Très intéressante, cette idée de “Convoi pour la Liberté” :
aisément concrétisable et développable par le citoyen de base, en “dur” et en “mobile”, impliquant des files de voitures, camions, tracteurs, motos… et chiffrables en dizaines, centaines, milliers de kilomètres, aussi auto-catalytiques par leur ampleur, leurs enjeux mêmes, auto-organisables à partir de “là ou l’on est”, “là d’où l’on part”… enfin convergeant peu à peu, au fil de ces “thermo-manifestations” :
inter-quartiers…-villes…-régions…-nations…
… jusqu’aux divers lieux de pouvoir : préfecture, ministères, assemblées nationales, palais présidentiels, gouvernances bancaires…
[Le problème du flicage-fichage des plaques d’immatriculation est résolu par la marée finale…]
En somme, historiquement, le caractère impressionnant – en force et détermination – des convois militaires (camions, chars, motos…) se voit habilement repris et légitimement retourné par la société civile en dissidence pacifiste mais active, intimidatrice (comme déjà par le passé les manifs de tracteurs, les “bonnets rouges”, les ambulanciers, etc.) et à terme victorieuse, et ce : inter-activement, inter-localement, “inter-nationalement”, contre le même ennemi totalitaire : mondialisme du NOM…
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