L'évacuation des migrants place de la République : rien à voir avec la violence policière anti-Gilets jaunes

L'évacuation des migrants place de la République : rien à voir avec la violence policière anti-Gilets jaunes

« « Toutes les personnes en besoin d’hébergement sont invitées à se présenter dans les accueils de jour où des orientations vers des solutions d’hébergement adaptées à leur situation sont proposées très régulièrement aux migrants », a ajouté la Prif. « On ne répond pas à la misère par la matraque. La mise à l’abri des migrants du campement de Saint-Denis restés à la rue est urgente, indispensable, indiscutable », a réagi Delphine Rouilleault, directrice générale de France terre d’asile, association et opérateur de l’Etat sur la gestion des campements.

« L’Etat donne de lui-même un spectacle lamentable » en apportant « une réponse policière à une situation sociale », a commenté auprès de l’AFP Ian Brossat, adjoint de la mairie de Paris en charge notamment de l’accueil des réfugiés. »La seule réponse des autorités, c’est la force. Et la force, en période de crise sanitaire, ce n’est pas acceptable », ajoute Corinne Torre, responsable de Médecins sans frontières en France. Cette dernière réclame elle aussi un hébergement pour ces migrants. » (France Info)

Les médias et les ONG gauchistes essayent de nous la faire à l’envers : sur les réseaux sociaux, c’est le grand réveil de la gauche humanitaire qui protège les pauvres migrants, parmi lesquels des réseaux mal intentionnés vont choisir les prochains « loups solitaires » qui vont tuer quelques Français à coups de couteau. Mais les gauchistes ne voient pas si loin : accueillir tous les migrants du monde est leur mantra, et tant pis si ça coûte la vie à quelques Français innocents, on n’aura qu’à mettre des bougies par terre, faire une marche blanche et le tour sera joué. Les dommages collatéraux de la politique européiste d’ouverture des frontières, à la droite et aux flics de la gérer !

C’est justement ce que les policiers ont dû faire dans la nuit du 23 au 24 novembre 2020 quand ils ont évacué un énième camp de migrants parisien, ce coup-ci au cœur de la capitale, place de la République, là où les gauchistes achèvent ou commencent leurs manifestations inutiles contre le pouvoir visible, jamais contre le pouvoir profond. Si l’on écoute les pleurnicheuses habituelles des réseaux sociaux, l’évacuation a été très « violente ». Malheureusement, comparativement aux Gilets jaunes, qui sont de pauvres Français, les migrants clandestins défendus par les gauchistes masochistes ont été bien traités.

Un nouveau campement de plusieurs centaines de migrants, installé place de la République, à Paris, lundi 23 novembre, a été rapidement démantelé dans la soirée par les forces de l’ordre. Les migrants étaient en errance depuis l’évacuation d’un important camp d’exilés la semaine dernière à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Une partie des quelque 500 tentes bleues a commencé à être enlevée, parfois avec des exilés encore à l’intérieur, sous les cris et huées de militants et de migrants, à peine une heure après leur installation. (France Info)

On parle bien de « mêlée générale », on entend des cris et des insultes, mais personne n’a perdu un œil ou une main, et les tirs de LBD n’ont pas visé ces gentils migrants à la tête. Ce sont les militants gauchistes qui ont exacerbé la situation, contre le bon déroulement et l’application de la loi.

 

 

 

 

On a beau regarder, on ne trouve toujours pas de blessé grave parmi les centaines de clandestins qui ont violé notre sol et nos lois. On n’ose imaginer la même chose à Moscou…

Les clandestins survivants de cette immense rafle policière seront embarqués et débarqués ailleurs, là où les militants gauchistes ne les suivront pas, car leurs caméras vont rarement dans les villages de France qui « accueillent », contre leur gré et sur ordre du préfet, ces chances pour la France qui n’ont qu’un rêve : partir de ces coins perdus pour rejoindre les grandes villes, là où on peut en théorie travailler, mais plus sûrement vivre de l’économie noire.

En conclusion de cette fausse rafle qui ferait tant fantasmer les gauchistes, les Gilets jaunes n’auraient pas dû être tabassés, mais les clandestins ne devraient pas l’être non plus : ils devraient juste ne pas franchir nos frontières. Mais ça, ce n’est pas le gouvernement qui le choisit, c’est l’entité européiste qui dicte sa loi. Et comme nos gouvernements successifs sont pour, alors les Français sont roulés dans la farine.

Darmanin, pour faire bonne mesure, s’est fendu d’un tweet bien-pensant :

Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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