Par la dictature sanitaire nous sommes dans le même sac, provisoirement logés à la même enseigne, nous les futurs adversaires d’après demain. Dans ce camp populiste se côtoient des radicaux et des mécontents, et demain si ce camp triomphait, une deuxième révolution aurait lieu entre ces deux alliés. Après les embrassades de Février viendront les journées de Juillet, c’est inéluctable.
Les bourgeois intellectuels se croient au dessus de la bourgeoisie, pour avoir su discerner un principe transcendant aux classes sociales. La Globalisation n’est elle pas la même chose que l’internationalisme prolétarien ? Le judaïsme serait la matrice de ces deux horreurs modernes, le capitalisme financier et le communisme. Il l’a propagé sous ses deux espèces, du sang et de l’or, Marx et Rothschild.
On souille la mémoire de centaines de millions d’aryens communistes, par dévotion à la mémoire imaginaire d’un régime dont tout le monde voulait se débarrasser, y compris la noblesse, qui haïssait la tsarine et la camarilla, et leurs turpitudes avec Raspoutine. Pourquoi croyez vous que les Cosaques aient refusé de sabrer les ouvriers en Février ?
Ces bourgeois sont adjuivants jusqu’à la moelle à tel point que leur principe actif devient antimites [1], antimites arabes, c’est-à-dire théologiens. Hier ils étaient parfaitement d’accord, d’accord complet, avec la CIA et Hollywood, pour soutenir les Afghans pouilleux contre les soldats russes qui défendaient l’Eurasie. Ces penseurs seront incapables de prendre la tête de quoi que ce soit d’un peu supérieur à un soulèvement d’épicier devant un Mammouth, ce à quoi ils cherchent à réduire la résistance contre l’abjecte tyrannie sanitaire.
La grande réinitialisation du système, ils l’annoncent mais ils sont incapables de comprendre de quel système il s’agit, et produisent une « théorie » homogène au système en question. Dans l’échelle darwinienne ils sont plutôt au dessous des paisibles covidés qui portent leurs masques avec conviction, comme leurs cornes.
Là où il y a des hommes il y a de l’hommerie dit François de Sales, et la politique c’est humain trop humain par excellence, seul compte ce qui sert la Volonté de puissance d’une cause. Alors pourquoi ne pas laisser les anticommunistes 2.0 à leurs double zéro en riant sous cape ?
Je crains que cette thèse bouleversante (elle bouleverse les derniers fragments de lucidité) ne devienne écrasante, et qu’en reliant le pouvoir actuel à Lénine, comme en face ceux qui le relient à Hitler, ne donne du volume, de la substance à quelque chose qui n’en a guère.
« Nous étions les Guépards et les lions, ceux qui nous remplaceront seront les chacals et les hyènes » dit le vieux Prince don Fabrizio Salina dans le film célèbre Le Guépard. Les bourgeois III° république auraient pu dire : Nous étions les chacals et les hyènes, ceux qui viendront après nous seront les tiques, les poux, la vermine, toute la gale issue de nos crinières.
Bien avant la terreur sanitaire, les Deux Zéros, devant la GPA/PMA/ Migrants/ etc… en déduisaient déjà qu’on vivrait en Russie soviétique. Pourquoi il y avait quelque chose d’approchant ? Non bien sûr. C’est leur capitalisme chéri, qui en est le fourrier. Mais pas touche.
On relie par des généalogies débiles la GPA, PMA, Lgbétude et enculisme à Marx, à Voltaire, à Pascal ! Au socialisme ancien ! Et maintenant l’ultra privatisation de tous les aspects de vie au socialisme !
Imaginez vous Jaurès ou Lénine applaudissant à ses turpitudes ?
Prêter à M. Macron et sa clique des origines communistes c’est les ennoblir. C’est être par l’esprit bien inférieur à eux et à l’État qui met le feu aux poutres. Leur petite conscience, je veux dire leur mental, clopine lamentablement derrière la réalité.
C’est de l’ordre du Karma en ce qui me concerne. Exactement la même chose m’était advenu dans ma jeunesse à l’égard du féminisme. Je n’avais en rien renié mes idées politiques d’alors mais je ne pouvais pas être féministe.
Maintenant je ne puis consentir à devenir un laquais de la bourgeoisie.
La thèse du communisme 2.0, est aussi une volonté narcissique de préserver le capitalisme en tant qu’il est une subjectivité.
Dans Voltaire antisémite ma critique du post moderne est fondée sur la personnalité dominante produite par le capitalisme avancé : narcissique et féministe. Les sociétés du camp socialiste ont été exemptes de ce type.
