Comme dirait Falardeau, « Ils l’ont-tu l’affaire, Les Amaricains? » ou encore quelque chose du genre, « ils sont-tu donc colonisés, nos journaleux de Radio-Canada? ». Il nous manque ce Falardeau, pour sa capacité à résumer les choses qui nous affligent.
Il aurait trouver les bons mots pour exprimer le dégoût qu’inspire l’obsession maladive de nos médiocres médias et politiciens qui jouissent par procuration de la politique étasunienne, cachant ainsi leur mépris profond de leur propre patrie et tout ce qui se passe chez nous.
Le le non-dit de cette jouissance est que nous vivons dans un état-vassal des États-Unis, une colonie, où, sur des décisions de grande importance, nous n’avons aucune prise, aucune influence, aucun droit de vote. Et ce qui est le pire, c’est que nos dirigeants et nos médias semblent aimer ça. Et ils laissent entendre que ça va changer sous Biden.
Conclusion : tant qu’à consacrer tant de temps d’antenne, tant d’encre de journaux et d’images de télévision et de réseaux sociaux sur les éternelles élections américaines, on devrait exiger le droit de vote. Car on a déjà abandonné note souveraineté pour redevenir porteurs d’eau, scieurs de bois dans notre propre pays.
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