Hier, en début de soirée, j’ai rencontré un plus grand sage que ce grand-père un peu archétypique que je cite souvent. Il m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit : « Chaque jour, je tends l’oreille dans les bungalows et j’entends les gens exprimer ostensiblement leur exaspération. Partout, on se demande quand on retrouvera une vie normale. Mais tu sais, mon cher Boucar, le virus est là pour rester et la seule façon d’accélérer ce retour à un semblant de normalité, même pour les “chu pu capable ost… !”, c’est de respecter les règles de distanciation et de veiller les uns sur les autres.
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