vont-ils laisser faire ou, armés, descendre dans la rue et se défendre ?
Que va faire Donald Trump et son équipe ? Même si l’étau se ressert, Mike Kelly, un républicain de Pennsylvanie, a déposé vendredi une nouvelle motion devant la Cour suprême et l’avocat Lin Wood a fait de même avec un recours concernant les fraudes en Géorgie. Mais le président Trump va-t-il solliciter l’armée ? Déclarer l’état d’urgence, invoquer la loi martiale, comme conseillé par le Général Flynn ?
On se demande quand même comment, alors que le président Trump avait anticipé et annoncé depuis longtemps cette fraude, son équipe n’a pas pu ni su mettre en place des enquêtes préliminaires, des pièges efficaces permettant de dévoiler les malversations électorales, des caméras dans les bureaux de vote, organisé des supervisions massives par des armées de scrutateurs, etc.
La guerre n’est pas terminée, même si actuellement nous perdons les batailles judiciaires les unes après les autres. Mais, « Por ahora (Pour le moment) » avait dit Hugo Chávez le 4 février 1992, arrêté lors de son coup d’État raté. On connait la suite.
L’optimisme d’un Alexis Cossette, même s’il nous rassérène le cœur et l’esprit, n’y suffira plus si cela continue. Gardons tout de même espoir et surveillons la suite des événements. E&R reste sur le pont tant que le dernier passager n’a pas pris place dans un canot de sauvetage car l’histoire est un match sans fin !
Une belle manoeuvre judiciaire qui établit la neutralité de la Cour Suprême, alors que les détracteurs de Trump essaient de faire passer les nominations de Trump comme partisanes. Les jugements sur les serveurs Dominion et l’implication de la Chine seront d’autant plus crédibles https://t.co/0nXDBNx3AW
— Radio-Québec™ (@Alexis_Cossette) December 12, 2020
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22h00 – Profitons de la petite pause actuelle dans l’audition du Wisconsin pour relayer cet extrait édifiant, mais déjà maintes fois entendu, du témoignage d’une personne âgée (désormais décédée, en octobre) qui s’est vu refusée le droit de voter pour Trump par sa maison de retraite.
Audience du Wisconsin ce 11/12 : la résidente d’une maison de retraite médicale voulait voter Trump – le personnel infirmier lui refuse « Non, c’est un mauvais homme. Nous votons pour Biden ici » et la contraint à cocher son bulletin pour le démocrate pic.twitter.com/lp82YJ3Z7E
— #MakeFranceGreatAgain #MAGA (@brunolp30) December 11, 2020
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21h00 – Ce 11 décembre 2020, c’est au Wisconsin qu’a lieu une seconde audition publique, après celle du 4 décembre. En, effet, des auditions publiques ont déjà été tenues à ce jour dans 5 états clés : en Pennsylvanie le 27 novembre, en Arizona le 30 novembre, au Michigan le 1er décembre et en Géorgie le 3 décembre. Nous en avons systématiquement fait mention et rapporté les éléments essentiels.
Voici le lien vers le direct (vidéo en anglais) :
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04h00 – Il est toujours réjouissant, lorsque l’actualité est assez calme, de naviguer sur le compte Twitter de notre amie Laurence Haim qui, dans sa candeur et sa naïveté, donne souvent des bonnes informations en creux de mauvaises informations.
Exemple pratique :
Avec Nancy Pelosi 80 ans qui ne veut pas partir et ce clan de vieux, les démocrates ont,oui,réussi l’impensable : après 4 ans de Trump, ils ont la plus faible majorité de l’histoire à la chambre des représentants 220-213 !!!
— LAURENCE HAIM (@lauhaim) December 9, 2020
Oui, Laurence, c’est fou, les démocrates ont la plus faible majorité de l’histoire des Etats-Unis, mais aussi ils n’ont pas le Sénat (sous réserve d’une mauvaise nouvelle le 5 janvier) et ils ont perdu la Floride et l’Ohio (ce qui ne peut pas les faire gagner en théorie) et quasiment tous les comtés-baromètres (ceux qui indiquent à coup sûr le vainqueur depuis des décennies), etc. !
Mais au lieu de se demander si finalement ces élections ne seraient pas un peu truquées, elle incrimine Nancy Pelosi et ses 80 ans ainsi que « ce clan de vieux ». Pauvre Laurence.
Pour le reste, notre journaliste ex-LREM a au moins une vertu, celle de ne pas pratiquer la politique de l’édredon de nos médias nationaux. Elle s’inquiète à raison depuis le début des différents recours judiciaires mais aussi de la tension qui monte dans le pays. Les risques sont grands mais la presse et les télévisions célèbrent Joe Biden pendant que la colère gronde. L’orchestre joue mais le Titanic sombre.
Le risque ! Jamais je n’ai vu l’Amérique ainsi. Le refus de Trump d’accepter les résultats, sa volonté d’aller jusqu’à la Cour Supreme, Qanon en Georgie .. et la pandémie ! https://t.co/8sBkGhOZbr
— LAURENCE HAIM (@lauhaim) December 9, 2020
Ici, elle ressent avec justesse le danger de la requête de l’Etat du Texas auprès de la Cour suprême, suivi par pas moins de 17 Etats !
Breaking ! 17 états se joignent désormais au Texas pour demander à la Cour Suprême de statuer sur la constitutionalite de l’élection présidentielle.
— LAURENCE HAIM (@lauhaim) December 9, 2020
Et elle s’inquiète de l’enquête qui commence contre Hunter Biden, le fils du futur-ex-président (il faut « prendre les choses très au sérieux ») :
Ca commence. Le procureur du Delaware enquête sur les declarations fiscales d ‘Hunter Biden le fils de Joe Biden. L’équipe Biden diffuse un communiqué de Hunter disant « prendre les choses très au sérieux «
— LAURENCE HAIM (@lauhaim) December 9, 2020
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02h00 – Youtube : la censure tourne à plein régime, tout à fait officiellement et à visage découvert. Désormais, seul le discours officiel sera relayé et la plateforme vidéo renverra les utilisateurs vers des chaînes officielles et grand public.
YouTube a en effet annoncé qu’à partir du 9 décembre, il bloquera et supprimera les contenus qui contiennent des déclarations « alléguant une fraude ou des erreurs généralisées qui ont changé le résultat d’une élection présidentielle américaine historique ».
La société propriétaire de Google a déclaré que c’était parce que la date limite de la « sphère de sécurité » pour l’élection présidentielle du 8 décembre était passée, affirmant que « suffisamment d’États ont certifié leurs résultats électoraux ».
Selon la société basée à San Bruno, en Californie, « nous commencerons à supprimer tout contenu ajouté aujourd’hui (ou n’importe quand après) qui induit les gens en erreur en alléguant que des fraudes ou des erreurs généralisées ont changé le résultat de l’élection présidentielle américaine de 2020, conformément à notre approche des élections présidentielles américaines historiques ».
« Par exemple, nous retirerons les vidéos prétendant qu’un candidat à la présidence a gagné l’élection en raison de dysfonctionnements logiciels ou d’erreurs de dépouillement généralisées. Nous allons commencer à appliquer cette politique dès aujourd’hui, et nous allons l’intensifier dans les semaines à venir. […] Comme toujours, les reportages et les commentaires sur ces questions peuvent rester sur notre site s’il existe un contexte éducatif, documentaire, scientifique ou artistique suffisant. »
La société a ensuite déclaré qu’elle « guidera » les gens vers des « informations faisant autorité » fournies par des organes d’information d’entreprise tels que ABC, CBS, NBC ou CNN.
Une raison supplémentaire pour rejoindre Odysee, comme ERTV. Les méthodes staliniennes de Youtube et des autres réseaux sociaux ne font qu’accélérer leur perte en dopant les concurrents décentralisés et non censurables. Remercions-les donc pour leur zèle qui ne connaît désormais plus de limites.
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11 décembre, 00h00 – Quelques nouvelles des élections américaines par la chaîne NTD*
*New Tang Dynasty (NTD) est une chaîne de télévision ayant son siège à New York. Créée en 2001 sous le sigle NTDTV en tant que chaîne de langue chinoise par des pratiquants du Falun Gong ayant émigré en Occident, elle a depuis étendu son offre à d’autres langues et s’affiche depuis la mi-2010 sous le sigle NTD. Son contenu éditorial reste centré sur la Chine continentale et couvre fréquemment des sujets censurés tels que les droits de l’homme et la démocratie. (source Wikipedia)
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06h00 – Hunter Biden, le fils de Joe Biden, est visé par une enquête sur sa situation fiscale. Il a depuis longtemps été accusé par Donald Trump et son équipe d’être lié à des affaires de corruption en Ukraine et en Chine.
Or, d’après CNN, les enquêteurs examinent plusieurs questions financières, notamment la question de savoir si Hunter Biden et ses associés ont violé les lois sur la fiscalité et le blanchiment d’argent lors de transactions commerciales dans des pays étrangers, principalement en Chine.
