En refusant de soigner dès les premiers symptômes notre système sanitaire laisse se dégrader des pneumopathies d’une autre époque
Ne nous moquons pas des autres, même pas des Ricains, je crois bien que le reste du monde se fout de nous et de notre gestion hyperbordellique de la crise …
Heureusement Dieu a créé les Belges qui sont dans la même marmelade que nous…
Difficile de comprendre comment la France avec un jeune président génial, la population la plus jeune d’Europe, pratique le confinement le plus rigide, et enregistre un nombre de morts covid par million d’habitants, les plus élevés. (600, contre 135 en Allemagne, 270 au Portugal et 66 en Grèce).
Pour comprendre, il faut partir des chiffres et comparer les certitudes françaises aux réalités….
Nos sources sont officielles et européennes :
Il est possible d’observer la surmortalité.
« la France est un des pays au monde qui teste le plus ». C’est vrai mais ça fait rigoler les autres qui ne comprennent pas les délais tardifs des réponses. Les tests sont alors couteux et ne servent à rien sauf à gonfler le nombre de cas Covid. Tels qu’ils sont pratiqués ils multiplient les faux positifs et retrouvent des traces de la maladie d’il y a six mois…
La comptabilité des malades est pire que celle des élections américaines : les autres maladies ne semblent plus tuer en France, à croire que tout décès devient un décès covid…
Regardez l’évolution de la mortalité en France toute causes confondues et comparée aux autres années :
En Allemagne en 2020 pas même l’effet d’une grippette, aucune surmortalité même pas au printemps .
En France le désastre du printemps avec une forte surmortalité mais actuellement, cherchez la deuxième vague… ? seulement la mortalité virale saisonnière et un peu plus ….
Comparons avec le nombre de décès covid officiel :
La progression spectaculaire actuelle ne correspond pas à l’absence de surmortalité. Il semble bien que de nombreuses personnes mortes du Covid, soient décédées d’autre chose ou avec autre chose …
Une situation qui a été étudiée aux États-Unis
Mourir d’une pneumonie bactérienne banale à l’époque de la Covid
Est-ce à dire que derrière le covid se cache d’autres pathologies habituelles ; oui comme le prouve en France l’effondrement de moitié du nombre d’interventions de sos médecins pour pneumopathies saisonnières habituelles et souvent bactériennes sans doute diagnostiquées comme « covid »
Le même effondrement se retrouve aux urgences mais pas pour les hospitalisations qui au contraire augmentent. Conclusion : les pneumonies non covids sont toujours là mais sous une forme plus graves car elles n’ont pas été diagnostiquées et soignées assez tôt ! D’autres ont profité de l’infection virale pour se développer…
Il faut rappeler que face à une pneumonie la réponse classique passait par des antibiotiques, aujourd’hui tout signe de suspicion de covid conduit au doliprane et au refus officiel d’azithromycine…
Revenons à la situation comparative de quelques pays européens pas obligatoirement plus riches ou plus jeunes mais dans lesquels les choix sont différents : soins systématiques, utilisation d’hydroxychloroquine mais également d’antibiotiques
Regardez bien , c’est le modèle allemand que nous retrouvons ; pas de surmortalité….
Et ils confinent moins que nous
Les Suédois eux ne confinent pas et ils soignent aussi mal que nous…… Pas de seconde vague en Suède et le même nombre de morts par million d’habitants.
Heureusement Dieu a créé les Belges qui ont nos pratiques et nos résultats…
IL Y A UN MOYEN TRÈS SIMPLE DE VIDER LES SALLES DE RÉA et de faire baisser la mortalité de 70% : c’est de SOIGNER DES LES PREMIERS SYMPTÔMES
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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