Christopher Cox Krebs, le directeur de l’agence de la sécurité des infrastructures et de la cybersecurité du Departement of Homeland Security, qui a qualifié la mascarade des présidentielles US de novembre 2020 comme l’une des « plus sécurisés de l’histoire des États-Unis », était l’une des taupes du Deep State (État profond) et un des techniciens de la fraude électorale massive 2.0 ayant caractérisé les présidentielles US 2020 à l’aide de logiciels plus perfectionnés que ceux ayant été utilisés pour la fraude de 2016, 2014 et surtout celles, mémorables, de l’an 2000.
Il est à noter que la fraude est un élément consubstantiel des présidentielles US depuis 1812. Le système de la fraude systématique a été réformé et amélioré pour la ré-election de F.D. Roosevelt et impliquait une Amérique récalcitrante dans la Seconde Guerre Mondiale (1941-1945).
Le système politique US est non seulement archaïque mais est en état de mort clinique qu’aucune forme de censure ne pourrait cacher.
Certaines voix demandent à ce que toute remise en cause de ce système politique soit interdite. D’autres demandent à traiter les accusations de fraude dans le processus électoral comme une négation de l’Holocauste. Quel que soit la prochaine administration-simulacre, elle n’aura aucune autre prérogative que d’amuser et entretenir le spectacle.
Trump a démontré à plus de vingt-cinq reprises consécutives qu’un président des États-Unis n’avait presque aucun pouvoir réel et qu’il pouvait même se faire interdire d’antenne et se faire censurer par les réseaux sociaux. Un fait public inédit qui discrédite définitivement le poste de président des États-Unis et confirme son rôle de figurant dans la pure vision d’un auteur de science-fiction comme Philip.K.Dick.
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