Quand l’ordre du Monde fut renversé et remplacé par le désordre, du mot « mas » (mâle) on fit « masque », « masquer », « mascarade ». Un vieux mot arabe, « maskara », exprimait déjà cette idée.
C’est cet homme masqué que la Comédie étrusque représenta dans Arlequin.
Arlequin c’est l’homme masqué, qui cache ce qu’il est réellement et qui porte un habit fait de toutes sortes de pièces d’étoffes différentes. C’est le type de l’homme qui fait sa personnalité de tout ce qu’il prend aux autres. Ces morceaux disparates représentent les idées nées dans le cerveau des autres qu’il s’est assimilées.
Rappelons que les Muses (les savantes) avaient accusé les hommes de leur prendre leurs idées et de faire des ouvrages qui n’étaient qu’un assemblage de copies disparates des pensées d’elles toutes. On représentera cet assemblage dans la comédie étrusque par l’habit d’Arlequin. Les hommes se vengèrent de cette accusation en la renvoyant à la femme, et Mosa, la Muse, la Déesse Myriam-Hathor, auteure du Sépher qui servira à faire le premier Livre de la Bible, la Genèse, qui en sera la caricature (une « père-version »), en fut victime comme les autres ; et les hommes créèrent le mot « mosaïque » (fait de morceaux disparates) pour désigner son œuvre et se venger de « l’habit d’Arlequin ». Et voici le personnage de Moïse inventé.
On fait aussi de la même racine « mas », mastino (mâtin), chien de garde (le Cerbère de la mythologie, qui interdit à la Femme l’entrée du monde masculin) ; on fait matois, qui indique la ruse, puis on fait « male dicere », qui deviendra « maudire », « mal gré », qui deviendra « maugréer ».
Tout cela montre que ce n’étaient pas des bénédictions que l’homme récoltait alors et déjà.
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/celtesetlatins.html
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International