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Source: Traduction de Metro.co.uk par Aube Digitale
Le plus haut responsable de la lutte contre le terrorisme en Grande-Bretagne a appelé à un débat national sur les nouvelles lois visant à réprimer les théoriciens du complot anti-vaccination.
Répondant aux inquiétudes selon lesquelles de fausses déclarations pourraient éroder la confiance du public dans tout vaccin contre le Covid-19 potentiel, Neil Basu a suggéré qu’il devrait y avoir un débat sur la question de savoir si les gens devraient être autorisés à diffuser des “informations erronées qui pourraient coûter la vie à des personnes”.
Le commissaire adjoint de la Police Métropolitaine n’a pas approuvé l’idée d’une nouvelle législation, mais son intervention pourrait accroître la pression sur les ministres pour qu’ils fassent plus pour punir les personnes qui répandent des théories de conspiration, rapporte l’Evening Standard.
Il a déclaré : “La société doit débattre de la liberté d’expression et de la responsabilité et des personnes qui répandent des informations erronées qui pourraient coûter la vie à des gens… et se demander si c’est la bonne chose à faire pour cette société”.
Les travaillistes ont demandé une législation d’urgence “qui inclurait des sanctions financières et pénales pour les entreprises qui n’agissent pas pour éradiquer les contenus anti-vaccins dangereux”.
La secrétaire d’État du cabinet fantôme à la culture Jo Stevens et le secrétaire d’État fantôme à la santé Jonathan Ashworth ont écrit au secrétaire d’État à la culture Oliver Dowden, soulignant que “la diffusion de la désinformation en ligne présente un danger réel et actuel” pour les efforts de vaccination.
Source: Lire l'article complet de Strategika