Le président sortant Donald Trump a qualifié au cours de la campagne présidentielle la famille Biden d’« entreprise criminelle », pointant notamment les affaires de Hunter Biden en Ukraine et en Chine au moment où son père était vice-président de Barack Obama (2009-2017). Il accuse notamment Joe Biden d’avoir obtenu le limogeage d’un procureur ukrainien afin de protéger les affaires de son fils, qui siégeait alors au conseil d’administration d’une entreprise gazière, Burisma, visée par une enquête pour corruption ouverte par le procureur en question.
« Le président élu Biden est extrêmement fier de son fils, qui a dû faire face à de terribles défis, notamment les viles attaques personnelles des derniers mois, pour en sortir finalement renforcé » a déclaré l’équipe de transition de Joe Biden dans le même communiqué.
Le New York Post affirmait s’être procuré une copie du disque dur d’un ordinateur portable qu’Hunter Biden aurait laissé dans un magasin de réparation du Delaware et n’aurait jamais récupéré. Le propriétaire du magasin aurait transmis l’ordinateur au FBI après avoir copié son contenu. Dans l’un des courriels récupérés, daté de 2015, un membre de la direction de la société Burisma remercierait Hunter Biden pour son « invitation à Washington » et « cette occasion de rencontrer (son) père », alors vice-président.
Bien sûr la presse internationale, et encore davantage la presse française, avait fait peu de cas de cette découverte. L’ordinateur du fils de Joe Biden contenait aussi de nombreuses vidéos à caractère pornographique ainsi que de consommation de drogues.
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04h00 – Pour Donald Trump, le rejet dont nous parlions plus bas de la part de la Cour suprême à propos d’une procédure concernant l’Etat de Pennsylvanie, n’était pas l’affaire importante. L’affaire qui compte est celle du Texas qui a saisi la SCOTUS (Cour suprême) que nous avons détaillée ci-dessous, le 9 décembre à 5h00, et suivie par la Louisiane dont nous parlions à 6h00.
This was not my case as has been so incorrectly reported. The case that everyone has been waiting for is the State’s case with Texas and numerous others joining. It is very strong, ALL CRITERIA MET. How can you have a presidency when a vast majority think the election was RIGGED ? https://t.co/ZKu9sNVz2U
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) December 9, 2020
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03h00 – Rudy Giuliani, avocat de Donald Trump et ancien maire de New York, a contracté le (ou la) COVID il y a 3 jours. Il nous dit ici qu’il va désormais parfaitement bien, qu’il va suivre un confinement de quelques jours par précaution et qu’il a pris la même thérapie que Donald Trump (probablement le Regeneron, bien qu’officiellement le président américain ait pris aussi du Remdésivir, ce qui nous semble plutôt une annonce politique qu’une réalité vu son inefficacité voire sa dangerosité).
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10 décembre, 02h00 – De l’influence éventuelle de la Chine aux Etats-Unis et dans les élections américaines. D’après un économiste chinois, dans une vidéo désormais disparue, depuis l’élection de Donald Trump, Wall Street ne peut plus collaborer correctement avec la Chine. D’autre part les connexions entre Joe Biden et la Chine semblent avérées.
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06h00 – L’Etat de la Louisiane rejoint le Texas en initiant une procédure auprès de la Cour suprême :
Le procureur général Jeff Landry a publié la déclaration suivante concernant les controverses en cours sur les élections fédérales de 2020 et la nouvelle motion présentée par l’État du Texas devant la Cour suprême des États-Unis :
« Des millions de citoyens de Louisiane, et des dizaines de millions de nos concitoyens dans le pays, ont de profondes inquiétudes concernant la conduite des élections fédérales de 2020. Le fait que certains États semblent avoir mené leurs élections au mépris de la Constitution américaine est une de ces préoccupations. En outre, de nombreux Louisianais se sentent lésés, car certaines personnes, dans les médias et la classe politique, tentent d’ignorer des questions légitimes ou de les railler.
Il y a quelques semaines, au nom des citoyens de la Louisiane, mon bureau s’est joint à de nombreux autres États pour déposer un mémoire juridique auprès de la Cour suprême des États-Unis, exhortant les juges à se pencher sur le déroulement de l’élection en Pennsylvanie, où leur tribunal d’État a ignoré la Constitution américaine en ce qui concerne la conduite de l’élection.
L’article 1, section 4, de la Constitution américaine est clair : « Les délais, lieux et modalités d’organisation des élections de sénateurs et de représentants sont fixés dans chaque État par le corps législatif… » Le pouvoir de mener des élections fédérales est détenu par les assemblées législatives des États dans chaque État. Dans des États comme la Pennsylvanie, le pouvoir judiciaire a tenté de prendre le contrôle de ces devoirs et obligations et de fixer ses propres règles. Ces actions semblent être inconstitutionnelles. S’il est inconstitutionnel pour la Pennsylvanie de prendre cette mesure, il est tout aussi inconstitutionnel pour d’autres États d’avoir fait de même.
Seule la Cour suprême des États-Unis peut, en dernier ressort, décider des cas de réelle controverse entre les États en vertu de notre Constitution. C’est pourquoi les juges devraient entendre et décider l’affaire que nous avons jointe en représentant les citoyens de Louisiane.
En outre, la Cour suprême des États-Unis devrait examiner la dernière requête du Texas, qui contient certains des ces mêmes arguments.
Les citoyens de Louisiane sont lésés si les élections dans d’autres États ont été menées en dehors des limites de la Constitution, alors que nous avons respecté les règles. »
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05h00 – La presse française et internationale font leurs choux gras sur une décision de la Cour Suprême tombée il y a quelques heures. Relayant comme des perroquets bien dressés les informations d’une probable agence de presse, ils annoncent avec une gourmandise obscène que désormais, avec cette décision de la plus haute juridiction américaine, toutes les chances de Donald Trump de renverser les élections sont devenues nulles !
Or, que lit-on avec un oeil attentif (et quelques fines notions de droit américain) dans cet « order in pending case » (ordonnance d’une affaire en cours) ? Qu’est seulement rejetée l’ « emergency injunctive relief » c’est à dire la mesure d’urgence mais pas l’affaire elle-même qui suit son cours, comme le rappelle la principale conseillère juridique de Donald Trump, la magnifique Jenna Ellis (qu’on nous pardonne cette digression) :
IMPORTANT POINT REPORTERS ARE MISSING IN PA SUIT :
The Supreme Court only denied emergency injunctive relief. In the order, it did NOT deny cert.@MikeKellyPA’s suit is still pending before the U.S. Supreme Court.https://t.co/UNMZeuiDVy
— Jenna Ellis (@JennaEllisEsq) December 8, 2020
Pendant ce temps, L’État du Texas a intenté un procès directement à la Cour suprême des États-Unis, contestant les procédures électorales en Géorgie, au Michigan, en Pennsylvanie et au Wisconsin, au motif qu’elles violent la Constitution.
Le Texas soutient que ces États ont violé la clause électorale de la Constitution parce qu’ils ont apporté des modifications aux règles et procédures de vote par l’intermédiaire des tribunaux ou de l’exécutif, mais pas par l’intermédiaire des assemblées législatives des États.
En outre, le Texas affirme qu’il y avait des différences dans les règles et les procédures de vote dans les différents comtés au sein des États, violant ainsi la clause de protection d’égalité de la Constitution. Enfin, le Texas affirme qu’il y a eu des « irrégularités de vote » dans ces États en raison de ce qui précède.
Le Texas demande à la Cour suprême d’ordonner aux États de permettre à leurs assemblées législatives de nommer leurs électeurs. Dès lors les votes n’iraient ainsi plus vers Biden, mais vers Trump.
Le Texas s’est adressé directement à la Cour suprême car l’article III prévoit qu’elle est le tribunal de première instance sur les sujets pour lesquels elle est compétente en première instance, tels que les litiges entre deux ou plusieurs États.
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04h00 – Alexis Cossette, de Radio Québec, fait une analyse du discours de Donald Trump que nous avions résumé en détail plus bas dans nos colonnes :
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9 décembre, 01h00 – Le petit ami de la fille du gouverneur Brian Kemp a trouvé la mort dans un accident de voiture curieux. En effet la voiture calcinée se trouve sur le bas-côté de la route et non pas sur la voie, et les habitants du voisinage font état d’un bruit d’explosion. Brian Kemp avait autorisé la veille le recomptage des bulletins de vote de la Géorgie. Coïncidence ou message ? (vidéo en anglais)
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8 décembre, 03h00 – Rappels salutaires du niveau de corruption de la famille Biden, dans une vidéo réalisée par le fils de Donald Trump, quelques semaines avant l’élection américaine :
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19h00 – Quelques nouvelles de la campagne judiciaire de Trump par la télévision NTD* :
*New Tang Dynasty (NTD) est une chaîne de télévision ayant son siège à New York. Créée en 2001 sous le sigle NTDTV en tant que chaîne de langue chinoise par des pratiquants du Falun Gong ayant émigré en Occident, elle a depuis étendu son offre à d’autres langues et s’affiche depuis la mi-2010 sous le sigle NTD. Son contenu éditorial reste centré sur la Chine continentale et couvre fréquemment des sujets censurés tels que les droits de l’homme et la démocratie. (source Wikipedia)
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7 décembre, 00h00 – Les États-Unis sont une république, pas une démocratie. Contrairement à bien d’autres nations qui élisent leur dirigeants en fonction de la quantité de votes (vote populaire), aux États-Unis, c’est le Collège Électoral qui élit le président (le Congrès peut accepter ou refuser et tenir ses propres élections). Les pères fondateurs ont choisi cette approche afin d’éviter ce qui est appelé la tyrannie de la majorité, soit qu’une population, ou un état très populeux, puisse décider pour le reste de la nation (entre autre) qui sera le président.
Le Collège Électoral est composé de grands électeurs. Dans certains états, ils apparaissent sur les bulletins de votes et sont nommés par le vote populaire. Dans ce cas, les citoyens votent pour les grands électeurs, et pas pour les candidats présidentiels (Trump et Biden). Dans d’autres états, ils sont nommés par leur législature. Chaque état a un nombre fixe de grands électeurs basée sur la quantité de citoyens habitants dans cet état. L’Alaska en a 3 alors que la Californie en a 55.
Dans certains états, les grands électeurs sélectionnés sont liés (binded) à un candidat (ils doivent voter pour un candidat spécifique au Collège Électoral), et dans d’autres ils sont libres de voter pour qui ils veulent. Ils ne sont pas liés.
Suite des explications et des stratégies en cours menées par l’équipe Trump dans l’article sur le site QanonFR.
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06h30 – Le président Donald Trump et la magnifique first lady rentrent à la Maison Blanche se coucher. Ainsi se termine notre nuit américaine, sur cette vidéo sans intérêt particulier si ce n’est peut-être celui de voir discuter à bâtons rompus Donald et Mélania dans l’hélicoptère présidentiel, puis voir la FLOTUS* marcher (flotter !) dans l’herbe avec ses hauts talons. Un peu d’infos people dans ces actualités parfois éprouvantes ne fait pas de mal.
*FLOTUS : First Lady Of The United States
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6 décembre, 4h00 – Donald Trump a tenu un meeting en Géorgie pour soutenir les candidats David Perdue et Kelly Loeffler aux sénatoriales du 5 janvier. Cette élection est cruciale car si les 2 candidats perdent, les démocrates prendront la main malgré l’égalité parfaite 50 à 50. En effet, dans ce cas c’est la vice-Présidente Kamala Harris qui départagera. Bien sûr, dans le cas où Joe Biden remporterait l’élection, ce pourquoi le président Trump a rappelé que « Si l’autre camp parvient à voler ces deux élections (…), tout ce à quoi vous tenez aura disparu » !
Il faut bien comprendre l’immense enjeu de cette élection en Géorgie. Si les deux sénateurs républicains gagnent, Biden ne pourra pas vraiment gouverner, ce qui permettrait de saper le sale travail des démocrates en attendant une candidature de Donald Trump en 2024, ce qu’il a déjà annoncé mais en précisant clairement « Je ne veux pas attendre 2024, je veux revenir trois semaines en arrière. Nous n’avons pas perdu ».
Rares probablement sont les présidents américains suscitant un si sincère enthousiasme, se faisant accueillir par un massif et long « We love you » suivi des nombreuses interruptions ferventes et passionnées d’un long discours de près de 2 heures, telles que « Four more years », des « Fight for Trump » martiaux ou de patriotiques « USA ».
Donald Trump a affirmé qu’il avait gagné en rappelant les aberrations statistiques (cf. nos reports ci-dessous et dans nos articles précédents) qui rendent quasiment impossible la victoire supposée de Joe Biden.
(Les 2 vidéos sont en anglais non sous-titrées)
Les puristes verront la version longue proposée par le média Right Side dont le direct a été vu par plus de 250.000 personnes simultanées, dont vos serviteurs :
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06h00 – Terminons cette soirée américaine avec l’inénarrable Laurence Haim qui semble approuver le délire hygiéniste du président-pas-encore-élu Joe Biden :
Joe Biden dans une interview avec @jaketapper annonce qu’après son arrivée a la Maison Blanche, il imposera le port du masque obligatoire aux américains pendant 100 jours. Donc de fin janvier au Printemps minimum.
— LAURENCE HAIM (@lauhaim) December 4, 2020
Mais faut-il encore que Joe survive jusqu’au 20 janvier, ce dont le tweet mis en ligne dans la foulée pourrait nous faire douter :
#Biden a dit ce soir sur CNN qu’il se fera vacciner en public pour inciter les sceptiques à faire de même
— LAURENCE HAIM (@lauhaim) December 4, 2020
A moins qu’il n’utilise ce genre de fausse seringue… :
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05h00 – Nous avions couvert la très longue audition en Arizona du 30 novembre. Un extrait de 28 minutes des près de 8h d’audience a été traduit en français. Il s’agit du témoignage sous serment de Phil Waldron, analyste informaticien des systèmes de vote.
