Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash
En Argentine, des milliers de pro-vie manifestent pour contrer la neuvième tentative de libéraliser l’avortement dans le pays, cette fois-ci menée par le président de l’Argentine Alberto Fernández. Les députés avaient rejeté, avec l’appui de centaines de milliers de pro-vie, le dernier projet de loi pro-avortement en 2018 ; réussiront-ils cette fois-ci à empêcher l’extension de l’accès à l’avortement à la quatorzième semaine ? Selon LifeNews :
Des milliers et des milliers d’Argentins, samedi lors de manifestations pacifiques pro-vie dans tout le pays, ont exhorté les législateurs à rejeter un projet de loi visant à légaliser le meurtre des bébés à naître par avortement.
Le Buenos Aires Times rapporte que des milliers de manifestants portaient du bleu clair et des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « sauver les deux vies » et « marcher pour les enfants à naître », tandis qu’ils se rassemblaient devant le bâtiment du Congrès de la Nation à Buenos Aires. D’autres manifestations pro-vie ont également eu lieu dans tout le pays.
Le Congrès argentin doit commencer à débattre cette semaine d’un projet de loi visant à légaliser les avortements à 14 semaines maximum. Le président Alberto Fernández a présenté ce projet de loi pro-avortement au début du mois [de novembre]. C’est la neuvième tentative des militants de l’avortement pour légaliser le meurtre des bébés à naître dans ce pays d’Amérique du Sud.
« L’Argentine a déjà dit non à l’avortement, et aujourd’hui nous le disons à nouveau », déclarait Raul Magnasco, président de la More Life Fondation, à Deutsche Welle.
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