Il n’y a pas que les Français qui souffrent non pas du Covid, mais du covidisme, c’est-à-dire de la politique de destruction nationale (c’est plus précis que déconstruction) cachée derrière la pseudo-politique sanitaire. C’est un fait, le virus est le prétexte par lequel les forces mondialistes entendent détruire les dernières résistances à leur avancée, à leur pouvoir total. Pour cela, tous les coups sont permis : terrorisme, carpet bombing médiatique, répression policière et sanitaire, la répression policière étant le corollaire de la répression sanitaire. Sans cette police politique agressive, la menace de contraventions, de procès ou de coups dans la gueule, rien ne pourrait tenir. Comme dans l’URSS des années 30, tout a été fait pour que le peuple, surveillé à mort, truffé de délateurs, bombardé d’informations unilatérales et de mensonges grossiers, se retrouve enfermé dans l’enclos de l’oligarchie prévu à cet effet. Et gare à qui s’échappe !
Dans le film « l’armée des 12 singes », l’humanité, décimée par un virus mortel est dirigée d’une main de fer par un groupe de médecins et scientifiques. pic.twitter.com/BFrqMPjZIx
— Vertumne (@Vertumne1) November 22, 2020
Le programme d’agression mondialiste ne date pas d’hier. Déjà, en 2015 et 2016, les Français et les Belges ont subi des attaques des forces mondialistes sous couverture islamiste. Cette terreur fabriquée n’ayant pas réussi à faire basculer le peuple dans le giron oligarchique, et ce à cause des débunkages et de la montée du complotisme sur le Net, complotisme étant ici synonyme de lucidité, le Système est passé à la phase 2 : la terreur bactériologique. Depuis un an, l’ingénierie Covid frappe les peuples occidentaux de plein fouet.
Parallèlement, leur colonne vertébrale spirituelle, le christianisme, est attaqué de manière directe et virulente. On avait l’habitude des attaques constantes dans le milieu dit culturel, le cinéma, la publicité, les médias, mais cela ne suffisant pas à éteindre la foi, malgré des églises désertées, les forces mondialistes sont passées à la phase 2 dans ce domaine : la destruction physique des églises, et des plus prestigieuses ou symboliques d’entre elles.
Le coup semblait venir de « Daech », cette armée soi-disant religieuse qui détruit toute trace de spiritualité depuis son annexion irako-syrienne dans les années 2013-2015, mais Daech, sous pilotage de l’OTAN, s’en est pris au christianisme comme à l’islam, jamais au judaïsme. Des contradictions dangereuses sont apparues dans le programme mondialiste, ce qui ne l’a pas empêché de mener ses offensives sur plusieurs fronts : la guerre contre la foi et contre la résistance politique. Dans les pays occidentaux, l’Internet a été nettoyé progressivement de tout ce qui dénonçait cette guerre contre les peuples, pour reprendre l’expression de notre consœur Claire Séverac.
L’article 24 a été adopté ✅
Il empêchera la traque de nos forces de l’ordre jetées en pâture sur les réseaux sociaux.
Il garantit la liberté de la presse et la liberté d’informer.— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) November 20, 2020
Les peuples commençant à se réveiller sous les coups, car c’est toujours la souffrance qui rend lucide, jamais le confort (ça explique pourquoi les penseurs agrémentés par le Système sont aussi niais), les forces mondialistes ont augmenté la violence de leurs attaques, ce qui, en retour, a augmenté la résistance sur le Net et ailleurs, dans la vie courante. Même les plus soumis des abrutis par la propagande Système admettent qu’il se passe quelque chose, et quelque chose de grave.
On s’attaque à leur vie, à leur travail, à leurs enfants. On veut les égorger, sans raison rationnelle, on veut détruire leur travail, et on veut piquer leurs enfants, quand ce n’est pas pire. On rappelle que Bill Gates, le vaccinateur mondialiste fou, est lié au pédocriminel sioniste Jeffrey Epstein qui était à la tête, avec sa compagne Ghislaine Maxwell, du plus grand réseau de chantage de l’hyperclasse mondiale.
En cette fin d’année 2020, tous les repères moraux sont en train de s’effondrer sous la poussée mondialiste, mais cela libère aussi des forces contraires. Car quand on s’attaque au cœur de l’homme occidental, on réveille des monstres. Pour dire la folie qui s’est emparée de nos dirigeants officiels, en Belgique, le ministre de l’Intérieur Annelies Verlinden a menacé les Belges – un sur trois selon une étude – qui voulaient fêter Noël comme avant :
« Si nécessaire, en cas de nuisances sonores par exemple, la police sonnera aux portes. Mais entrer dans les maisons n’est pas une priorité. La loi ne le permet d’ailleurs pas non plus… Noël est une période importante pour beaucoup de gens, dont moi. Nous sommes maintenant à cinq semaines de Noël. Si nous nous en tenons tous aux mesures, nous pourrons peut-être offrir une perspective. »
On sent que le moment où la police politique des forces mondialistes sonnera aux portes pour embastiller ceux qui veulent vivre comme avant n’est pas loin. Pendant la pire période soviétique, soit les années 30, les fourgons du NKVD roulaient la nuit dans Moscou pour arrêter les dissidents, les saboteurs et autres asociaux dénoncés par leurs proches, leurs ennemis personnels ou politiques, et les amener à la Loubianka où ils étaient soit répartis dans les camps de travail, soit fusillés et brûlés sur place.
Un siècle après la naissance de l’URSS, comme Alexandre Zinoviev l’avait senti, et même calculé avec son occidentisme calqué sur le soviétisme, les peuples européens qui croyaient vivre en démocratie goûtent au knout du pouvoir, à la police politique, à la propagande délirante de la Pravda et à la dissidence pour les plus courageux. Et comme en URSS, les autorités spirituelles, les prêtres et les croyants sont dénoncés, poursuivis, pourchassés (voir le sort du cardinal Barbarin, lynché par la presse mainstream dont Le Monde, alors codétenu par Pierre Bergé). Les lanceurs d’alerte, eux, sont bannis par les médias mainstream et leurs succursales sur l’Internet, mais on dira Le média, puisqu’il n’y a qu’une seule voix officielle : celle de la version locale du mondialisme.
Les Russes ont mis 70 ans à se débarrasser du soviétisme, que ceux qui ont des oreilles entendent.
Découvrons Alexandre Zinoviev
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation