Avec un tel titre interrogatif en pleine période de répression covido-islamiste, même un enfant de cinq ans se doute de la réponse : ben non, hélas, vu le nombre de tocards qui se font tester 10 fois, c’est sûr qu’il va falloir reconfiner. Les arguments de 20 Minutes, le torchon gratuit, sont sans équivoque dans l’intro :
Taux d’incidence du virus en hausse, lits de réanimations majoritairement occupés par des patients de Covid-19… En pleine seconde vague, la France peut-elle échapper à un reconfinement ?
Tout est faux ou presque dans ces deux phrases, mais en octobre 2020, la vérité ne fait plus partie des obligations de la presse mainstream. Ce qui compte, ce sont les mots d’ordre qui viennent d’en haut, de la Hochkommandantur, le reste c’est de la littérature. Ainsi, Macron, après avoir dit qu’un second reconfinement tuerait la France, se prépare, ou plutôt prépare l’opinion, à des reconfinements ciblés, on dira des reconfinements chirurgicaux, comme les bombardements du même nom.
En Iraq, en 2003, la presse mondialiste avait réussi à faire gober aux foules que les missiles et les bombardiers US choisissaient leurs cibles avec tact, précision, et humanité. Bilan, 162 000 morts directs, et 500 000 sur 8 ans, jusqu’à la fin théorique du conflit en 2011, lorsque les takfiristes (formés par la CIA dans les geôles irakiennes) ont pris le relais des Américains…
Les Irlandais et les Gallois ont ouvert le chemin, la France ne devrait plus tarder. Entre ça et le couvre-feu, il ne manque plus que l’état de siège et ce sera le pompon. Ce qui milite pour des reconfinements chirurgicaux, c’est l’exemple de la Lombardie, là d’où est partie en Europe cette étrange pandémie début 2020, et probablement fin 2019. Le nombre de morts, lui, ne bouge pas beaucoup plus que d’habitude mais cela ne fait rien, ce qui compte, c’est l’effet, pas la cause. Retour en tableaux sur une polémique née en mai 2020 :
Naturellement, face aux chiffres de l’INSEE, CheckNews du journal Libération a réussi à nous expliquer que ces chiffres, euh, eh bien il fallait attendre un peu pour les comparer. Pourtant, le tableau est là, et une version plus claire se trouve ici :
Naturellement, il ne peut s’agir que d’un complot démographique, statistique, ou arithmétique. Des chiffres qui contredisent la psychose officielle, c’est pas possible ! Mais rien n’arrête 20 Minutes qui insiste bien sur la seconde vague, pourtant inexistante, à moins qu’on ne parle des effets de la propagande sur les esprits hypnotisés.
Un peu de lavage de cerveau
Lorsque, après la guerre de Corée (1953), les Américains ont retrouvé leurs pilotes qui étaient passés par les prisons communistes, ils ont étudié la technique de lavage de cerveaux des Rouges et entrepris un rattrapage à très grande vitesse dans le domaine sensible de la guerre psychologique.
Dès le début des années 60, la CIA lançait des programmes tous azimuts où, dans les universités ou les centres de recherches dirigés par des psychiatres douteux qui collaboraient avec l’armée, de pauvres civils qui entraient pour une dépression se retrouvaient cobayes dans les griffes de Mengele du renseignement.
On leur mettait un casque sur la tête, avec des bandes enregistrées qui passaient des messages rendant dingue, le tout dans des univers fermés à toute relation humaine, on appelle ça de la privation sensorielle. Au bout de deux ou trois semaines de ce traitement, les gens étaient bons pour la décharge, ou d’autres menus emplois… Une branche de ces études deviendra le fameux programme MK-Ultra.
Le professeur d’histoire Alfred MacCoy décrit le processus :
« Les patients venaient consulter pour des troubles psychologiques ordinaires, ils signaient une décharge, ils subissaient alors toutes sortes d’expérimentations, des privations sensorielles extrêmes, un isolement total pouvant durer jusqu’à un mois. Il affectionnait particulièrement un casque de sport équipé d’un lecteur de cassettes qui diffusait en boucle jusqu’à 500 000 fois des phrases comme “ma mère me hait”, il leur grillait le cerveau à coups de psychotropes, de privations sensorielles et d’agressions psychologiques et émotionnelles. »
Dans le même documentaire diffusé par Arte le 26 novembre 2019, on apprend de la bouche du Pr Zimbardo, auteur d’expériences à la Milgram, que
« les forces situationnelles peuvent engloutir et aliéner même les meilleurs d’entre nous. des gens ordinaires placés dans un environnement hostile peuvent se transformer et faire corps avec cet environnement ».