Notons qu’ici encore on retrouve les accusations d’utilisation de ce type de machines Dominion par Hugo Chávez, entre autres. Nous vous renvoyons vers les commentaires de Thierry Meyssan dans cet article mis en ligne dans nos colonnes :
Il se trouve que le président Hugo Chávez a souvent requis des observateurs électoraux du Réseau Voltaire. L’un d’eux avait découvert à l’avance et dénoncé un trucage du scrutin. Le pays utilisait des machines électorales éditant un reçu à chaque vote. Dominion avait établi à l’avance une liste de ses machines électorales qui devraient être vérifiées, en comparant les résultats électroniques aux reçus. Dès lors, on pouvait savoir que les autres machines pourraient être truquées sans risque. Ce n’est pas le président Chávez qui voulait falsifier les résultats, mais la société Dominion, pour le compte d’on ne sait qui. Le général qui avait organisé le scrutin avait été arrêté avant celui-ci pour corruption et haute trahison.
On remerciera le traducteur pour le travail fourni, tout en signalant quelques fautes de traductions rendant obscurs ou peu compréhensibles certains passages. Nos lecteurs corrigeront.
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04h00 – Le général Flynn, fraîchement gracié par le président Trump, est intervenu en direct dans l’émission de Brannon Howse, le 28 novembre 2020.
La version intégrale en français est désormais en ligne. C’est un général combatif qui est intervenu, mais aussi lassé et même scandalisé du comportement de la presse et des réseaux sociaux.
« Ce que nous vivons en ce moment est plus qu’une simple attaque contre le président Trump, il s’agit d’une attaque contre la république américaine ».
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03h00 – Michigan – Le témoignage de Melissa Carone est très discuté sur l’Internet, en particulier par le camp adverse, qui émet des doutes quant à sa fiabilité. Déjà entendue le lendemain des élections, le juge Timothy Kenny avait indiqué ne pas croire à ce témoignage. Répondant à ses détracteurs elle a tweeté : « Je suis une mère, j’ai deux enfants, j’ai deux masters. Je ne connais pas de femme dans le monde qui écrirait un affidavit sous serment juste pour l’écrire. Vous pouvez aller en prison pour ça ».
Tout cela est assez représentatif de la guérilla judiciaire et de la guerre psychologique qui monte en tension entre les deux camps. Nous laissons nos lecteurs se faire leur avis.
Le prestataire Dominion du centre de comptage de Detroit affirme que des milliers de bulletins de vote ont été scannés de nombreuses fois
Melissa Carone a témoigné mardi soir dans le Michigan
Une contractuelle de Dominion Voting Systems, qui travaillait au centre TCF de Detroit le jour des élections, a déclaré aux législateurs du Michigan qu’elle avait vu environ 30.000 bulletins de vote être scannés plusieurs fois par les machines de comptage.
Mellissa Carone, qui travaille en tant que professionnelle indépendante de l’informatique, a fait ces allégations mercredi soir devant un panel de membres de la commission de surveillance de la Chambre du Michigan.
Mellissa Carone était au centre de Detroit tôt le jour du scrutin, le 3 novembre, jusqu’à environ 4 heures le lendemain matin. Elle est également retournée sur le site plus tard le 4 novembre.
Le 10 novembre, Carone a déclaré dans une déclaration sous serment qu’elle n’avait été témoin de « rien d’autre que d’actes frauduleux ».
« J’ai observé de nombreux employés, des travailleurs municipaux, passer des lots de bulletins de vote dans les compteuses d’innombrables fois, sans les avoir jetés » a déclaré Carone lors de l’audience de mercredi soir.
Elle a témoigné aux côtés de Rudy Giuliani, l’avocat personnel du président Trump, qui a mené la plupart des actions en justice relatives à l’élection.
Carone a témoigné que le jour du scrutin, les machines de compilation des votes se bloquaient jusqu’à trois fois par heure. Lorsque les machines se bloquaient, les responsables des élections étaient censés remettre le décompte à zéro pour s’assurer qu’aucun bulletin de vote n’était scanné plus d’une fois, a expliqué le témoin.
« Au lieu de les jeter, ils ne faisaient que les renumériser, renumériser, renumériser. Ils comptaient les bulletins de vote neuf à dix fois » a déclaré Carone. Elle a également déclaré qu’il y avait plus de 20 machines à comptage dans son centre de dépouillement des bulletins.
Les bulletins étaient censés être comptés par lots de 50, mais Carone a noté qu’elle a observé le nombre de totalisations grimper jusqu’à plusieurs centaines de fois au cours de la journée.
