Après le scandale de la call girl, le scandale du Remdesivir désormais classé « traitement aggravant »

Après le scandale de la call girl, le scandale du Remdesivir désormais classé « traitement aggravant »
Après le scandale de la call girl, le scandale du Remdesivir désormais classé « traitement aggravant »

Après le scandale de la call girl, le scandale du Remdesivir désormais classé « traitement aggravant », alors que l’UE le 8 octobre s’est bêtement pressée d’en acheter 500 000 doses pour 1 milliards d’euros !

Macron savait que la molécule maudite était inefficace

Vous vous souvenez sans doute encore de l’étude concoctée par une call girl (Lancet gate) rétractée depuis, sauf en France …

Remdésivir ? La presse vous en parlait il y a quelques semaines comme la molécule miracle  de Guilead, Yasdan et Karine Lacombe . Les « complotistes » osaient contester  son inefficacité et les dangers pour les reins. Un milliard d’euros perdus pour le contribuable … Tout le monde avoue aujourd’hui ce que tous savaient depuis longtemps, même Macron.

Bien entendu il y a le niais de service,l’idiot amnésique : Castex… Il n’a même pas entendu parler du scandale de la call girl …

N’oublions pas l’Europe
La vengeance froide de Raoult : tendez l’oreille 20’


Didier Raoult : « J’ai vu la discussion entre yazdan et le directeur de Gilead qui se tutoyaient et qui disaient « tiens, tu va acheter du remdesivir, bien sur ça donne des insuffisances rénales mais ça on le savait » devant moi et le président de la république.
À la faveur des ventes de ce produit, initialement développé en vain contre la fièvre hémorragique Ebola, le groupe a vu son chiffre d’affaires trimestriel augmenter au total de 17% à 6,58 milliards de dollars. Gilead est aussi redevenu rentable sur la période, en dégageant un bénéfice net de 360 millions de dollar

À sa manière, La Commission européenne a également adoubé le médicament en passant commande de 500.000 doses à Gilead début octobre. L’objectif est d’aider les pays européens qui pourraient avoir des difficultés à s’approvisionner, les États-Unis ayant préempté une partie des stocks disponibles.

Un produit désormais abandonné

Il y a néanmoins un hic, et de taille. La trajectoire de la molécule, dont ce quasi-milliard de dollars n’est que le commencement de profits bien plus larges, ne poserait aucun problème si son efficacité avait été solidement avérée par la science. Mais c’est loin d’être le cas.

Les études disponibles sont au minimim contradictoires et, en France, la Haute autorité de santé a qualifié de « faible » le service médical rendu« C’est une autorisation troublante », déclare le docteur Peter B. Bach au New York Times. « C’est un ensemble très faible de tests pour approuver un antiviral ». Comme l’explique le quotidien américain, cette autorisation repose sur trois études : l’une payée par le gouvernement américain, les deux autres sponsorisées par Gilead.

Le service médical rendu est jugé faible compte tenu des données actuelles préliminaires qui montrent une réduction globale de 4 jours du délai de rétablissement clinique du patient (11 jours au lieu de 15) par rapport au placebo, et en complément des soins de support, ce qui est de pertinence clinique discutable. Le remdesivir ne montre pas à ce stade d’effet global sur la mortalité à 14 jours, avec un possible effet suggéré uniquement chez les patients qui nécessitent une oxygénothérapie à faible débit.

La commission de la transparence estime donc qu’une réévaluation est nécessaire sur la base les données de mortalité à 28 jours de l’étude américaine ACTT dès leur disponibilité et au plus tard en octobre 2020 dans un contexte de stratégies thérapeutiques très rapidement évolutives. Le remdesivir étant un antiviral, la HAS a également regretté l’absence de démonstration de son impact sur la charge virale.

Enfin, la HAS considère que l’accès au remboursement n’est pas justifié pour les patients hospitalisés pour COVID-19 avec une pneumonie nécessitant une oxygénothérapie à haut débit, ou une oxygénothérapie lors de la ventilation assistée non invasive ou invasive ou une oxygénothérapie par membrane extracorporelle, aucun bénéfice clinique n’ayant été suggéré dans ces populations à partir des données disponibles.

1. Le remdesivir ne peut pas être administré à grande échelle à un stade précoce de la maladie. En premier lieu, son coût est 400 fois supérieur à celui de l’hydroxychloroquine (2000 euros contre 5 euros pour un traitement de 10 jours). Deuxièmement, il est injectable (10 injections), ce qui rend son administration plus difficile que per os. Troisièmement, il présente une forte toxicité rénale qui empêche son utilisation précoce puisque la majorité des cas de COVID 19 évoluent spontanément de façon favorable.

  1. Il serait absurde d’utiliser ce médicament en phase tardive sévère où le virus a disparu de l’organisme !

Le remdesivir n’est donc pas un traitement envisageable et ce à tous les stades de cette maladie.

Les « complotistes  » avaient raison, tout comme ils affirme que la covid peut être soignée !


RÉAGISSEZ

Signez la pétition, nous sommes déjà 210 000 !

Rejoignez le groupe

source : https://pgibertie.com

Source : Lire l'article complet par Réseau International

Source: Lire l'article complet de Réseau International

À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You