Denis Jacquet, soit c’est ton entreprise soit c’est la liberté telle que pouvait la définir le concept des libertés publiques fondamentales
le choix devient cornélien
juste deux remarques
dans cette néo-dictature, espérer de pouvoir sauvegarder son entreprise ?
rien n’est moins sur
comment, en cas de malheur, pouvoir espérer se refonder dans le champs des contraintes présentes et futures
se refonder dans un espace de libertés, me semble plus crédible, non ?
dans les champs des possibles qui s’offre a toi, le choix n’ est pas si cornélien qu’il n’y parait
bref, grève générale ou pas grève générale ? parce qu’une fois en faillite, ton poids sera égal a zéro et une grève un non sens, c’est d’ailleurs le but de tout ce que tu dénonces
autant monnayer sa valeur encore disponible, avant qu’elle ne parte en fumée
les gochistes demandent toujours de se mettre en gréve, une fois le plan social annoncé, c’est absurde, c’est trop tard
l’auraient t ils demandé avant l’acte de cession-fusion afin de donner une valeur rikiki aux espoirs de plus-value des investisseurs- démembreurs ? jamais, car ils auraient perdu leurs rôles d’alliés objectifs de ce qu’ils dénoncent, c’est à dire leurs âmes
Denis Jacquet, svp, ne faites pas comme eux !
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