« J’ai appelé mon responsable à une machine à compter spécifique et je lui ai montré un nombre supérieur à 500. Ils ne devraient pas être supérieurs à 50. Les bulletins de vote arrivent par lots de 50. J’ai dit que nous avions un grave problème ici Nick » a déclaré Carone, en parlant de sa tentative de prévenir son directeur.
Il [Nick] a dit, « Melissa, je ne veux pas entendre que nous avons un problème, nous sommes ici pour aider pour l’informatique, nous ne sommes pas ici pour organiser les élections ». Et à ce moment-là, « j’étais vraiment frustrée et bouleversée, je pouvais dire ce qui se passait » a-t-elle poursuivi, « ils trichaient, c’était très, très évident ».
Giuliani a demandé à Carone, à un moment de l’audition, pourquoi plus de personnes ne se sont pas présentées pour raconter des expériences similaires.
« Ma vie a été détruite à cause de cela » a-t-elle répondu. « J’ai perdu de la famille, des amis, j’ai été menacée, mes enfants ont été menacés, j’ai dû déménager, j’ai dû changer de numéro de téléphone, j’ai dû me fermer mes comptes sur les médias sociaux. Personne ne veut se manifester. Je ne peux même plus trouver un vrai emploi, parce que les démocrates aiment ruiner vos vies. Voilà pourquoi ».
Une observatrice républicaine des élections a également témoigné mardi soir et a confirmé la véracité des déclarations de Carone. Elle a déclaré que de nombreux membres du personnel électoral ne semblaient pas comprendre ce qu’il faut faire lorsque les compteuses des bulletins de vote sont bloquées.
« Je peux dire que la plupart de ces personnes n’avaient pas assez de formation, et qu’elles faisaient simplement leur travail sans réfléchir » a-t-elle déclaré.
Le 13 novembre, un juge du Michigan a écrit que le récit de Carone sur les événements qui se sont déroulés au centre TCF le jour des élections « ne correspond à aucune des autres déclarations sous serment ».
« Ces allégations ne sont tout simplement pas crédibles » a écrit le juge Timothy Kenny.
Traduction E&R de Just the News.
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4 décembre, 01h00 – Nevada – Une audience dans le Nevada a révélé une série d’irrégularités électorales, notamment : l’obstruction de témoins par le service postal des États-Unis, des bulletins de vote déposés par des personnes décédées, des machines de vérification des signatures mal calibrées et des inspections électorales où moins d’un tiers des demandes du parti républicain (GOP) ont été satisfaites.
Depuis le dépôt du dossier de contestation des élections, une foule de développements se sont produits concernant l’accès des fonctionnaires à l’inspection des systèmes de vote et aux données révélant l’étendue de la fraude dans cet État pivot.
Obstruction
L’un de ces développements est que le service postal des États-Unis (USPS) « empêche les témoins et les lanceurs d’alertes de témoigner » concernant des demandes à grande échelle de livraison de bulletins de vote à près de 8.000 adresses « non livrables ». Les bulletins de vote ont ensuite été « collectés, remis et vraisemblablement comptés ».
« Il y a de nombreux témoins clés qui témoignent de ces faits avec des histoires indépendantes qui correspondent et que l’USPS essaie d’empêcher de témoigner » note le GOP du Nevada.
100.000 bulletins de vote falsifiés
Le parti républicain de l’État a soumis également le témoignage d’un expert en données qui témoigne de plus de 100.000 cas uniques de bulletins de vote illégaux.
Les conclusions proviennent de l’analyse de plus de deux millions de dossiers, dont les dossiers d’électeurs de l’État du Nevada, les dossiers d’électeurs du jour du scrutin au Nevada, les dossiers de vote anticipé, les dossiers de données sur les consommateurs, et bien d’autres encore.
Les résultats révèlent plus de 40.000 bulletins en double et 1.500 électeurs décédés :
Électeurs hors de l’État : près de 20.000 électeurs du Nevada avaient une adresse postale hors du Nevada ;
Adresses inexistantes : environ 8.000 électeurs avaient des adresses enregistrées qui sont physiquement inexistantes ;
Tampons de l’USPS sur les adresses non résidentielles : environ 15.000 électeurs sont inscrits pour voter à une adresse commerciale ou dans une propriété inoccupée ;
Tampons de l’USPS sur les adresses vacantes : près de 6.000 ;
Changement d’adresse nationale en dehors de l’État : 2.468 électeurs ont légalement changé d’adresse pour s’installer dans une autre juridiction, un autre État ou un autre pays ;
Électeurs décédés : près de 1.500 électeurs du Nevada inscrits comme décédés dans le fichier principal des décès de l’administration de la sécurité sociale (SSA), les société de vente de données sur les consommateurs, les concordances de données des services nécrologiques publics et les données sur les personnes décédées des sociétés de recouvrement de créances ont voté ;
Dédoublement des inscriptions des électeurs : 42.000 électeurs ont voté deux fois et ont plusieurs numéros d’inscription sur les listes électorales associés à des noms, des dates de naissance et des adresses pratiquement identiques.
Visite guidée
Alors que les équipes juridiques du Nevada qui ont cherché à inspecter les machines et les systèmes de vote du comté de Clark ont vu leur demande acceptée, l’équipe juridique de la campagne Trump a rejeté la preuve qu’on leur avait offerte comme étant à peine plus qu’une « visite guidée ».
L’inspection fut « comme d’essayer de déterminer si une voiture avait des freins défectueux sans passer sous la voiture » :
« L’ordonnance du juge a permis une inspection. Ce que nous avons obtenu, c’est une visite guidée. Les machines n’étaient pas utilisables, et nous n’avons pas pu nous prononcer sur l’exactitude et l’intégrité du processus électoral sur la base de cette inspection. Nous avions droit à une inspection médico-légale de l’ordinateur conformément à l’ordonnance du juge. On nous a empêchés d’en faire une. Il s’agissait d’une élection numérique et nous n’avons pas eu droit à une inspection numérique. L’ »inspection » d’aujourd’hui c’était comme essayer de déterminer si une voiture avait des freins défectueux sans passer sous la voiture ».
L’équipe scientifique a demandé les 11 éléments suivants :
Inspecter le serveur de comptage ; Inspecter la mémoire de la machine de vérification de signature Agilis ; Voir un « essai » de la machine de vérification de signature Agilis ; Inspecter la mémoire des machines Adjudicator ; Inspecter la clé USB pour les machines Dominion ; Inspecter les livres de sondage ; Inspecter la mémoire du serveur de gestion des élections ; Inspecter les « lecteurs de bulletins de vote par correspondance » ou « ICC » ; Inspecter les lecteurs de résultats électoraux originaux du Accuracy Certification Board ; Inspecter les lecteurs de simulation originaux du Accuracy Certification Board ; Inspecter les « dispositifs de marquage des bulletins de vote ».
Au lieu de cela, les inspecteurs n’ont reçu que quatre demandes : recueillir les numéros de série des machines ; assister à la compilation des reçus de vote pour seulement 42 votes ; inspecter les rapports du Conseil de certification de la précision ; et regarder une machine être mise sous tension.
Signatures suspectes
Les machines utilisées par l’État pour certifier les signatures n’ont pas non plus été utilisées « conformément aux recommandations du fabricant à au moins deux égards ».
« Premièrement, les images des signatures enregistrées par l’État et utilisées par la machine Agilis pour les comparer aux signatures figurant sur l’extérieur du bulletin de vote étaient d’une qualité inférieure à celle recommandée par le fabricant afin de permettre le bon fonctionnement des machines. Deuxièmement, la tolérance d’erreur pour la comparaison des signatures a été fixée à un niveau de 40, soit 10 points de moins que le niveau recommandé par le fabricant (50), ce qui a considérablement réduit la précision de la machine », note le rapport.
Outre le mauvais calibrage et la faible qualité de l’image, la loi du Nevada stipule que « le greffier ou un employé du bureau du greffier du comté doit vérifier la signature utilisée pour le vote par correspondance conformément à des procédures détaillées qui n’incluent pas le recours à un logiciel pour vérifier la correspondance des signatures ».
Malgré cela, les machines Agilis ont vérifié de manière indépendante 30 % des signatures sans jamais que des yeux humains n’inspectent ces signatures.
L’audience a débuté le jeudi 3 décembre à 13h30 (heure du Pacifique) au tribunal de première instance.
Traduction E&R du National Pulse.
L’audience devant le juge du Nevada dans son entièreté (vidéo en anglais) :
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3 décembre, 21h00 – Géorgie – Une nouvelle audition a lieu actuellement en Géorgie. Voici la vidéo en direct (et en anglais) :
Lors de cette audience ont été apportées encore de nombreuses preuves des irrégularités et de la fraude systémique qui entoure ces élections. Par exemple cette vidéosurveillance montre le départ des observateurs, puis dès que la salle fut vidée, l’apparition de plusieurs caisses de bulletins de votes sortis de sous une table. Ces bulletins furent immédiatement comptabilisés en l’absence d’observateurs. Il semble que le nombre de bulletins puisse être facilement déduit et est supérieur à la marge entre Trump et Biden.
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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation