par Strategika 51.
Selon des informations recueillies, l’opération terroriste de Vienne en Autriche est une opération sous faux drapeaux supervisée cette fois directement par les services spéciaux français visant à briser l’isolement de Paris sur la scène internationale et renforcer le camp pro-Biden dans la lutte en cours au sommet de l’Empire.
Les terroristes, très jeunes (certains sont nés en 2000) et contre toute logique habillés de blanc au lieu de treillis de camouflage ou de noir sont originaires de régions comme la Macédoine du Nord et le Kosovo dans les Balkans. Une région où l’Otan a favorisé la création de camp d’entraînement pour la chair à canon de l’Empire. Ils étaient armés de fusils d’assaut Zastava M70AB2 et ne cherchaient même pas à se cacher, ni des caméras de surveillance et encore moins des badauds. Le choix d’une synagogue dans l’ancienne capitale du défunt Empire Austro-Hongrois démontre que les commanditaires de cette attentat-spectacle se sont basés sur un ensemble de référents culturels et symboliques assez orientés.
Paradoxalement, deux des mercenaires envoyés par Paris en Autriche ont été mis en échec par des ressortissants turcs vivant dans ce pays. Un troisième a été abattu par la police autrichienne.
Cette opération terroriste a fait quatre morts et quatorze blessés est plus qu’étrange. Des terroristes tirant au hasard sur des passants sans discernement aucun comme ce fut le cas en Irak lors de la première émergence de Daech avec des armes et des véhicules 4×4 flambant neufs relèvent d’un scénario d’un film Chuck Norris (Invasion USA, 1985).
Le scénario de Vienne est grotesque, grossier et flagrant. L’allégeance supposée de très jeunes mercenaires à Daech alors que cette organisation terroriste créée par l’Empire et ses vassaux n’est plus qu’un épouvantail enfonce le clou. Pour la secte au pouvoir à Paris et surtout ceux qui l’utilisent comme écran de fumée, tous les moyens sont bons pour justifier une politique délirante tentant de ressusciter et faire perdurer le mythe de la guerre sans fin contre la terreur, concept que le camp de Joe Biden s’apprête à utiliser à nouveau en cas du retour au pouvoir des néo-conservateurs US à la tête de l’Empire.
Paris soutient les adversaires de Donald Trump et amorce un virage dangereux en commanditant les actes terroristes sur le territoire de pays d’Europe occidentale et centrale. Simultanément, la défense française se targue d’avoir éliminé, par des bombardements aériens combinés, une cinquantaine de « contrebandiers » sahéliens à la frontière entre le Mali et le Burkina Faso dans ce qui s’apparente à un délire en vase clos auquel la secte au pouvoir à Paris veut faire adhérer « ses partenaires » européens et africains. Ce délire est de même nature que celui destiné aux populations de France au sujet de la gestion anarchique d’un reconfinement burlesque et discriminatoire en termes de libertés individuelles et collectives. Il aurait donc fallu pour que les Émirats Arabes Unis, très grands financiers de France, soutiennent Macron pour que la secte au pouvoir à Paris se sent le vent en poupe.
Nous sommes probablement l’un des rares réseaux à avoir affirmé que l’avenir de la guerre hybride se basait sur les chiens de guerre ou mercenaires d’un genre nouveau, très jeunes et recrutés d’Europe de l’Est, du Caucase et d’Asie centrale. L’outil du terrorisme islamiste à la sauce des réseaux de l’Est ne fait plus recette en dépit de l’acharnement de Paris à le ressusciter. Cet acharnement semble incompréhensible pour beaucoup de pays et d’observateurs sauf si on le met en lien avec la guerre au sommet du pouvoir américain où se joue l’une des élections présidentielles les plus importantes de l’histoire des États-Unis et celle du monde. La France soutient le camp des bellicistes et souscrit sans réserve aucune à la thèse du choc des civilisations.
Ce n’est point un hasard si les affiches de très mauvais goût de Sasha Baron Cohen envahissent l’espace public en France pour promouvoir le port obligatoire de muselière humaine en attendant la suppression de toutes les libertés.
source : https://strategika51.org
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