Après des mois d’ingénierie du chaos, les présidentielles US tournent à la farce avec non seulement une fraude massive totalement chaotique mais une ingérence des médias du gigantesque appareil de propagande (médias+géants du net+Hollywood) mais également des élites dirigeantes de pays étrangers comme l’Allemagne, la France et la Grande-Bretagne ou encore la Hongrie et l’Inde.
A l’heure actuelle l’équipe Biden/Harris a été adoubée uniquement par les médias et non par les urnes. Une première en matière d’ingénierie de la fraude électorale.
Avant de poursuivre et pour l’intérêt de la raison, le fait que le président des États-Unis d’Amérique, en théorie le dirigeant de la première puissance militaire mondiale, se fasse censurer en pleine allocution par l’ensemble des médias mainstream puis par Facebook, Twitter et YouTube est un précédent inédit qui prouve de façon définitive que les véritables décideurs sont tapis dans l’ombre et prouve par A+b que le poste de président, premier ministre ou n’importe quel Chef de l’exécutif en Occident n’est au mieux qu’un figurant/simulacre ou même un pantin jetable m’ayant quasiment aucun pouvoir de décision.
Cet épisode surréaliste conforte non seulement l’ensemble des thèses dites ou qualifiées abusivement de complotistes mais leur confèrent la seule légitimité possible en matière d’information ou du moins le décryptage des faits.
Des pays européens ont participé à cette mascarade. L’empressement précipité du Premier ministre britannique Boris Johnson, du président français Emmanuel Macron, de la Chancelière Angela Merkel et d’autres démontre qu’ils ne sont que des figurants de ce spectacle et qu’ils sont complices du grand cirque en cours aux États-Unis. Cela veut dire que la souveraineté en tant que notion n’existe plus. Les populations croient voter sur des figurants désignés à l’avance par des coteries transnationales appartenant toute à une oligarchie unique sur la base du chantage, du clientélisme ou de la soumission. On peut designer les différentes manifestations de ce phénomène sous le terme vague et peu précis d’État profond ou d’État capturé (Steve Brown) faute de le cerner dans sa globalité bien que l’on arrive aisément à identifier ses actions et les fondements sous-jacents sur lesquels elles sont basées.
Voici donc cette société du spectacle virtuel dans laquelle les médias MSM tant décriés par un nombre grandissant d’individus prennent une revenche et croient façonner le réel. Joe Biden n’a pas été élu mais désigné par les médias, Microsoft, Facebook, Twitter et ces nouveaux maîtres de la police de la pensée. C’est une dérive inacceptable de la technostructure vers un totalitarisme de fait. Fermez vos clapets!
En définitive, le système corrompu est en manque d’imagination et ne survit que grâce à la propagande et une nouvelle forme de fabrique du consentement (mais est-ce vraiment du consentement ?) via le nivellement par le bas des réseaux sociaux et des séries TV. On assiste à une époque où la réalité des séries TV US des années 2010-2020 est prise pour la réalité normative par des individus issus de tous les pays où cette propagande a cours. Trump a été naïf de croire qu’il pouvait dire aux médias US qu’ils étaient les Fake News sans réaction de la part des maîtres cachés de ces médias. Enfin, le système ne pardonnera jamais deux choses dont il a été horrifié : le séisme majeur provoqué par l’affaire d’espionnage Epstein-Maxwell et la longue et fastidieuse guerre du Russiagate. On n’expose jamais impunément les basses méthodes de l’ombre, le chantage à la vie privée et la pédophilie des élites au pouvoir.
Biden est en train de brasser de l’air comme il l’a fait durant toute une carrière basée sur le mensonge et la corruption. Les médias MSM peuvent brailler en boucle fermée. Ils sont totalement et définitivement discrédités et le système n’a plus aucune autre option que de déclencher un conflit majeur comme en 1941 pour mobiliser une forme de consentement contre une menace fictive.
Beaucoup de pays n’ont pas felicité Biden car ils savent que le cirque électoral US digne de la dernière république bananière caricaturale est un spectacle dangereux consacrant la mainmise et la dictature des GAFA, lesquels empiètent déjà sur le peu de souveraineté résiduelle des États-Nation. Donald Trump doit méditer les retournements spectaculaires de la guerre hybride et de l’ingénierie sociale par le chaos appliquées aux États-Unis comme il le furent en Roumanie, en Serbie, en Palestine, en Irak, Géorgie, en Ukraine, en Tunisie, en Egypte, Libye, en Syrie et dans un nombre impressionnant de pays.
L’hubris d’un empire en phase d’effondrement est toujours funeste. L’instabilité politique et socio-économique des États-Unis conduira à la guerre civile. Déjà un signe qui ne trompe pas: l’un des deux avions présidentielles d’Air Force One sera piloté par un officier britannique de la Royal Air Force et non pas par un Américain de l’US Air Force pour éviter tout incident fâcheux émanant d’une partie des militaires US dont beaucoup n’apprecient guère ce qui ce passe sous leurs yeux.
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