par Marie-France de Meuron
Quel dieu attire toute notre attention? Quel dieu a tant de pouvoirs sur la majorité des dirigeants et des peuples? Quel dieu dicte nos conduites existentielles? Quel dieu nous imposent les gouvernements? A quel dieu dédions-nous nos économies?
Le Wiktionnaire définit dieu comme « celui qui est l’objet d’un grand enthousiasme, d’une vénération profonde, d’une vive reconnaissance, d’un extrême attachement ».
Pour lui signifier sa royauté, on lui octroie une couronne et des couleurs vives et lumineuses, en utilisant les moyens informatiques que le simple citoyen ne saurait manier.
Vous avez compris, il s’agit du virus couronné ! Il est l’objet de toutes les attentions, chaque être humain le percevant à sa façon mais tous soumis à l’intensité des informations transmises par les scientifiques, des mesures imposées par les dirigeants et les médias qui se laissent prendre par l’aura qu’ils lui ont octroyée et dans laquelle ils se font piéger, perdant la vision panoramique de notre monde. Dans un second temps, envahis par sa présence, ils se sentent mus par la volonté de le vaincre, s’appuyant sur un concept tout autant déifié : le vaccin. Et rebelotte, tous les regards et les espoirs se tournent sur la fabrication de ce que l’on met dans la catégorie des médicaments, tout en lui octroyant certains privilèges que n’ont pas les produits pharmaceutiques.
Mais en réalité, de quoi est constitué le virus couronné et dans quel terrain propice se développe-t-il ? En fait, ce n’est pas un dieu mais un simple serviteur du monde vivant. Pour le comprendre, il faut remonter aux travaux de Antoine Béchamp qui s’inscrivent dans une recherche scientifique très vaste qui conduit à une attitude thérapeutique particulière ne misant pas, contrairement à Pasteur, sur une entité ciblée sur laquelle focalise le courant de la pensée unique.
Quelle est la base des recherches de Béchamp? Dans une vidéo, il nous est montré l’origine de la construction des bactéries et des bacilles qui se forment et se déforment au gré des caractéristiques du terrain et des ordres émis par le cerveau. A la base, sont perçus des microzymas, points lumineux qui se conduisent comme des fourmis dans une fourmilière selon des informations chimiques et électromagnétiques reçues. Leur taille s’avère minuscule, non pas comme celle des images trafiquées par les informaticiens concernant le covid 19. Leurs dynamiques et leurs adaptations aux terrains nous sont explicitées clairement, ce qui permet de comprendre leur rôle de révélateurs des conditions présentes, loin de celui de dieux tout-puissants!
Toute expérience scientifique étant reproductible, d’autres médecins et chercheurs ont découvert des corpuscules très semblables que certains appellent « nanobactéries » alors qu’une géologue australienne les a appelés Nanobes. Au Texas, un géologue les a également détectés, » Les nanobes, une nouvelle forme de vie ? » . La NASA apporte sa contribution avec une météorite détachée de la surface de Mars. Une équipe finlandaise a aussi exposé des recherches qui sont relatées dans cet article » la nature exacte de ces minuscules particules reste très controversée ». Il en ressort toutefois que « des chercheurs du CNRS et de l’Inserm apportent la preuve définitive que les nanobactéries ne sont pas des micro-organismes mais des complexes de minéraux et de protéines ». Ces affirmations « définitives » ne tiennent pas compte que périodiquement, la science remet en cause des affirmations suivant de nouvelles idées et l’évolution technique.
Revenons à la pratique médicale qui fut établie par le Pr Günther Enderlein qui créa une isopathie basée sur les découvertes de ces microorganismes qu’il appela les endobiontes.
Il serait intéressant, à l’heure où le coronavirus se répand généreusement malgré masques et confinements, qu’on étudie mieux de quoi il est constitué et qu’on cherche à corriger le terrain dont il reflète les déséquilibres tant chimiques qu’électromagnétiques.
Ce qui laisse profondément songeur, c’est que tant de milliards d’euros sont investis pour une recherche de vaccins alors qu’on ne met en évidence aucune recherche déterminant les facteurs qui attirent pareillement le coronavirus chez les obèses et les diabétiques par exemple. Seulement voilà, les causes en jeu étant diversifiés dans des dimensions très distinctes les unes des autres, il est bien plus difficile d’établir des projets sur des sujets multifactoriels. On en oublie que l’essentiel est l’être humain global; fondamentalement un projet d’une telle envergure serait bien plus rentable au niveau sanitaire, donc économique, car les découvertes permettraient des thérapies utiles sur maintes pathologies alors qu’en visant UN virus, il faut recommencer tous les processus de recherche à chaque survenue d’un « nouveau » virus. Ce qui est très attristant aussi, c’est qu’en plus on fait taire ceux qui proposent des thérapies alternatives offrant leurs preuves sur le terrain et non principalement sous le microscope ou dans des études très partielles du fait d’être limitées à l’élément visé.
illustration: Nanobactéries, au-delà du micron
source:https://mfmeuron.blog.tdg.ch/archive/2020/11/09/qui-venere-t-on-actuellement-310518.html#more
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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