Libérée de la violence conjugale: novembre-décembre 2020

Libérée de la violence conjugale: novembre-décembre 2020
novembre 2020

Québec, lundi le 26 octobre 2020 – Ce serait peu dire que Le Verbe ne chôme pas ! À peine son numéro spécial d’automne envoyé à ses abonnés que l’équipe s’est mise au boulot pour terminer celui-ci. Au menu : relations, connexions, amitiés et fraternité. Qu’en est-il des vôtres ? Diriez-vous qu’elles sont bonnes ? Dans ce magazine, vous en découvrirez des désirables comme des regrettables. Toutefois, ces hommes et ces femmes en ont tous retiré une chose : la connaissance de soi. 

« Fratelli Tutti, c’est pas du spagat’ » prévient notre rédacteur en chef, Antoine Malenfant, en parlant de la dernière encyclique du Pape François. Au contraire, en ces temps où nous en avons le plus besoin, le Saint-Père nous annonce que nous avons perdu le gout de la fraternité et de l’amitié sociale. Alors chers amis, chers frères, pourquoi ne pas prendre le temps de revoir nos relations ? Pourquoi ne pas commencer par nous connecter entièrement aux paroles et histoires aussi extraordinaires les unes des autres qui se trouvent dans ce magazine ?

Pour nous aider, Thomas De Koninck commence par nous rappeler la force de connexion que possède le regard (La pauvreté du visage, p.4). Bien que la pandémie nous oblige à revêtir un masque, celui-ci ne cache heureusement pas les yeux, médiateurs de « profonds échanges qui transforment la vie ». Prenons, de plus, exemple sur le célèbre acteur franco-britannique au grand cœur, Michael Lonsdale, qui « était libre parce qu’il aimait, et pas n’importe quel amour » (Michael Lonsdale [1931-2020], p.5). 

Parlant d’amour, c’est avec Brigitte Bédard que nous nous envolons, ensuite, pour la tumultueuse histoire de Raphaëlle Gagné qui nous rappelle que, bien que belles, les apparences sont parfois trompeuses (Les ailes de Raphaëlle, p.6). Si certaines relations peuvent sembler désirables, la vérité s’avère parfois être tout autre. C’est ce qu’a compris Raphaëlle qui, pour se sortir d’une relation toxique, s’est tournée vers Dieu. 

C’est une autre sorte de relation que nous propose le Frère François Pouliot, à la page 9 (L’appel de la chute : kayak, amitié et émerveillement, p.9). À travers les épopées de deux jeunes kayakistes de Quebec Connection, c’est une sincère amitié que nous découvrons, ainsi qu’une véritable connexion avec la nature et « le plus grand ». Pour sa part, Éric Bédard expose des connexions, cette fois-ci, idéologiques présentes au sein de la société et nous rappelle que « les grands enjeux politiques et sociaux sont à la portée de tous » (Les minorités agissantes, p.14). 

Enfin, relation rime parfois avec pardon. C’est ce que l’histoire de la sœur Renelle Lasalle veut nous enseigner, elle qui, autrefois habitée par de nombreux préjugés envers les Autochtones, a découvert chez les communautés du Lac-Simon, un peuple foncièrement humain, humble et plein d’amour (Les mains vides : une sœur chez les Anichinabés, p.16). Valérie Laflamme-Caron nous relate le récit d’une relation qui partant de l’hostilité s’est transformée en amitié. Jasmin Lemieux-Lefèbvre conclu finalement ce magazine en parlant de connexion spirituelle, et ce, en redevenant non moins que des enfants (Éternels enfants, p.18). Après tout, en tant qu’enfants de Dieu, n’est-ce pas la relation la plus importante que nous possédons ?

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Source : Frédérique Bérubé, responsable des communications par intérim
frederique.berube@le-verbe.com/ 581-777-1890
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Le numéro est disponible en téléchargement gratuit ici.

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À propos de l'auteur Le Verbe

Le Verbe témoigne de l’espérance chrétienne dans l’espace médiatique en conjuguant foi catholique et culture contemporaine.Nos contenus abordent divers sujets qui émergent de l’actualité. Et, puisque nous souhaitons que nos plateformes médiatiques suscitent le dialogue, on espère bien y croiser autant des réactionnaires pleins d’espérance que des socialistes chrétiens, autant des intellectuelles mères au foyer que des critiques d’art en bottes à cap.

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