Avant que l’appellation, hélas non contrôlée, de république des lettres ne désigne la gynécocratie écrivante, il y eut la vieille République européenne des lettres, de source très antique, Respublica Litteraria, la libre république des libres esprits, des savants et des lettrés, le contraire de la servile serviette hygiénique des sans-esprits, des ignares et des illettrés. Voltaire, quoi que l’on puisse penser de l’homme, mis en rapport avec notre époque despotique, me semblait, à ce moment, plus que jamais approprié.
Dans l’ordre politique je pourrais en dire autant de Lénine, comparé à tous nos politiciens, sans aucune exception.
Communisme 2.0 fait suite à l’exercice de crétinisation absolue du centenaire de la Révolution russe. Dans cette historiographie pour brute épaisse, aucun fait ne pouvait entrer. L’esprit pourraient seulement tolérer ces propos, s’ils avaient été tenus par des adjudants pressés d’aller au front. C’est une idéologie inutile, qui ne pouvait produire aucune conversion, ni adhésion immédiate. La « Haine » ainsi provoquée, était impuissante. En outre, à quoi peut-elle suppléer, comme si l’évidence journalière actuelle n’était pas suffisante.
Le 7 mai 2017, émission L’heure la plus sombre, soirée électorale, j’ai affirmé que l’ombre de Pinochet était visible derrière la carrure fluette du trader de Rothschild.
Idem à la tribune des 10 ans d’E&R : « Nous n’avons pas cinq ans, d’ici là ce sera ou bien une révolution ou bien la dictature. Je penche pour la dictature » ai-je proféré dans les fou-rires mal contenus, en réponse à de graves personnages qui se projetaient électoralement dans l’après-micron, en 2022.
Récidive en 2018, émission de radio CCBF : « le pouvoir Hollandais a institutionnalisé un ignoble État policier par la tuerie du Bataclan, et c’est là-dedans, dans ce charnier, que naquit un bacille tout vibrionnant avant sa métamorphose colo-électorale en une mouche bleue qui s’est posée sur la cadavre de l’ex-France pour apporter le Typhus ».
Certes, identifier Macron à un Bacille peut paraître assez chanceux. On a dû prendre ça pour de la « poésie ». Comme d’avoir relié l’incendie de Notre-Dame avec l’initialisation de la pandémie.
À la différence de ceux qui voient dans les abîmes, les surfeurs sur les vagues mouvantes de l’ « Actu », ne sont pas susceptibles du ridicule immédiat et auront donc toujours l’approbation de la foule. Bolchevisme 2.0 me semble une écume produite par la vague émergente de ce fascisme sanitaire inédit et sans antécédent d’un système putréfié. La pensée analogique ne suffit pas.
Leur politique « sanitaire » dégorge tellement d’insanités et de cancrelats que même les gobeurs de mouches les plus insectivores n’ arrivent plus à les avaler. D’où le Hold-Up. La Vieille termite ronge ronge ronge le mensonge monolithique, et quand il s’effrite, la chouette de Minerve prend son envol dans la nuit, quand tout est presque consommé.
Ils ont installé ce bloc sanitaire chez les gens, avec à peine un mot d’explication, grommellent d’abord une vague excuse pour le dérangement, mais deviennent rapidement outrageants et menaçants. On pourrait se demander même s’ils ne le font pas exprès. Peut-être veulent ils le bain de sang, sans lequel il n’y aura rien de fait, un Bataclan en plus vaste et plus décisif.
L’aimable sage-femme de la fin de Hold Up, à qui le sinistre clown qui se prend pour un surhomme « donne envie de pleurer », se demande « qu’est-ce qu’ils vont faire aux jeunes ? »
Mais ce qu’on leur a déjà fait, chère madame, le 13 novembre 2015, mais en plus complet.
« J’ai vu son visage, je pourrais le reconnaître. Il ressemblait à n’importe qui. Il tenait sa kalachnikov tranquillement, serein, comme un militaire de Vigipirate, on aurait dit qu’il était là pour nous évacuer. Il n’avait même pas l’air menaçant. Mon frère a vu un autre tireur. En tout, ils devaient être trois sur le balcon. Les deux autres tiraient tout le temps, dans la salle en bas et sur le balcon aussi. Ça avait l’air préparé, froid, il n’y avait rien d’inorganisé, ils étaient positionnés correctement pour être efficaces. » (Le Monde du 16 novembre 2017)
Vigipirate, État d’urgence, couvre-feu, arrêts domiciliaire, et après ? Comme ils n’ont pas le courage de la dictature ouverte, et affirmée comme telle, l’état de siège, Chili 1973, ils cherchent peut-être l’excuse d’un soulèvement réprimé afin de reparaître comme des sauveurs couverts de sang devant la bourgeoisie apeurée. L’Armée métisse et mixte, l’armée de métier de l’Otan-france est tout à fait présentable devant ces dames de Valeurs actuelles, de Boulevard Voltaire et du Figaro. Et qui sait si un Général d’opérette ne va pas rallier les anticommunistes 2.0.
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