Surprise, le Prince Charles est partie prenante du Big Reset. Les financiers aussi

Surprise, le Prince Charles est partie prenante du Big Reset. Les financiers aussi

  1. Campagne de dons – Septembre-Octobre 2020

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2 100 milliards de dollars (1 773 milliards d’euros) de transactions suspectes ont été réalisées entre 1999 à 2017, bien qu’informées du caractère délictuel. Et comme d’habitude, les établissements incriminés sont attrapés en bande. Sur ce coup, ils ne sont que 5, à savoir JPMorgan Chase, HSBC, Standard Chartered, Deutsche Bank, et Bank of New York Mellon.

20 ans de crimes dévoilés, mais au moins autant d’années qui passent à la trappe durant plus de quatre décennies de laxisme et de pseudo libéralisme ? Combien de crimes non décelés car non décelables et couverts par les politiques en tous genres ?

La douzaine de banques, vecteur de scandales, que l’on s’est habitué à voir sévir de manière coordonnée et systémique dans les rubriques juridiques ont la particularité d’être des primary dealers. Elles créent la monnaie contre dettes publiques.

Elles sont donc les bénéficiaires de la faille des États et ce sont elles qui leur ont serré la corde au cou, n’hésitant pas régulièrement à étrangler les populations. Ce sont elles qui ont le droit de dicter les « réformes » imposées aux gouvernements de la planète. L’humanité a été livrée par pure volonté politique dite néolibérale à la plus puissante mafia imaginable. Soutenue par la technologie, la capacité de nuisance de celle-ci semble illimitée.

À l’heure du bilan qui sonne le glas de la vie des États, on peut relever que son pouvoir incommensurable repose sur 3 pivots.

  • La libre-circulation
  • L’autorégulation qui signifie que la régulation du marché de la finance se fait par lui-même.
  • Le réinvestissement de l’argent sale dans les activités de la société civile.

Cumulés, ces privilèges permettent à la toile mafieuse de prendre dans ses filets les États, leur monnaie, leurs finances, leur PIB, et d’asservir par la même occasion les populations.

Libre-circulation et dérégulation planétaires

Ces 2’100 milliards de dollars ne sont qu’un versant identifié des bénéfices offerts à ces gens par la libre-circulation des capitaux. De fait, le système mondial du blanchiment de l’argent sale bénéficie – volontairement ou pas – d’atouts législatifs indéniables. En cause la dérégulation des marchés économiques et financiers -qui accompagne la libre-circulation des capitaux- admise dès les années 80 par les élus des différents États.

Depuis, les très gros acteurs économiques et financiers ont été soumis à une réduction accrue du contrôle et de surveillance. Contrairement, aux agents locaux qui ont souffert de réglementation accrue fort coûteuse, de « transparence » des données digne d’inquisiteurs, et finalement de remise en question du principe même de la confidentialité indispensable dans le cadre de la protection d’une entreprise de ses gros concurrents voraces. Ainsi, on a mis en place un contrôle de marchés à 2 vitesses, menaçant d’un seul coup la libre concurrence et avec elle la survie possible des PME indépendantes.

On a créé politiquement toute la place pour que les voyous de la finance agissent librement tant pour enfreindre l’éthique (nous ne pouvons plus dire illégales puisque l’autorité de l’État a été neutralisée), que pour les voir mettre la main sur la production des biens et services. Ainsi, ils quittent le statut de spéculateurs, d’usuriers, et d’assassins économiques pour se revêtir du noble costume de gardiens-créateurs d’emplois et de fabricants des produits indispensables à la subsistance de l’humanité.

Quittance droite-gauche offerte au Casino

Et quand il s’agit d’argent, il n’y a plus de droite ni de gauche. Les élus de tous bords ont mangé à la même soupe. Le summum de l’hypocrisie est là.  Les médias ont mis en avant l’ultralibéralisme de Margaret Thatcher et de Ronald Reagan, mais ont oublié celui de la France socialiste de François Mitterrand.

Un professeur de Harvard, Rawi Abdelal[1], nous révèle dans une publication[2] le rôle déterminant que la France de Mitterrand a joué en Europe dans le cadre de la dérégulation du marché des capitaux. Son étude intitulée « Le consensus de Paris : la France et les règles de la finance mondiale » tend à démontrer que la France fut le moteur de la dérégulation des marchés financiers.

Selon R Abdelal, « C’est le « consensus de Paris », et non celui de Washington, qui est avant tout responsable de l’organisation financière mondiale telle que nous la connaissons aujourd’hui, c’est-à-dire centrée sur les économies développées de l’UE et de l’OCDE, et dont les codes libéraux constituent le socle institutionnel de la mobilité des capitaux. »

Et le chercheur de Harvard de conclure :

« (…) l’histoire de l’instauration du libéralisme sur les marchés financiers du monde développé n’est pas, comme on l’assène volontiers, celle de la capitulation de la gauche européenne. Au contraire, la gauche française a fait beaucoup plus que se laisser briser par les réalités de la mondialisation. Beaucoup de socialistes français se sont ralliés sincèrement au marché. À la fin du XXe siècle, la gauche et la droite, en France et dans plusieurs autres pays européens, n’étaient d’accord sur pratiquement rien, sauf sur la finance. »

Le président François Mitterrand et son ministre de l’économie et des finances Jacques Delors, le 29 mai 1983 à Williamsburg, au sommet du G7. (AFP)

Cette ouverture du marché mondial des capitaux va permettre la mise en place d’un système de blanchiment massif de l’argent sale. Des comptoirs de la finance criminelle ont pu ainsi se développer partout dans le monde et drainer une bonne partie des flux de la planète finance.

À l’heure actuelle, la technologie aidant, le système permet à « un euro de circuler en une journée entre 70 banques de 70 pays »[3]. Au final, l’euro est inidentifiable, et devient aussi propre que celui gagné dans l’économie réelle. Ce n’est donc pas un phénomène marginal propre à une mafia de l’ombre. (Extrait de Dépossession, 2018)

La City de Londres cœur nucléaire du blanchiment de capitaux

La place financière offshore numéro 1, le véritable cœur nucléaire de ce système devenu incontrôlable, serait la City de Londres. Locomotive de la dérégulation dès les années 80, celle-ci produirait un effet d’aimant sur les blanchisseurs d’argent du monde.

La place financière londonienne est aussi le cœur d’un réseau systémique qui inclut nombre d’îles fiscalement paradisiaques. Un système tentaculaire mafieux a été érigé en référent à la planète finance.

Ainsi Londres serait, selon ce documentaire[4], clairement la plaque tournante des flux financiers de la planète finance, y compris de l’argent sale. En tant que première place financière mondiale, Londres permet en effet de légitimer l’argent qu’elle accueille, puisque tout le monde l’accepte par la suite.[4] : « L’argent sale, le poison de la finance », Emission Droit de suite de la chaîne parlementaire LCP.

Il est bon de rappeler à ce stade que le casino souffre de manière récurrente de manque de liquidités, du fait des pratiques spéculatives endémiques génératrices de pertes et de bulles. Les capitaux des mafias représentent donc un soutien conséquent, voire la pierre angulaire de l’édifice financier global, qui s’est ainsi doté de « narcobanques ».

Les cargos intouchables

Les narcotiques, mais aussi les trafics en tous genres, humains ou armes, circulent librement quasi sans contrôle. Pourtant la mondialisation a multiplié par sept les capacités de transport maritime des marchandises ! Les coûts de transport sont ridiculement bas grâce à un carburant non taxé, des employés peu nombreux, corvéables à souhait qui sont soumis à des contrats de travail et des normes sociales en vigueur dans les pays qui ont accordé leur pavillon.

Le champion du transport maritime s’appelle Maersk, une firme danoise globale. Son site affiche son engagement pour le développement durable où vous pouvez lire : « Nous sommes résolus à faire en sorte que nos pratiques commerciales soient sûres, responsables et transparentes, conformément à nos valeurs fondamentales et aux principes du Pacte mondial des Nations Unies sur les droits de l’homme, le droit du travail, l’environnement et la lutte contre la corruption, et contribuent aux objectifs de développement durable de l’ONU. Nous définissons la durabilité d’entreprise comme un travail systématique visant à réduire les effets négatifs et à améliorer les impacts positifs sur les personnes, la société et l’environnement. Nous visons en outre à libérer la croissance de la société et de notre société en exploitant les forces principales de nos activités pour relever les défis mondiaux par le biais de l’innovation, des investissements et de la collaboration. »…

Si Maersk parle de pratiques commerciales transparentes, les investigations de Denis Delestrac prouveraient le contraire. Ainsi, selon lui « personne ne sait ce que contiennent ces conteneurs, hormis l’expéditeur et le destinataire. Même l’entreprise qui affrète le transport ne le sait pas … et tout ceci est légal ! Ces conteneurs transportent bien souvent de la drogue, des armes et des produits chimiques… ». Seul un petit 2% du trafic serait contrôlé.

Pourtant, il existe bel et bien l’« Organisation maritime internationale, l’OMI, qui est une institution spécialisée des Nations-Unies, spécialisée dans les questions maritimes »… L’OMI siège au sein même de l’ONU et prône le « développement durable » et autres argumentaires sur le réchauffement climatique. L’OMI est investie de tous les pouvoirs pour intervenir dans le domaine maritime, mais elle est dirigée par les pays possédant les plus grandes flottes de cargos. Et qui sont-ils ? Le Panama, le Libéria et les Îles-Marshall… En gros, nous dit-on, ce secteur qui détruit l’écosystème marin ne risque rien car « L’OMI est donc aux mains des pays qui vendent leur nationalité aux armateurs les moins consciencieux.[4] ».

Petite histoire pas drôle mais qui illustre très bien ce petit milieu qui agit en toute impunité. En juin 2019, les autorités américaines avaient saisi à Philadelphie un cargo avec près de 20 tonnes de cocaïne à bord. Les agents de la force publique sont montés à bord du MSC Gayane le 17 juin et ont découvert la cocaïne, qui aurait une valeur marchande d’environ 1,3 milliard de dollars. Et voilà qu’il s’avère que le navire appartient à un fonds géré par le géant bancaire JPMorgan Chase.

Captation de l’activité économique locale

Grâce à la libre-circulation des capitaux et la dérégulation, les patrons de la toile vont pouvoir blanchir leurs capitaux où bon leur semble dans les activités économiques et financières locales. Dès lors, ils s’achètent une respectabilité dans TOUS les secteurs de notre quotidien, à commencer par les activités de sécurité, de santé, de l’électricité, des banques locales saines, des systèmes de paiement, etc. Et par-dessus tous les autres, ce sont eux qui vont détenir les leviers alimentaires (quantités disponibles, qualité, prix, etc.)

Avec pareils décideurs, la spéculation sur la faim illustre ce dont ces gens sont capables, devient un business autorisé et une dure réalité qui peut se solder par une vraie famine. Et à ce petit jeu, aucun pays n’est actuellement à l’abri de leurs méfaits.

Au Venezuela…
Les banques de taille systémique, des outils de conquête planétaire

À l’heure de la grande réinitialisation de la vie sur terre, croire que les banques seules ont le pouvoir de redessiner l’avenir de la planète serait une grave erreur d’analyse.

Dans les faits, le réseau bancaire (centré sur les grandes banques systémiques) n’est qu’un outil, au même titre que peut l’être la nébuleuse des produits financiers. La puissance qui permet la conquête planétaire ne réside pas dans l’un ou l’autre de ces moyens, auxquels il conviendrait nombre d’autres éléments, mais dans leur cumul, leur combinaison, et surtout leurs interactions conjointes et simultanées sur la vie publique.

Grâce à cette ultrapuissance, le « scandale actuel finira comme d’habitude par un pschitt, ou se soldera par une sanction financière (défiscalisée bien sûr) ridicule à mettre sur le dos de l’établissement, lui-même garanti par les deniers publics.

Alors comment expliquer que ces dirigeants qui vous semblent nuisibles continuent de bénéficier d’immunité et d’encaisser des revenus mirobolants ? Eh bien tout simplement par ce qu’ils font le boulot que les armées nationales, puis le commerce international, faisaient autrefois. Ils sont indispensables à la Nouvelle gouvernance mondiale. Sans eux, la 3ème guerre mondiale n’aurait pas eu lieu. Et grâce à eux, nous pouvons constater que par la finance, la planète terre est financiarisée dans ses moindres recoins. La colonisation grâce à la finance est un constat.

Comment comprendre dans ce contexte la possible fusion de UBS avec Crédit Suisse ? Si elle devait aboutir, elle ne serait que le reflet de la dissolution de la Suisse au profit de l’Allemagne. Rappelons que UBS est présidé par l’ancien banquier central allemand. Et le lobby de UBS est bien implanté dans les allées du Palais fédéral…

Axel Alfred Weber est un économiste allemand, président du conseil de surveillance de l’UBS depuis le 12 mai 2012. Il a été président de la Deutsche Bundesbank, la banque centrale allemande, du 30 avril 2004 au 1er mai 2011.
Big Reset ? Oui mais avec les grandes banques

Logo de The Sustainable Markets Initiative. On constatera le cumul des symboles : 1. La référence à la Fleur de Lis ou les plumes du Prince de Galles. 2. La référence au logo et aux couleurs de l’agenda 2030. 3. L’organisation coronale des 17 objectifs de l’Agenda 2030. 4. Chacune des 3 plumes stylisée en 6 éléments, ce qui nous donne le 666.

Le 666 peut faire référence dans ce cas aux richesses reçues annuellement par le roi Salomon

Le poids de l’or qui arrivait à Salomon chaque année était de six cent soixante-six talents d’or,

En 2019, une initiative fut lancée. The Sustainable Markets Initiative, ou Initiative pour des marchés durables vise à accélérer une transition à l’échelle de l’industrie vers des marchés durables et vers une décarbonisation rapide d’ici 2030.
Selon le site, l’Initiative et le Conseil des marchés durables, ont été créés par le Prince de Galles en collaboration avec le Forum économique mondial, en septembre 2019. Il s’agissait pour les initiateurs de réagir face aux menaces croissantes posées par le changement climatique et la perte de biodiversité.

« En tant que PDG, nous voulons créer de la valeur à long terme pour les actionnaires en offrant des rendements solides pour les actionnaires ET en exploitant un modèle d’entreprise durable qui répond aux objectifs à long terme de (la) société, comme prévu dans la feuille de route des ODD » (Programme 2030 de l’ONU).
—Brian Moynihan, membre du SMC et président-directeur général de Bank of America, dont les actionnaires principaux sont la Fondation Gates et Warren Buffet

Les membres du Conseil de l’Initiative pour des marchés durables

Ci-après, vous trouverez la liste des membres du conseil de l’Initiative. Vous constaterez la présence en force des représentants de la planète finance, et même un certain nombre d’établissements éclaboussés par l’enquête du Consortium des journalistes vu ci-dessus (rouge).

À relever en bonne place, la présence de AstraZeneca, le fabricant du vaccin anti-COVID 19 qui planifiait d’en produire 2 milliards de doses… Il est englué pour l’instant par quelques effets secondaires plutôt fâcheux sur deux patients lors de la phase de validation sur une population humaine de son vaccin anti Covid…

Caroline Anstey, President and Chief Executive Officer/ Pact Thierry Déau, Chief Executive Officer/ Meridiam Frank Elderson, Executive Director/ Central Bank of the Netherlands (DNB) Gregory Flemming,Chief Executive Officer/ Rockefeller Capital Management Oliver Gregson, Head of the Private Bank for the United Kingdom and Ireland/ JPMorgan Chase & Co.André Hoffmann, Vice-Chairman/ Roche John Holland-Kaye, Chief Executive Officer/ Heathrow Airport Uday H. Khemka, Vice-Chairman/SUN Group Pawel Kisielewski, Chief Executive Officer/CCm Technologies Joan Larrea, Chief Executive Officer/Convergence Blended Finance Anil Menon, Managing Director/ World Economic Forum Brian T. Moynihan, Chairman and Chief Executive Officer/ Bank of America Noel Quinn, Group Chief Executive/ HSBC Holdings Plc Christian Racicot, Founder and Chief Executive Officer/Institutional Investors Roundtable Pascal Soriot, Chief Executive Officer/AstraZeneca Feike Sybesma, Honorary Chairman/ Royal DSMBill Thomas, Global Chairman and Chief Executive Officer/ KPMG José Viñals, Group Chairman/ Standard Chartered Bank Dominic Kailash Nath Waughray, Managing Director/World Economic Forum Bill Winters, Group Chief Executive Officer/ Standard Chartered Bank

L’organisation coronale confirmée

Ce qui précède confirme ce que nous avions publié sur la structure coronale (du lat. coronalis : couronne) de la Nouvelle Société. Tout comme nous avions annoncé qu’elle serait centrée sur la finance.

Cette organisation coronale est même convergente avec les objectifs du Programme 2030 de l’ONU dont elle arbore les couleurs.

En fait, le tableau classique des 17 objectifs de 2030 de l’ONU a évolué en couronne portée à la boutonnière par Bill Gates et par bien d’autres Goalkeepers depuis quelque temps. Est-ce pour rappeler que le Covid (forme aussi coronale) est le déclencheur du Big Reset ?
Et si Le Prince était le « roi » de la nouvelle couronne aux couleurs du programme 2030 ?

Le Big reset annonce beaucoup de changements à différents niveaux. Le virus de 2019 (quelle année décidément !) et la recherche de vaccins ont eu le mérite de montrer à quel point les gouvernants officiels étaient dépassés par les évènements, les chiffres, les traitements, ou la recherche médicale.

Dans une logique similaire à celle que nous exposons ici depuis des années, les États ont été dissous dans les organismes supranationaux et autres entités commerciales (incluant fondations, associations, etc.). L’État au sens classique est au minimum comateux.

La présence du prince Charles à ce niveau de leadership d’un programme fortement financiarisée est éloquente. Il est utile de rappeler qu’en 2018, il devint le successeur désigné de sa mère en tant que chef du Commonwealth. Nous parlons ici d’une personne qui représente 54 pays, que le territoire est tout aussi impressionnant avec ses 30 millions de km2 doté d’un PIB de 10 trillions $, et une population de près de 2,6 milliards.

Sa présence à ce niveau n’est pas dû au hasard. Que ce poste du Commonwealth soit symbolique ou pas, il reste le futur leader d’un tiers de l’humanité, et de près de un cinquième de la surface de la terre !

Sur cette photo de la vidéo de l’intervention du Prince Charles à Davos, vous percevez la couronne aux couleurs des objectifs de l’ONU.

Signe des temps, Elizabeth II ne portait plus la lourde couronne impériale d’apparat depuis 2017, lors de l’ouverture du Parlement.

Le big reset implique certainement une gouvernance mondiale, et au vu de ce qui précède et du consensus des dirigeants quant à ce qui se passe au WEF, il ne serait pas impossible d’imaginer que le Prince Charles en sera le chef symbolique.

Et voilà ce que nous dit Charles à la fin de son intervention à Davos le 22 janvier à 2020 (des chiffres jouissifs pour les amoureux de la numérologie). Tout à la fin, il va dire « le temps d’agir, c’est maintenant ! ».

Autre nouvelle nous venant de cet homme qui semblait très effacé. À tort. Dans cette vidéo, il va faire référence à plusieurs reprises à un Climate Action Marshall Plan (plan Marshall), mais qui peut être compris aussi comme Martial plan qui serait un plan martial. La différence est importante et l’ambiguïté est entière au vue des mesures prises grâce/à cause du coronavirus.

« The royal, a keen environmentalist, said the Covid-19 pandemic is a « window of opportunity » to reset the economy for a greener future ».

Liliane Held-Khawam

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[1] Rawi Abdelal est professeur-associé à la Harvard Business School. Son premier livre, National Purpose in the World Economy : Post-Soviet States in Comparative Perspective (Cornell University Press, 2001) a reçu le prix Shulman. Il achève actuellement un ouvrage sur les normes sociales et les règles juridiques constitutives du système monétaire international (Capital Rules : Institutions and the International Monetary System. Au-delà, ses travaux portent sur les enjeux politiques de la mondialisation, l’évolution du secteur de l’énergie et la genèse des identités nationales en Eurasie, ainsi que sur la définition et la conceptualisation de l’identité comme variable dans les sciences sociales. email rabdelal@hbs.edu

[2] « Le consensus de Paris : la France et les règles de la finance mondiale », Rawi Abdelal, traduction : Rachel Bouyssou https://www.cairn.info/revue-critique-internationale-2005-3-page-87.htm

[3] « Mafia Export, Comment les mafias italiennes ont colonisé le monde », Francesco Forgione

[4] « Cargos, la face cachée du fret ». Documentaire de France 5, réalisé par Denis Delestrac

source : https://lilianeheldkhawam.com

Source: Lire l'article complet de Réseau International

À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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