par F. William Engdahl.
Parmi les comptes-rendus documentées des fraudes électorales américaines sommes toutes « habituelles » durant le vote aux élections présidentielles du 3 novembre 2020, avec les habituelles fausses pièces d’identité, les électeurs votants décédés et les votes par correspondance unilatéraux suspects [seulement en faveur de Biden] dans les États fédérés « clés » dirigés par des Démocrates, de plus en plus de preuves incriminent le rôle hautement sophistiqués d’acteurs étrangers, de conserve avec des éléments provenant des mauvais acteurs de l’État Profond américain. Ces derniers s’étant lancés dans un effort impudent est hautement illégal, visant à renverser le Président Trump et à le remplacer par un Joe Biden plus complaisant et surtout plus compromis, qui serait davantage susceptible de suivre docilement l’agenda de la « Grande Réinitialisation [Grand Reset] » du Forum Economique Mondial ([FEM] – World Economic Forum, WEF]) et de Bill Gates. Au centre de cette manipulation peut être identifié un groupe d’entreprises privées obscures, qui depuis 2002 sont positionnées afin de dominer les élections, pas seulement aux États-Unis mais aussi dans beaucoup d’autres pays. Si cette manipulation devait parvenir à son but sans être remise en cause, elle aurait des conséquences catastrophiques, et pas seulement à l’intérieur des États-Unis.
Aujourd’hui, les entreprises qui fournissent les machines de vote aux États-Unis et les programmes informatiques liés, sont dominées par trois entités : Dominion Voting Systems, de Toronto (Canada), SGO Smartmatic établi au Royaume-Uni, et ES&S [Election Systems & Software] établi à Omaha (Nebraska). Deux entreprises sur trois sont donc des compagnies étrangères. Ceci devrait déjà fonder certaines préoccupations. Mais le problème réel va bien au-delà…
Loi HAVA de 2002 : externalisation du recomptage des votes sous prétexte de « modernisation »
Jusqu’aux élections américaines de 2000, au terme desquelles une fine marge de bulletins de votes papiers défectueux, le fameux recompte des « bulletins mal percés [hanging chads] », avait été déterminante dans l’élection de George W. Bush, le rôle des machines de vote informatiques était très limité. Ceci devait changer en 2002, lorsque le Congrès adopta une loi en apparence conçue pour résoudre le problème des bulletins de vote à cartes perforées. Depuis lors, ce sont des entreprises privées qui gérent les élections américaines. Le 29 octobre 2002, le Président G.W. Bush signa en effet la loi dite « HAVA », pour « Loi d’aide au vote de l’Amérique [Help America Vote Act] ».
Cette loi créa une nouvelle Agence fédérale, la Commission pour l’Assistance aux Elections des États-Unis (CAE [United States Election Assistance Commission, USEAC] afin de servir de « chambre de compensation » [mécanisme de centralisation des échanges] pour les informations relatives à l’administration [mise en place] des élections ; elle créait également des fonds fédéraux afin d’aider les Etats fédérés à améliorer la gestion de l’élection, et à « remplacer les systèmes de vote vétustes ». Cette loi proposait enfin de créer des exigences minimales à suivre pour les Etats fédérés, dans différents domaines clés relatifs à l’administration des élections.
[Mais] Russell Ramsland, un expert en cybersécurité qui avait fondé LI Security Operations, devait dire alors dans une entrevue à la télévision, que ces exigences minimales n’avaient jamais été créées. Ce que fit la loi était, c’était plutôt fournir des fonds pour les Etats fédérés afin d’externaliser leur gestion des élections en faveur de compagnies privées comme ES&S, Dominion, Smartmatic et quelques opérateurs plus petits. Tant et si bien qu’en 2018, ces entreprises privées de recomptage électronique des votes contrôlaient 92 % de parts de marché des élections américaines. [De fait,] les observateurs bipartisans surveillant [monitors] ces élections, ne se trouvaient théoriquement plus en mesure d’assurer l’intégrité du vote électoral. Les ordinateurs, les logiciels des propriétaires et toutes leurs vulnérabilités possibles étaient désormais sous contrôle [de ces entreprises privées extérieures].
