Mal finir non : il n’y a pas de fin de l’histoire !
Des sombres lendemains peut-être, mais n’oubliez que le terme « apocalypse » – puisqu’apparemment on y entre de plein pied (ou dans l’ère du kali yuga, allez savoir) – signifie aussi « révélation », et pas du tout « chaos » comme les films hollywoodiens (« Armageddon » etc.) nous ont amené à le croire !
On y voit-là une sorte de « prophétie auto-réalisatrice » bien connue, marquée du sceau de la communauté qui tient Hollywood.
Mais si on est croyant (et c’est là le choix qu’il va nous être posé radicalement), ce n’est pas le chaos, mais le refus du chaos et de la soumission totale qui s’en suit, donc l’occasion de nous révéler, en tant qu’être humain insubordonné, serviteur de la Création.
Donc c’est une excellente nouvelle : on va pouvoir bientôt retrouver le droit chemin, un chemin lumineux et plein d’avenir, prometteur. C’est comme ça qu’il faut le voir.
C’est comme un accouchement, ça fait mal, on souffre, mais on (re)donne la vie – et non pas comme dans le film « Rosemary’s baby » où elle accouche du diable.
Bref : il s’agit d’avoir et de garder la foi, condition pour que la foi et le Bien l’emportent.
On a déconné en se soumettant à cette société de conso, au veau d’or, qui privilégie les uns mais tue les autres, donc il faut payer : notre comportement ne reflète pas le sens du mot église (assemblée) tel que l’entendait le Christ, qui nous a toujours reproché ces derniers siècles, notre manque de gratitude.
Donc il lâche la Bête et ses démons.
Ce n’est pas un dieu vengeur, mais un dieu juste (et patient), c’est nous qui l’avons perdu de vue. C’est un vrai sujet, et maintenant notre seul problème, à mon avis : celui de la foi.
Le fond de l’histoire a toujours été le combat entre Bien et Mal, aujourd’hui l’homme occidental pense faire le bien, être légitime, alors qu’il contribue à nourrir un système malsain voire maléfique, oui ou non ?
Nous devrons soit payer notre orgueil, soit nous soumettre à nouveau à l’ordre naturel : le monde, au-dessus duquel l’homme, au-dessus duquel Dieu.
Et moi ça ne me pose aucun problème, je dirais même vivement qu’on en finisse !
Il y a forcément une justice même au Ciel, sinon le bienfaisant côtoierait le pédocriminel le plus féroce au Paradis ? ça n’aurait pas de sens, et la vie ici-bas non plus !
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