Campagne de dons – Septembre-Octobre 2020
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par Jean-Dominique Michel
Il est extraordinaire de constater comment le conditionnement opérant mis en œuvre ces derniers mois parvient à entretenir ni plus ni moins qu’un état de terreur au sein de la population. On savait les gouvernements occidentaux au sommet de l’expertise en matière de création « fake news » (demandez-en quelque chose au journaliste Julian Assange, lâchement lâché par ses « confrères ») – les voici aussi en pleine action pour terroriser durablement leurs populations.
Dans une suite de manœuvres qui n’est bien sûr pas perdue pour tout le monde : le constat, posé par l’OMS, de l’inefficacité du fameux Remdesivir (celui qui a conduit nos gouvernements à prohiber l’hydroxychloroquine dans un élan magistral de corruption systémique…) fait suite d’une semaine à l’achat par la Commission européenne de 500’000 doses du pseudo-remède pour un coût de 850 millions d’Euros.
D’un médicament approuvé à la hâte, sans données probantes, et dans une inégalité de traitement scandaleuse avec l’HCQ, dont la prescription en AMM n’aurait jamais dû être contestée en aucune manière et encore moins interdite.
Une des choses que cette crise révèle, c’est en effet que nous ne savons plus ce qu’est une épidémie et la réalité de la vie, de la maladie et de la mort.
Les « autorités » confondent des tests PCR à 40-45 cycles d’amplification avec des cas diagnostiqués de COVID-19 !
Prendre des décisions intelligentes dans un tel état d’égarement n’est simplement pas possible.
Et oui, les services d’urgence des hôpitaux sont régulièrement engorgés du fait d’infections respiratoires virales, année après année.
Voici ce qu’en dit un observateur hautement averti, le Dr Christophe de Brouwer, professeur honoraire de l’Université libre de Bruxelles à l’Ecole de Santé Publique, dont je recommande la lecture des réflexions toujours pertinentes et sagaces. Le Pr de Brouwer, qui fut directeur d’un centre de recherche et responsable de filières d’études, ainsi que président (doyen) de l’École de Santé publique, est médecin et docteur en sciences de la santé publique (PhD).
Gardons la tête froide par rapport à ce qui se prépare !
On a chaque fois la vilaine impression que, juste avant ces « conseils nationaux de sécurité » et/ou « comité de concertation », on fait le forcing pour que l’image soit la pire, la plus tragique possible. Justification cherchée de nouvelles mesures prises ?
Troublant que l’on fasse plus de 70 000 tests, un record, le 14 octobre, troublant que ce soit, forcément le chiffre de tests + (> 8000) lié à ce record, qui soit repris par tous les journaux apocalyptiques. Pourtant, en chiffre relatif, ce n’est pas le pire taux que nous avons connu ces derniers jours. (Et nous savons la précarité de tels chiffres !)
Et que dire de nos hôpitaux proches de l’asphyxie : ils sont encore largement vides, mais comme on réserve spécifiquement des lits covid bien séparés du reste, on induit une difficulté supplémentaire de gestion à un période où, avec les températures descendant, la saturation des hôpitaux, comme chaque année, est en vue. Merci à la politique générale suivie depuis des années. Pour se faire soigner, faut-il aujourd’hui être covid+ ?
Que dire de la grippe qui vient de reprendre pied dans notre pays, comme chaque année. Sont-ils considérés comme covid, compte tenu de symptômes identiques ? Il est à craindre que oui pour un certain nombre : les courbes d’augmentation d’hospitalisation sont aujourd’hui bien parallèles à l’augmentation des syndromes grippaux repérés par notre système de « vigie ». Il faudra être attentif à cet élément de confusion (et nous savons par l’expérience que confusion il y a).
Encore beaucoup de chose à dire, mais on a la semaine pour examiner cela à tête reposée.
Car, il est un fait que notre mortalité générale est parfaitement stable, même un peu inférieure à l’ »attendu » en ce début de mois d’octobre, et que ce simple fait, statistiquement solide (contrairement aux autres chiffres qu’on nous jette), devrait complètement nous rassurer.
Brandir une situation normale pour la mi-octobre comme un événement paniquant est le nième non-sens de la gestion catastrophique des pouvoirs politiques et médicaux. Les procès en responsabilité des dommages collatéraux vont être, eux, sans précédent !
Et si vous avez des questions sur l’affirmation d’Emmanuel Macron qu’il allait falloir nous habituer à subir des mesures violant nos libertés fondamentales, individuelles et publiques, jusqu’à l’été prochain, le lecteur un tant soit peu éduqué de ces réalités aura compris que c’est à l’heure actuelle l’horizon prévisible de la mise sur le marché (et l’imposition directe ou indirecte) du vaccin contre le COVID, aussi risqué soit-il.
Bref, tout ceci ressemble bel et bien à un gigantesque Hold-Up, sachant que le « business modèle » de l’exploitation lucrative éhontée d’une pseudo-pandémie avait été testé en 2009 à l’époque donc du virus H1N1 : vente massive aux états d’un médicament dont il a été révélé par la suite qu’il était inutile, vente massive de vaccins à risque (causant une épidémie d’effets secondaires et handicapant à vie 200 enfants français), tout ceci pour des dizaines de milliards de dollars de profits pour l’industrie pharmaceutique et vaccinale. Le détail de ces faits -et leur documentation rigoureuse- figure dans mon livre « Covid : anatomie d’une crise sanitaire ».
Terroriser en continu la population est la condition sine qua non pour toucher le jackpot. Ce qui devrait (éventuellement, pourquoi pas) poser la question de l’allégeance de nos gouvernements, et de leur respect du serment solennel qu’ils ont tous fait de servir prioritairement le bien de la population.
Heureusement, des citoyennes et citoyens de bon sens, intègres et engagés, s’activent pour que nous ne soyons pas juste les dindons d’une farce qui n’est plus drôle depuis longtemps. Je suis très heureux de donner ici à lire (avec son aimable autorisation, dont je le remercie) le second texte du Dr Frédéric Badel, médecin-psychiatre, sur la folie (mais peut-être encore plus encore la perversité) des temps.
*
De l’absence de sens à la dictature sanitaire en passant par la “terreur permanente”, le Dr Frédéric Badel explore dans cet article les causes et conséquences de la crise associée au Coronavirus.
par Dr Frédéric Badel
COVID 19 : l’imposture
Malgré les nombreux appels à la raison lancés par différentes personnalités du monde médical et scientifique, malgré des recherches mondiales tendant à prouver que l’épidémie est terminée, que le virus a muté, le gouvernement maintient une pression quotidienne à grands renforts de spots alarmistes, pénétrant un peu plus chaque jour dans notre vie privée et nous préparant à une vaccination.
La peur s’est installée grâce à un conditionnement quotidien, une culpabilisation et des sanctions.
Elle se pérennise par d’autres mécanismes qui se superposent à ceux-ci.
L’absence de sens
Dans nos démocraties, nous sommes habitués à avoir des explications qui nous permettent de donner un sens, de comprendre ce qui nous arrive, ce qui arrive aux autres, d’orienter le monde pour nous y mouvoir et nous y adapter. Pour résumer, nous pensons que les personnes que nous avons élues œuvrent pour le bien commun. C’est un monde idéal, voire idéalisé.
Actuellement, le sens a disparu car tout et son contraire est dit sur le virus, et même les chiffres, éléments objectifs, ne sont plus pris en compte.
L’annonce de la catastrophe imminente nous maintient dans la plus grande incertitude et notre horizon se restreint. Les mesures de protection sont prises sans discussion, de façon arbitraire, le peuple étant totalement exclu et n’ayant aucune remarque à formuler.
Le gouvernement décide seul, avec le conseil scientifique covid19, de ce qui est bon pour nous, ce qui doit nous protéger, quitte à nous bâillonner, nous enfermer, nous sanctionner, nous tracer, nous exclure de nos emplois. Certaines villes sont frappées de privation de vie sociale, leur vie économique est réduite, laissant de nombreuses personnes sans emploi, dans l’angoisse du lendemain. Marseille hier en est le triste exemple. Quel sens donner à des décisions iniques ?
Privés d’éléments factuels et pertinents pour donner du sens, nous sommes de plus en plus sous emprise. Or, une personne sous emprise vit dans une terreur permanente qu’elle essaie de maîtriser en s’ajustant perpétuellement à la personne qui la dirige, pensant qu’elle est responsable de la situation et que, si elle opère les ajustements corrects dans son comportement, la situation s’améliorera. N’y parvenant pas, elle se pense mauvaise, justifie les mauvais traitements et sanctions qui peuvent lui être imposés, se culpabilise et augmente ainsi l’emprise, ou reporte la faute sur le voisin qu’elle sera prompte à dénoncer. Sa faculté de penser, son identité, s’amenuisent jusqu’à disparaître. Il devient alors très difficile de revenir à l’état initial, celui d’avant la peur et l’emprise. Celui du monde d’avant.
Les études rassurantes sur l’épidémie ou celles rapportant le caractère inutile, voire nocif du confinement, sont mises en quarantaine (ex : Full lockdown policies in Western Europe have no evident impacts on the covid-19 epidemic– Thomas Meunier, 24 avril 2020. ResearchGate).
Sous emprise (orchestrée par la propagande incessante couplée à la répression), nous sommes donc prêts à agir de façon irrationnelle, à nous faire tester pour ne pas risquer d’être dangereux, pour pouvoir travailler. Si nous sommes positifs, si nous détectons dans notre appendice nasal le signe d’un contact avec le virus, nous nous mettons spontanément en quarantaine pour ne pas nuire, empêchant ainsi l’apparition classique d’une immunité collective qu’on pourrait attendre.
Les patrons, les employeurs demandent des tests comme garanties d’agir en bons soldats et font du chantage à l’emploi, faisant fi du secret médical.
Des files d’attente se forment ainsi pour des tests qui, dans l’immense majorité des cas, ne servent à rien, la plupart des personnes étant asymptomatiques ; les gens observent avec méfiance ceux qui ne respecteraient pas le port du masque à l’extérieur, alors même que son utilité est quasi nulle (Swiss Policy Research).
Ces nouvelles habitudes rentent dans les mœurs. Nous sommes les grenouilles de l’expérience de Friedrich Gold : Gold testait la rapidité du système nerveux des grenouilles en leur infligeant un stress, à savoir faire monter la température de l’eau dans laquelle elles étaient trempées. Si la température montait brutalement, la grenouille s’échappait. En chauffant l’eau très graduellement, la grenouille se laissait cuire sans bouger et on la retrouvait morte. Même prise sous l’angle de la fable, nous pouvons craindre que le feu soit doucement allumé depuis mars par un gouvernement peu soucieux de notre santé.
De nombreux médecins étant contaminés par cette peur, certains malades ne sont même plus examinés. Ils sont atteints de la monomanie covid et la défiance des patients à leur égard commence à être perceptible.
Notre monde devient inhumain : les patients malades atteints de pathologies graves qui vont mourir sont évités, y compris par leurs proches, pour leur bien évidemment, et ils vivent leurs derniers moments dans le plus grand isolement ; les personnes âgées, sous prétexte de protection toujours, doivent être évitées… on les prive de ce dont elles ont le plus besoin. Qu’elles meurent de tristesse est permis, mais surtout pas du virus.
Nous développons la société du sans contact. Après que le sans-contact se généralise pour les paiements, il s’immisce dans les relations, y compris familiales.
Le maintien des comportements de sécurité inadaptés permet la propagation de la peur, de l’emprise, de l’idée de la présence menaçante du virus.
Nous sommes sous emprise, ne parvenons plus à réfléchir, nous nous laissons manipuler au point de nous transformer en grenouille.
Restreindre nos libertés, sur quel fondement ?
Si les décisions de restrictions de nos libertés ne sont pas scientifiquement ou médicalement justifiées, elles ne peuvent être que politiques.
Après les premières erreurs d’évaluation, le tort de nos dirigeants est d’avoir persisté sciemment dans l’erreur. Pourquoi maintenir des mesures liberticides, populicides (carence de soins, retard de prises en charge, suicides…) et nous pousser vers un avenir déshumanisé dans lequel tout est considéré comme dangereux ? Pour notre bien ?
Du point de vue ontologique, ce monde vers lequel nous allons est une aberration. Nous restons mortels et ne pouvons-nous protéger de notre environnement bactérien et viral qui nous fonde. Les hominidés ont toujours vécu entourés de virus ; certaines pandémies ont décimé une partie de la population mais n’ont pas éteint l’espèce. Le virus actuel est loin de posséder le caractère agressif de la peste noire de 1348.
Vivre est dangereux, vivre est mortel, l’histoire d’une vie se termine toujours de la même façon. Une question plus intéressante à débattre est de savoir comment nous comptons vivre cette vie.
Le ministre de la santé a asséné que nous devions apprendre à vivre avec le virus. M. le ministre, cela fait plus de trois millions d’années que nous faisons ainsi et en tant que médecin, vous ne l’ignorez pas. Jusqu’à aujourd’hui, cela s’est plutôt bien passé. Depuis que vous avez l’orgueil de prétendre pouvoir contrôler la propagation d’un virus, toute une population souffre.
Le port du masque est une tentative de muselage des populations : pas de preuve scientifique de son efficacité ; de plus, à regarder l’usage qui en est fait le plus souvent, (il est plié, mis, enlevé, remis, rangé dans une poche de jean), il serait rendu rapidement inopérant. Le masque est inefficace, et il est dangereux : les témoignages sont nombreux qui rapportent allergies, problèmes respiratoires divers, migraines. Il est vrai que réaliser une journée dans des conditions de privation d’oxygène est risqué.
On permet ainsi à des élèves masqués d’en fréquenter 35 autres également masqués chaque jour pendant 8 heures mais on interdit les regroupements privés de plus de 10 personnes. Dans les restaurants, on permet aux clients assis d’enlever leur masque mais on impose à ceux qui sont debout ou se déplacent de le mettre etc. Il n’y a plus aucune cohérence visible dans cette accumulation anarchique de règles dites sanitaires, il n’y a plus que l’arbitraire.
Le port du masque rassurerait la population entend-on parfois. En quoi les comportements de sécurité ont-ils jamais permis d’éteindre un signal de danger ? Au contraire, ils effraient.
Un proche me disait qu’il avait été arrêté dans la rue car son masque n’était pas positionné correctement. Quelle est cette police des mœurs qui émerge, digne des polices islamiques des Ayatollah iraniens ou des talibans afghans ?
À quand la lapidation publique pour avoir invité chez soi plus de dix personnes ?
Nous sommes poussés à la délation par des instances qui ont perdu toute boussole et refusent de regarder les données scientifiques.
La manipulation des chiffres : L’automne et l’hiver sont les saisons propices aux infections ORL et pulmonaires. Nous aurons donc des malades et des morts comme chaque année. Leur décompte, couplé à la détection systématique du covid, risque de gonfler les chiffres des « morts du covid » en ne les différenciant pas des « morts avec le covid », comme cela a été fait semble-t-il en début d’année 2020. Or, « Depuis le 1er mai, comme le confirment les données récentes, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019, et un excédent minime par rapport à 2018 (+1%). » (cf Nombre de décès quotidiens, France, régions et départements, www.insee.fr, 18/09/2020).
Ce risque d’amalgame est du reste déjà réalisé, favorisé par l’emploi systématique du mot « cas », source de confusion. Les chiffres présentés par le gouvernement sont ainsi ceux des seuls cas positifs. Or, comme l’explique de façon simple et pédagogique le Pr. Raoult, pour interpréter un phénomène, il faut croiser différentes données. On peut parler de 16000 cas positifs sans qu’il n’y ait aucun caractère inquiétant si la létalité n’est pas supérieure à ce qu’elle est habituellement à la même période, ce que les données de l’Insee semblent attester. Quant aux 41 morts décomptés récemment comme si une catastrophe était survenue et pouvait justifier encore les restrictions qui suivaient, ils n’ont rien d’alarmant.
Alors pourquoi une telle manipulation alors même que le virus aurait connu des mutations importantes et perdu de son agressivité ? Pourquoi ne pas relayer cette information et, plutôt que d’attiser les peurs, calmer les esprits ?
Nos dirigeants ont complètement perdu le sens des réalités car ce sont pourtant ces chiffres répétés chaque jour qui permettent à Marseille de renouer avec l’époque des grandes épidémies, lorsque la ville était bouclée. Nous agissons comme au temps d’avant les lumières, d’avant la science, en plein obscurantisme moyenâgeux.
La dictature sanitaire
Le projet est déjà bien engagé, la vaccination des professionnels de santé contre la grippe étant d’ores et déjà annoncée. En sera-t-il de même pour le Covid quand, demain, il faudra écouler le vaccin contre un virus alors qu’il a déjà disparu ? Car il faudra bien que les laboratoires aient un retour sur investissement. Le corps des soignants appartient-il au gouvernement, aux laboratoires ?
Pour la première fois de l’histoire, un vaccin va voir le jour en un an. On peut espérer que nombreux seront ceux qui douteront des conditions de sécurité de son élaboration (raccourcissement des durées des phases 1, 2 et 3), de sa tolérance et de son efficacité. Les laboratoires eux-mêmes ont du reste déjà prévenu que les premières versions ne seraient ni les mieux tolérées, ni les plus efficaces !
Osons une petite prospection, le gouvernement en fait bien depuis le début de cette crise en annonçant tous les 15 jours l’arrivée de la deuxième vague depuis avril : la pente idéologique nous conduit prochainement au passeport sanitaire, à la vaccination obligatoire… les non-vaccinés, prière de porter une étoile (je vous laisse le choix de la couleur). Les applications de traçage permettront d’interdire de rentrer dans les lieux publics à ceux qui, non vaccinés, ne sont pas de bons citoyens. A l’aide de votre smartphone et de votre carte vitale, la surveillance sera totale.
Ces gens qui nous gouvernent n’étant pas stupides et disposant des mêmes chiffres que nous, nous pouvons craindre le pire pour nos droits fondamentaux.
Conséquences psychiatriques à ce jour des mesures iniques et arbitraires
Aujourd’hui en pratique clinique, je vois des patients anxieux qui auparavant allaient bien, des patients déprimés, que la perte de sens ou de travail conduit au suicide. Certains également culpabilisent de rendre visite à leurs parents, qu’ils craignent pour eux-mêmes ou pour les autres ; je vois aussi des anciens qui pleurent de ne plus avoir de contact avec leur descendance. La possibilité de se rencontrer, d’échanger, de se toucher, disparaît, les lieux festifs ferment etc.
Et je vois, comme chacun de nous, des conducteurs masqués, seuls au volant de leur voiture, des joggeurs masqués…
Le peuple se porte mal car il est maltraité. Le monde qui se dessine est un monde qu’il ne souhaite pas et d’où la vie, ou tout ce qui rend la vie passionnante, s’échappe.
Un premier pas de raison serait de mettre fin immédiatement à l’état d’urgence, de rouvrir les lieux de convivialité qui ont été fermés, de rendre facultatif le port du masque à l’extérieur, d’arrêter de tester les personnes asymptomatiques.
Dr BADEL Frédéric
Psychiatre
source : https://jdmichel.blog.tdg.ch
Source: Lire l'article complet de Réseau International