Smartmatic et le précédent du Référendum truqué de 2004 au Venezuela
Dès 2004, un certain nombre de jeunes programmeurs professionnels de Caracas, Venezuela, furent appelés par le régime socialiste alors assiégé d’Hugo Chavez, afin de l’aider, lui et sa Révolution bolivarienne soutenue par Fidel Castro depuis Cuba, à survivre à un référendum. [Ce référendum, dit « révocatoire/de rappel », du 15 août 2004, devait déterminer si Hugo Chavez, alors Président du Venezuela, devait être révoqué de son poste ou bien conserver son mandat. Or,] le Précédent du régime chrétien-démocrate précédent, Rafael Caldera avait auparavant adopté une Loi qui exigeait la gestion automatisée dudit vote par les sociétés de vote américaines ES&S, ainsi que par les systèmes espagnols Indra, avait institutionnalisé la présence [de ces opérateurs privés] dans le pays. ES&S était alors proche du parti Républicain de G. Bush Jr.
En réponse à un appel d’offre dans la perspective de ce référendum révocatoire de 2004 formulé par la CNE [Consejo Nacional Electoral], l’Autorité électorale du Venezuela, un nouveau consortium connu sous le nom de SBC Consortium fut constitué, et remporta l’appel d’offre afin d’opérer le processus de recomptages des votes de ce référendum. Ce consortium SBC comprenait Smartmatic (51%), Bitza software (2%) et l’organisation des télécommunications d’État CANTV [Compañía Anónima Nacional Teléfonos de Venezuela] (47%). Omar Montilla Castillo, le responsable R&D des programmes informatiques de Bitza, était un fonctionnaire du gouvernement de Chavez, nommé à ce poste par Chavez. Quant à l’entreprise Smartmatic, elle avait été fondée quelques années auparavant par deux ingénieurs vénézuéliens vivant en Floride, Antonio Mugica et Alfredo Anzola. Le référendum de 2004 était leur première opération impliquant des machines à voter. Ces Floridiens pro-Chavez ont donc remporté l’appel d’offre et ont reçu pour cela 128 millions de dollars, comprenant la modernisation des machines de jeu Smartmatic préexistantes, afin qu’elles puissent être utilisées pour ce processus.. Apparemment, pour ces ingénieux entrepreneurs vénézuéliens, ce ne fut pas une si grande modification, que de convertir des machines de jeu truquées en machines à voter truquées…
Le consortium Smartmatic réussit donc à falsifier le référendum pour Chavez, alors que Chavez était donné comme perdant d’après les sondages. Mais il remporta une victoire « miraculeuse » de 52% contre 48%. À l’époque, le New York Times, alors un peu plus objectif qu’aujourd’hui, écrivit : « Smartmatic était une entreprise peu connue sans expérience en matière de technologie de vote, avant d’être choisie par les autorités vénézuéliennes pour remplacer la machinerie électorale du pays avant un référendum litigieux, qui confirma finalement M. Chávez comme Président en août 2004. »
Frauder le vote avec un flegme tout britannique
Aujourd’hui, Antonio Mugica siège à Londres, d’où Smartmatic supervise tout un réseau mondial de trucages informatiques des élections. En 2014, Mugica, allié au Lord Britannique Mark Malloch-Brown, annonça le lancement de SGO Corporation Limited : une société faîtière/de portefeuille [holding] basée à Londres et dont l’actif principal est le fabricant de technologies électorales et de machines à voter, Smartmatic. Mugica est PDG de SGO Smartmatic et son cofondateur vénézuélien, Roger Piñate, siège également au Conseil d’administration de la société à Londres. Smartmatic a aujourd’hui encore de profondes racines vénézuéliennes, qui lui permettent de corrompre les cercles de pouvoir de Chavez puis de Maduro.
Lord Mark Malloch-Brown, président de SGO Smartmatic peut être considéré comme un personnage clé. Comme le montre l’excellente recherche de Matthew Ehret, Malloch Brown a siégé au Conseil d’administration du Forum Economique Mondial de Davos, le principal promoteur du programme dystopique « Grande Réinitialisation [Great Reset]» du Programme/Agenda « 2030 » de l’ONU. Il a également été membre du Conseil d’administration de la Fondation « Société Ouverte [Open Society] » de George Soros, et du Fonds Quantum du même Soros. Soros est l’un des principaux bailleurs de fonds des candidats du Parti démocrate et groupes affidés, incluant le mouvement « Black Lives Matters (BLM)». Malloch Brown a été par ailleurs Secrétaire général adjoint de l’ONU sous le corrompu Kofi Annan, et fut Vice-président de la Banque Mondiale. En tant que membre du Parti travailliste, il est également membre du très secret Conseil Privé [Privy Council] : une élite de plus de 500 personnes sélectionnées par la Reine pour administrer les affaires de l’État britannique. En 2008, juste après l’investiture de Barack Obama en tant que Président des États-Unis, la future ambassadrice d’Obama à l’ONU, Samantha Power, remarqua que « le principal intermédiaire entre la Grande-Bretagne et le candidat [Obama] a été Lord Malloch Brown, le jeune ministre des Affaires étrangères…» C’est donc la même personne qui dirige aujourd’hui le groupe très controversé des systèmes de vote, Smartmatic.
Un autre membre du Conseil d’Administration de SGO Smartmatic à Londres se trouve être Sir Nigel Knowles, le PDG mondial de DLA Piper. DLA Piper était alors, en 2014, le plus gros cabinet d’avocats du monde. Notablement, Douglas C. Emhoff, le mari de Kamala Harris [la colistière de Joe Biden qui serait sa Vice-présidente] est associé chez DLA Piper. Mais peut-être n’est-ce là qu’une simple coïncidence ?
Mais les choses deviennent encore plus biaisées. Aux États-Unis, Smartmatic dispose d’un Conseil d’Administration de quatre personnes. Le Président de Smartmatic USA est Peter Neffenger, qui vient d’être nommé au sein de l’équipe de transition de Joe Biden. Neffenger était dans l’Administration Obama en tant que chef de l’Administration de la Sécurité des Transports [Transportation Security Administration – TSA]. Paul DeGregorio, membre du même Conseil d’Administration de Smartmatic USA, a été président de la Commission d’Assistance Electorale des États-Unis [CAE [Election Assistance Commission – EAC]) de 2003 à 2007. La CAE avait été créé par la loi HAVA de 2002, afin « d’administrer les paiements aux États fédérés et de développer les directives devant répondre aux exigences requises par la Loi HAVA, d’adopter des lignes directrices volontaristes au sujet du système de vote, et d’accréditer des laboratoires d’essais du système de vote et de certifier le matériel de vote ». Siégeant également aux côtés de Neffenger et DeGregorio au sein du Conseil d’Administration de Smartmatic aux États-Unis, Gracia Hillman fut quant à elle la présidente de la même Commission d’Assistance Electorale des Etats-Unis de 2003 à 2010, sous Obama. Leur site Web déclare que « Smartmatic est le leader mondial de la technologie électorale et des services de soutien sécurisés, accessibles et transparents. Nous croyons en l’égalité et la justice pour tous. »
Afin de souligner ce que l’on ne pourrait appeler qu’un biais extraordinaire, deux des quatre membres du Conseil d’Administration de Smartmatic USA étaient donc à la tête de l’Agence gouvernementale américaine dédiée au développement des lignes directrices pour les systèmes de vote, et deux avaient été des Démocrates nommés ou en poste sous Obama, l’un étant désormais conseiller de Biden. Tout va bien, donc, en termes d’intégrité de ces élections de 2020, ou bien nous aurait-on menti?
Les Systèmes de vote de “Sequoia” : « un pont trop loin » dans la fraude électorale aux Etats-Unis…
A présent, une autre entreprise appelée Sequoia Voting Systems, fondée en Californie, va être le lien clé entre les logiciels et les systèmes de Smartmatic d’une part, et d’autre part l’autre société de vote géante impliquée dans ce qui va rester aux yeux de l’Histoire comme l’énorme fraude électorale de 2020 aux Etats-Unis : la société canadienne Dominion Voting Systems.
En mars 2005, Smartmatic a en effet acheté les systèmes de vote « California Sequoia [Séquoia de Californie]» à son propriétaire de l’époque, De La Rue : une société britannique d’impression et de sécurisation de papier-monnaie. Smartmatic a affecté alors une grande partie de ses équipes de développement à la refonte des anciennes machines à voter désuètes héritées de Sequoia, et au remplacement de leur technologie par des fonctionnalités et des développements exclusifs d’avant-garde, ce qui a abouti à de nouveaux produits de haute technologie.
La situation de la coentreprise Smartmatic-Sequoia fut florissante sur le marché américain, jusqu’à ce qu’une enquête du Trésor américain sur les liens possibles de Smartmatic avec le gouvernement étranger du Venezuela oblige Smartmatic à vendre Sequoia.
Ils le firent alors à l’occasion d’une vente regardée comme trompeuse aux dirigeants américains de Smartmatic, qui étaient des citoyens américains, à des conditions qui ne furent jamais rendues publiques, sous le [nouveau] nom de SVS Inc. [Strategic Value Solutions], ce qui eut pour effet permit de faire tomber les poursuites du gouvernement américain. Mais Sequoia, dorénavant appelée SVS Inc. en tant que compagnie étatsunienne, était toujours contrôlée par Smartmatics en tant que compagnie d’origine vénézuélienne. Smartmatic a conservé la détention des droits de propriété intellectuelle des produits électoraux actuellement déployés par Sequoia aux États-Unis. En 2007, le professeur d’informatique à Princeton, Andrew Appel, a témoigné en tant qu’expert dans une affaire judiciaire au New Jersey impliquant les machines à voter Advantage de Sequoia, déclarant qu’il était « très facile de remplacer le logiciel à l’intérieur d’une machine informatisée afin qu’il fasse croire à l’électeur qu’il vote pour un candidat alors qu’il vote en réalité dans la mauvaise colonne… Vous pouvez même le programmer pour le faire uniquement le jour de l’élection. » La même année 2007, le Secrétaire d’État de Californie a décertifié les machines à voter Sequoia lors des élections nationales, déclarant que les machines à voter Sequoia permettaient « l’insertion d’un programme malveillant de type “cheval de Troie“ via un périphérique de stockage USB amovible qui pourrait modifier les définitions et les résultats des bulletins de vote ». La décision a ajouté que les machines à voter Sequoia pourraient être conçues pour [inclure la possibilité de] « déplacer les votes d’un candidat à un autre et [que ce déplacement] ne soit pas détectable sur le récépissé papier obtenu par l’électeur ». Remarquons que ce sont là les mêmes genres de fraudes incriminées par les équipes juridiques de Trump.
Enfin, ces Systèmes de Vote Sequoia contrôlés par Smartmatic, alias SVS Inc., fut racheté le 4 juin 2010 par une société canadienne auparavant obscure, Dominion Voting Systems, une société spécialisée dans la fabrication de matériel de vote électronique et de scanners optiques.
Dominion Voting Systems, sous l’égide de Carlyle, si proche des pantins de l’Etat Profond…
À l’époque où Dominion, opérateur canadien, avait racheté SVS Inc. [qui possédait] Sequoia, cette dernière avait des contrats [en cours] dans 16 États. Dominion devenait donc soudain, via Sequoia via Smartmatic basé à Londres, un acteur majeur dans le secteur de plus en plus corrompu du vote informatisé aux États-Unis. En bref, Smartmatic racheta Sequoia, une société américaine, intégra ensuite sa technologie dans Sequoia, et les juridictions l’ont vendue [ont forcé sa revente] à Dominion.
Cependant, afin de s’assurer que le canadien Dominion resterait opaque à tout examen minutieux, la société fut reprise en 2018 en tant que société privée par ses employés, unis avec une société de capital-investissement bscure de New York, Staple Street Capital, ce qui leur permit de se prétendre être une « Entreprise américaine », malgré son siège social au Canada. Ce qui est bien peu connu sur Staple Street, les nouveaux propriétaires de Dominion, c’est que plusieurs d’entre eux venaient du géant controversé du capital-investissement, Carlyle Group Partners. William Kennard, anciennement nommé par Obama en tant qu’ambassadeur de l’UE, auparavant nommé par Bill Clinton en tant que président de la FCC, et ancien directeur général du groupe Carlyle, est ainsi présent dans Staple Street Capital. Hootan Yaghoobzadeh et Stephen D. Owens, tous deux de Staple Street, siègent au nouveau Conseil d’Administration de Dominion aux côtés du fondateur canadien, John Poulos. Ces deux homes ont également des liens passés avec le groupe Carlyle.
L’État contesté de Géorgie compte huit lobbyistes enregistrés de Dominion, dont Jared Thomas, ancien chef de cabinet du gouverneur Républicain Brian Kemp. Le recomptage des votes la Géorgie avait été criblé de corruption bipartite. En outre, la société Dominion Voting Systems a admis avoir été un ancien donateur de la Fondation Clinton et avoir embauché l’ancienne chef de cabinet de la présidente Démocrate du Congrès, Nancy Pelosi, une certaine Nadeam Elshami, en tant que lobbyiste.
En 2016, on a demandé au Vice-président de Dominion, le Dr. Eric Coomer, s’il était possible de contourner le logiciel des systèmes électoraux pour accéder directement aux tableaux de données qui gèrent les systèmes régissant les élections dans l’Illinois. Il a répondu : « Oui, s’ils y ont accès. » Lorsqu’on lui a demandé qui cela pouvait-il inclure, il a répondu : « Les vendeurs, les fonctionnaires électoraux officiels, et les autres qui doivent s’en voir garantir l’accès ». Le même Coomer a été découvert en 2020, postant des publications Facebook favorables à Black Lives Matter et attaquant Trump…
Lors de l’élection de 2020, Dominion était responsable d’environ 50% de tous les votes dans 30 États fédérés, et était en situation de position dominante dans tous les États dont le résultat est actuellement contesté par les équipes juridiques de Trump, à savoir au Nevada, en Arizona, au Michigan, au Wisconsin, en Pennsylvanie et en Géorgie. Les États ainsi contestés ont TOUS basculé vers le Démocrate Biden, malgré d’énormes scores initiaux pour Trump qui menait au résultat. Dans des douzaines de circonscriptions électorales de ces États utilisant les systèmes du Dominion, le décompte des voix a produit des statistiques virtuellement impossibles, telles que 100% ou 105% de participation électorale ou même plus. Tout ceci rendrait même un Kim Jong-Un envieux…
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F.William Engdahl est consultant en risques stratégiques et conférencier, diplômé en politique de l’Université de Princeton et auteur de best-sellers sur le pétrole et la géopolitique. Son dernier livre, « Le charme discret du djihad », est publié aux éditions demi-lune (voir la note de lecture du Saker Francophone). Article initial exclusif pour le magazine en ligne New Eastern Outlook.
Traduction par Jean-Maxime Corneille, Chroniques de la Vieille République.
Source: Lire l'article complet de Réseau International