Tous ces spécialistes ont travaillé sur le concept de « douleur auto-infligée », qui consiste, pour un pouvoir, à torturer quelqu’un sans le toucher, principe qui a été adopté puis développé jusqu’à récemment à Guantanamo contre les ennemis de l’Amérique. On doit toutes ces magnifiques découvertes au père de la torture psychologique moderne, Donald Hebb, moins connu que Mengele, mais plus féroce sur la durée.
Le Dr Macron aux commandes
Pourquoi ce détour par la CIA et le lavage de cerveaux ? Parce que la France est en plein dedans, dans une expérience milgramesque grandeur nature, où deux virus fantômes font office de chiens de l’Enfer qui distillent une terreur diffuse qui tient les gens en laisse. Des chiens qui tiennent des gens en laisse…
Ce management national par la peur, le stress et les électrochocs est la marque d’une oligarchie psychiatrique en plein travail. Nos lecteurs ont raison de dire que la France est devenue un HP à ciel ouvert. Les chocs terroristes sont calculés, ciblés, chirurgicaux, sur des cibles catégorielles qui touchent des millions de Français par rebond ou capillarité.
Il s’agit pour ce qui concerne le terrorisme islamophobe de faire basculer les corps constitués dans l’anti-islamisme, c’est-à-dire dans le camp sioniste : prêtre égorgé à Saint-Étienne-du-Rouvray, couple de policiers poignardés à Magnanville, jeunes filles égorgées à Marseille, gendarme Beltrame égorgé, prof décapité… Toutes les catégories de Français doivent être aux prises avec l’islam(isme) égorgeur, et les Français, longtemps inhibés par l’antiracisme, sont priés aujourd’hui de devenir racistes. C’est la Badinter qui a demandé à ce qu’on libère la parole de ce côté-là. Un mot d’elle et on plonge dans la Seine.
Covid et Islam se rejoignent et se confondent dans la propagande officielle.
20 Minutes, dans sa démonstration ultra rigoureuse, donne la parole à deux médecins propagandistes :
Et effectivement, il y a de quoi être pessimiste. Pour l’infectiologue Nathan Peiffer-Smadja, non seulement la situation est mauvaise – lits de réanimation majoritairement occupés par les patients Covid-19, taux de positivité très important, hospitalisations massives ces derniers jours et semaines – mais surtout « cette situation évolue également dans le mauvais sens, sans qu’on n’arrive pour le moment à endiguer et encore moins stopper la progression du virus ».
Jérôme Marty, médecin généraliste et président de l’Union française pour une médecine libre (UFML), pointe quant à lui particulièrement le taux de positivité supérieur à 13 %, « et bientôt à 14 % ». Constat sans appel pour lui : « Cela montre que le virus nous a échappé. Nous sommes aujourd’hui incapables de remonter les filières de transmission et les clusters sont trop nombreux, en plus d’être diffusés sur tout le territoire ». Le médecin s’interroge : qui aujourd’hui ne connaît pas un proche ou un proche de proche a minima cas contact ?
Et arrive à présenter le couvre-feu comme un « faible espoir » ! Nathan Pfeiffer-Smadja ne nous laisse pas la choix, pardon, le choix :
« Il ne reste plus beaucoup de leviers avant le confinement total : le levier « bars et restaurants » est pleinement activé, tout comme celui sur le respect des gestes barrières et la prudence. À ce stade-là, soit les Français les appliquent déjà, soit les rappels du gouvernement ne les feront pas changer d’avis. »
Et si on restait tous chez nous, sans bouger, en isolement sensoriel, avec quelques électrochocs terroristes venus de nulle part (le malade est trop occuper à trembler pour distinguer le médecin), est-ce qu’on pourra échapper au confinement total et éternel, monsieur le Sachant ?
La bonne nouvelle, car il y en a une, c’est que les psychiatres qui se sont associés à la CIA pour torturer des civils dans les années 60 sont aujourd’hui devenus des ennemis de l’humanité. La mauvaise, c’est que ça a mis 50 ans à sortir. On espère que nos compatriotes iront plus vite en comprenette, ou alors ils finiront tous dingues.
Bonus : même Blachier doute des chiffres…
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation