« Un jeune homme de 20 ans a été poignardé sur le quai du métro de la station « stade de Gerland » sur la ligne B, dans la nuit du samedi 19 septembre, vers minuit selon les pompiers.
Deux témoins auraient assisté à la scène et prévenu immédiatement la police. Ils auraient tenté de porter secours à la victime en intervenant immédiatement pour l’aider, en vain. L’un des deux était habitué à porter secours.
Ils décrivent une bagarre très violente de deux personnes contre la victime au niveau du quai numéro 1, en direction de la gare d’Oullins, avec au-moins un couteau et des tessons de bouteille.
Selon le parquet de Lyon, les deux suspects ont été interpellés par la BAC (Brigade Anti-Criminalité) et seraient de nationalité étrangère, l’une âgée de 30 ans et l’autre d’une vingtaine d’années. Cette nuit ces deux suspects étaient en état d’ébriété. Leurs habits notamment correspondaient au signalement des témoins de la scène. » (France 3 régions)
Cette scène d’horreur s’est passée dans le 7e arrondissement de Lyon, dirigé depuis fin juin par un maire EELV (écolo). Qui s’est fendu d’un tweet classique. Nous avons laissé les trois premières réactions…
Crever à 20 ans, poignardé par deux migrants, une mort injuste qui va encore faire monter les tensions en France, mais on sent que cette tension est désirée par les autorités réelles du pays qui ouvrent sans complexe les vannes du migroduc.
Le débat sur la peine de mort va être relancé (50 % des Français se déclarent favorables à son rétablissement), vu que le nombre d’agressions et de meurtres augmente exponentiellement (autant utiliser le mot préféré de l’oligarchie) mais seulement dans un sens : des migrants vers les Français, même si le jeune homme poignardé à Lyon est de nationalité étrangère. Des Français à qui on n’a pas demandé leur avis, et qui doivent, dans un moment de basculement économico-social inédit, supporter des contraintes de plus en plus lourdes. Comme si l’agression oligarchique pouvait prendre toutes les formes possibles et imaginables : économique, sanitaire, migratoire…
« Le hashtag LyonCoupeGorge lancé sur les réseaux sociaux
Très vite, alors que les circonstances de ce drame ne sont pas encore connues, le hashtag #LyonCoupeGorge a été lancé sur Twitter. Il a été largement relayé, notamment par l’extrême droite : le compte Damoclès (célèbre dans le milieu), des élus Rassemblement national tels le conseiller régional Thibault Monnier et sa collègue Agnès Marion, ou encore le député européen RN Gilbert Collard. » (Le Progres)
Déjà, sur les réseaux sociaux non encore censurés, fusent des contre-mesures de plus en plus sérieuses. Que veut le pouvoir profond ? La guerre civile Français-migrants ? Il semble que oui. Les Blancs et les Noirs ne s’étant pas foutu sur la gueule malgré les provocations – il est vrai grossières – de la LDNA et d’Assa Traoré, il semble que le Système passe à la vitesse supérieure avec son armée de réserve sur le sol national : les migrants subsahariens.
Les petits soldats du socialo-sionisme passent à l’attaque
Remontés comme des pendules contre la France par des ONG inconscientes, les gauchistes masochistes et les médias encore antiracistes, ils sont pour la plupart armés de couteaux. D’abord pour se défendre contre leurs propres racailles (car tous les migrants ne sont pas des criminels accomplis ou en puissance), ensuite pour dépouiller tout ce qui passe à leur portée.
Le jeu triangulaire dangereux entre une oligarchie sadique, des migrants manipulés et les Français inhibés va devoir trouver une issue. On espère, pas dans le sang, car notre peuple s’est déjà livré, par le passé, à des sursauts de colère qui dévastent tout. Un tweet d’édile ne suffira donc pas à résoudre une situation qui se tend de jour en jour.
- Manif pro-migrants à Lyon fin 2018
La gauche, c’est-à-dire le socialo-sionisme, a une responsabilité énorme dans les violences passées et à venir. La sanctification du migrant, cette victime éternelle du colonialisme français, a vécu. Mais la gauche s’accroche encore à ses vieilles lunes, même quand elles vont dans le mur. Quand on voit par exemple que la CGT demande des « formations à la réaction à la violence », comme l’écrit Le Progrès :
« On alerte continuellement notre direction sur le manque de moyens humains formés à ce type de situation » : Riad Marzouki, secrétaire adjoint CGT TCL, juge la formation à la gestion des conflits dispensée actuellement aux salariés « minime » et « insuffisante ». « Les salariés sont livrés à eux-mêmes, face à des gens de plus en plus agressifs. Si demain j’ai un homme armé devant moi, je fais quoi ? Quelle distance ? Que dire ? » Le syndicat demande une véritable formation à la réaction à la violence et à l’agression.
L’entreprise Keolis, qui exploite le réseau TCL, précise que « les équipes de contrôle et d’intervention suivent des formations théoriques et pratiques avec des professionnels pour ne pas se mettre en danger tout en mettant en sécurité les voyageurs et autres personnels TCL ». Keolis ajoute que c’est le PC Sécurité qui a prévenu la police dans ce cas précis, laquelle a pu intervenir rapidement auprès des agents TCL, « qui n’ont pas pour mission de se substituer au travail des forces de l’ordre ». Notons également que 70 agents de sécurité sont mobilisés chaque jour sur le réseau.
La solution n’est pas le national-sionisme d’un Collard ou d’un Zemmour, qui va encore détourner la colère française vers un ennemi tout trouvé, et importé à dessein.
Quand la colère commence à regarder vers le haut, on constate qu’aussitôt, on lui envoie un bouc à sacrifier en bas.
Le crime qui tombe mal
Le débat statistique sur la violence qui ne résoudra rien
Seul contre tous !
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation