Après avoir provoqué la colère des Noirs américains et du monde entier, Trump est parti se cacher dans son bunker sous la Maison Blanche. Cette bâtisse historique qui a été construite par des esclaves noirs est maintenant habitée par ce raciste avéré.
C’est l’heure de la vérité pour les Américains. Ça se règle où ça casse? La débâcle de l’empire américain approche. Et ça ne viendra pas de l’extérieur du pays mais de l’intérieur. Tout est en place pour la prochaine révolution. Même leur frontière a été bouclée. Une frontière pour cloitrer cet amalgame de gens craintifs et armés qui n’attendent que le mot d’ordre pour attaquer quiconque est devant soi.
Les riches beaucoup plus riches, les pauvres plus pauvres dans ce pays où les gens ne souhaitent que l’égalité et la tranquillité. Et non la confrontation à la Trump. L’ordre de confinement, c’est pour les pauvres. Il ne reste qu’à mettre un terme au totalitarisme aux USA et à gagner beaucoup plus d’acquis sociaux comme ailleurs dans le monde. Bill Gates n’est pas confiné. Cette personne tellement puissante qu’il peut renier l’essentiel car il a déjà tout, voyage comme avant!
Mais l’Américain moyen, qui ne fait que subsister depuis l’élimination de ses droits et libertés, et qui croule sous cette dette imposée sur eux par SON gouvernement (ses autorités souveraines?) sans son consentement? Que se passe-t-il? Cette brusque rupture, ces restrictions imposées, permutent sa zone de confort et le laisse avec un goût amer et des doutes sur le pourquoi?
Les riches américains ont un nom méprisant pour les pauvres de race blanche, c’est (white trash) déchet blanc. Le ras le bol est commencé je ne pense pas que les Américains vont attendre Octobre pour mettre Trump dehors. Le meurtre violent d’un Afro-américain lors d’une intervention policière a ravivé les tensions raciales. George Floyd, 46 ans, est mort pour rien, comme d’habitude.
Et nous, les Canadiens de service, on va être entraînés dans cette galère car toute notre économie est trop liée à ce géant qui change d’idée et de politique à tous les quatre ans.
John Mallette
Le Poète Prolétaire
Source: Lire l'article complet de Les 7 du Québec