Le 7 septembre 2020 – Source Paul Craig Roberts
La question que nous devrions nous poser, à nous-mêmes et entre nous, est celle-ci: pourquoi y a-t-il tant de désinformation à propos de la Covid de la part des autorités sanitaires, politiques, ainsi que des pressetitués? Beaucoup de désinformation nous vient des personnels de santé car eux-mêmes la reçoivent des autorités sanitaires et des chercheurs liés à Big Pharma. Mais pourquoi les autorités sanitaires elles-mêmes nous mentent-elles ?
Prenez la question des masques. Les masques que portent la plupart des gens dans le monde, y compris les personnels de santé, n’empêchent pas l’inhalation ni l’exhalaison des bactéries et des virus. Si une personne portant ce genre de masque a un rhume, la grippe ou la COVID, le masque l’empêche d’éternuer ou de tousser sur les autres, les comptoirs, les fruits et légumes. Mais il ne saurait lui éviter d’inhaler ou d’exhaler le virus de la COVID, car il est en suspension dans l’air et se répand par aérosol. Les seuls qui devraient porter ce genre de masques sont ceux qui, dans l’espace public, toussent et éternuent au milieu des autres. Pour éviter de répandre le virus, les gens infectés devraient rester chez eux.
Si les masques que portent les gens protégeaient contre les bactéries, les virus et autres agents pathogènes, point ne serait besoin des N95 [Équivalent américain du FFP2 européen, Ndt] et autres masques de haute qualité. Les autorités médicales le savent, pourquoi alors dit-on aux gens, et même les contraint-on de porter des masques inefficaces ?
Autre question dérangeante : des experts, qui n’ont pas de lien avec Big Pharma, nous disent que le port du masque est dangereux car il réduit la prise d’oxygène et accroît celle de CO2.Voici un spécialiste qui nous dit que le port du masque peut causer des dégâts irrémédiables au cerveau : Pourquoi donc les autorités sanitaires veulent-elles ralentir le développement des enfants et accroître les cas de démence chez les vieillards?
Voici un médecin qui nous dit que le port du masque augmente le nombre de pneumonies bactériennes.
Les dirigeants de la santé publique savent que le taux de létalité de la COVID est grandement exagéré. Les hôpitaux ont un intérêt financier à attribuer toutes les morts au COVID. Le CDC [« Centers for disease control and prevention », NdT] lui-même a révélé le pot aux roses [« let the cat out of the bag » dans le texte; NdT] en disant que sur les 200 000 morts attribuées à la COVID aux Etats Unis, 9000 seulement étaient dues à la seule COVID. Toutes les autres étant dues à 2,6 comorbidités qui se sont ajoutées à la COVID. Les décès sont concentrés chez les personnes âgées, et celles qui furent infectées, à supposer qu’elles l’aient été autrement que comme de « faux positifs », auraient aussi bien pu mourir de la grippe saisonnière.
Sans le vouloir peut-être, l’Organisation Mondiale de la santé paraît avoir confirmé que la COVID n’est pas plus dangereuse que la grippe.
Pourquoi donc les dirigeants de la santé publique ne donnent-ils pas cette information aux autorités politiques et au public, et pourquoi les journalistes ne la dénichent-ils pas ? L’information existe. Elle n’est simplement pas révélée.
Les autorités de la santé publique savent également que le nombre de cas de COVID est grandement surestimé, parce que les tests PCR produisent beaucoup plus de « faux positifs« que de vrais.
Un groupe international de juristes a conclu, à partir de preuves fournies par des témoignages d’experts, que la pandémie de la COVID fut orchestrée au service de puissants intérêts et aux dépens de la santé publique. Les médecins reconnaissent que la COVID elle-même est réelle, mais que la pandémie construite autour ne l’est pas.
Il se peut que les cours de justice soient aussi corrompues que les médias et les institutions démocratiques, et que les efforts des juristes n’aboutiront à rien. Néanmoins, les Américains et les autres peuples n’ont pas à persévérer dans la crédulité et à se comporter comme des moutons programmés par des « autorités » qui servent tous les intérêts, sauf l’intérêt public.
Comme je l’ai déjà dit dans d’autres articles, la COVID est un outil au service de plusieurs intérêts. Entre autres, la COVID est utilisée pour parachever l’État policier universel grâce à l’argent numérique. Dès lors que l’argent électronique remplacera les espèces, les chèques et les pièce de monnaie, le caractère confidentiel de vos finances, votre contrôle sur votre argent et vos biens disparaîtront. Le gouvernement connaîtra chacune de vos transactions et l’accès à votre revenu et à vos biens pourra vous être refusé selon le caprice des gouvernants et de ceux qui contrôlent la monnaie numérique. Vous ne pourrez pas accumuler des réserves en espèces pour vous protéger contre la spoliation.
Les crypto-monnaies privées seront détruites, et on empêchera la formation d’un marché noir alimenté par des pièces d’or et d’argent en saisissant les avoirs d’or et d’argent. Franklin D. Roosevelt, ce Grand Héros Progressiste [« liberal » dans le texte,NdT] a bien réussi, avec la technologie des années Trente, à enlever leur or aux Américains. Aujourd’hui, ce serait un jeu d’enfant.
Les autorités ont effrayé de nombreux Américains avec l’infection par le Coronavirus. Des gens fous de peur réclament impatiemment un vaccin superflu et insuffisamment testé. Le traitement par l’hydroxychloroquine et le zinc est efficace, mais toujours diabolisé par les autorités sanitaires afin de garder le marché prêt pour un vaccin qui contient des ingrédients dont on ne sait rien.
Au cours de notre histoire, nous autres Américains avons été trompés sur beaucoup de choses pour servir certains intérêts politiques. Contentons-nous des vingt premières années du 21ème siècle : le 11 Septembre 2001, Oussama ben Laden et les Talibans, les armes de destruction massive de Saddam Hussein, les mensonges à n’en plus finir sur Kadhafi et la Libye, l’invasion russe en Ukraine, l’utilisation d’armes chimiques par Assad, le « Russiagate », l’« Impeachgate », les primes russes aux Talibans pour tuer des soldats américains, les mensonges au sujet de la Chine, de la Somalie, et maintenant la supercherie de la COVID.
Les Américains sont-ils capables d’apprendre ? Combien de mensonges faudra-t-il leur raconter avant qu’ils commencent à s’étonner ? Ce n’est pas entièrement leur faute. Les explications qu’on leur donne sont contrôlées et s’accordent avec leurs préjugés innés. Les grands patriotes aiment bien avoir des ennemis à dénoncer, et on peut entendre, sur les ondes dites de droite, chaque jour, dénoncer la Chine, la Russie, et l’Iran. La gauche aime bien entendre confirmée sa croyance que l’Amérique est mauvaise. La gauche à glorifié les émeutes, les pillages, et les destructions qui résultèrent de la dissimulation, par les prostitués de presse, du fait que George Floyd est mort d’une surdose de fentanyl.
On n’a jamais appris aux jeunes générations comment penser. On leur a appris ce qu’il faut penser. Vous pouvez voir le résultat : les Blancs sont majoritaires chez les Antifas et les Black Lives Matter.
Dans le monde occidental, les faits ont cédé la place aux émotions. Le concept même de vérité indépendante n’existe plus. La vérité est ce qui sert un « agenda ». Vous pouvez le constater dans le procès d’Assange, dans une cour de justice britannique. Le juge et le procureur ne se soucient pas des preuves, mais seulement d’obtenir le résultat exigé par l’« agenda ».
La science elle-même est mise en danger puisqu’il n’y a plus que des vérités selon la race et le genre. Les médias sont au service de l’argent et de l’idéologie. Universités et école publique constituent un grand danger pour les sociétés qui les hébergent.
La controverse et le débat public n’existent plus. Chez les Américains, la violence devient de plus en plus le moyen privilégié pour régler un désaccord.
Les diseurs de vérité, d’abord ostracisés et mis sur la touche, sont désormais criminalisés, avec l’aide des médias. Les médias occidentaux stipendiés ont renoncé à la liberté et ne prendront aucun risque en défense du Premier Amendement. Ils aident même à abattre le dernier journaliste occidental : Julian Assange.
Sans des médias libres, il n’y a ni gouvernement responsable ni démocratie. Le vote n’a plus de pouvoir, comme dans la Russie de Staline. Il ne sert qu’à légitimer tout gouvernement choisi par ceux qui ont le vrai pouvoir.
Donald Trump sera le dernier président américain qui aura tenté de mettre l’intérêt du peuple au-dessus de celui des élites dirigeantes. Désormais, tous les candidats à la présidence sauront que leur réussite politique dépendra uniquement de leur aptitude à être la meilleure marionnette de l’Establishment.
Paul Craig Roberts
Traduit par J.A., relu par Hervé pour le Saker Francophone
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