D’habitude, on ne relaye pas les coups de colère qui tournent sur le Net et qui sont à la fois mal écrits et mal informés. On y trouve tout et n’importe quoi, des slogans et des mises en forme qui se retournent logiquement contre leurs auteurs.
- Le Conseil scientifric
Mais là, il y a une réalité indéniable : chaque jour dans les médias mainstream, depuis le début de cette crise organisée (par les pouvoirs publics, la haute médecine et les médias en faillite, donc redevables de la manne gouvernementale), nous subissons le feu de ces agences de « santé », directeurs de la « santé », responsables de la « santé » qui tous, on dit bien tous, tirent dans le même sens qui n’est pas la santé des Français mais bien l’intérêt des organisations concernées.
Le Haut [1] Conseil scientifique, la Haute Autorité de santé, tout ça sent le CSA, l’INA, c’est-à-dire des entités où des petits amis des lobbies au pouvoir sont casés ou recasés, grassement payés et protégés. Souvenez-vous de l’édifiante affaire Agnès Saal à l’INA, ou des frasques SM du PDG de Radio France Jean-Paul Cluzel et ses 410 000 euros de frais de taxi, sans compter la limousine.
De ces métastases administratives publiques il ne sort rien de bon, la production y est maigre mais la communication et les détournements (en salaires de branleurs) riches. Ceux qui ont eu affaire au début de la crise des masques et des gants aux Agences régionales de santé savent de quoi on parle.
- Le schéma sur le site de l’ARS est à peine lisible
L’écolo Yannick Jadot est plus mal-pensant que Marine Le Pen sur le Conseil scientifique et la gestion de crise !
Effectivement, le président du Conseil scientifique, invité sur LCI pour foutre la trouille aux Français, commence à délirer complètement dans sa mission de lanceur de psychose :
« On va rentrer dans une gestion du risque, en acceptant ce risque. Il y aura d’autres contaminations, à l’école, au travail, on devra vivre avec. Cela veut dire qu’il ne faudra pas précipiter les fermetures d’écoles ou d’entreprises, tout en veillant à ce qu’il reste des places disponibles dans les services de réanimation. Il faudrait par exemple plutôt fermer une classe que toute une école. (…) Il faut aussi poursuivre la stratégie de télétravail, et peut-être même l’accentuer sur les quatre mois qui viennent, qui seront les plus difficiles. »
- Gardez vos distances avec cet individu qui fait croire qu’il respire la santé !
À ces mots de grand malade, nous opposons le discours du pape Jean-Paul 2 du 22 octobre 1978, qui tient en trois mots :
« N’ayez pas peur ! »
Une boursouflure parasitaire française
Le cancer administratif est la matérialisation de la corruption française, une corruption invisible mais qui pèse sur les finances du pays. C’est comme un vol, mais pas commis dans la poche des gens, ce qui ferait réagir. Non, les vols d’État sont commis au niveau du robinet à fric, et sont donc indolores. La douleur, elle, viendra, mais à crédit. Il faut alors maquiller ou rendre publiables ces comptes, ce que la Cour du même nom et les autres organismes de vérification font la main sur le cœur, tout en dénonçant quelques exactions conjoncturelles, jamais le pillage structurel.
C’est le cas de la fraude à la Sécurité sociale, qui est aujourd’hui sur la sellette : la Cour des comptes, nous dit Le Figaro, est incapable de la chiffrer ! Notons que le président actuel de ce fromage « républicain » n’est autre que l’ex-commissionnaire de l’UE grassement recasé, Pierre Moscovici. Les estimations de la fraude à la Sécu varient de 1 à 100, plus précisément de 140 millions à 30 milliards, sur 450 milliards de reversements sociaux annuels (dont une partie va à trois millions de centenaires, notamment au Maghreb, pas aux centaines de millionnaires du Maghreb).
Voici maintenant le message énervant qui tourne.
Ubuesque ! Cette épidémie a fait découvrir que nous avions en France :
Le ministre de la Santé
Le directeur général de la Santé
La direction de Santé publique France
Le directeur de la Haute Autorité de santé
les directeurs des Agences régionales de santé (ARS)
Le directeur de l’Agence nationale sanitaire
la direction de l’Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé : Épidémiologie-France
Le Centre national de recherche scientifique en virologie moléculaire
L’Agence nationale de sécurité du médicament et de la santé
Un nombre d’infectiologues parisiens incroyablement et anormalement élevé, probablement lié au fait que les virus et bactéries descendent de l’avion à CDG et ouvrent leur siège social près de la place de l’étoile
Mais comme tout cela ne suffit toujours pas : suite à cette épidémie, nos chers politiques, monstres d’efficacité, de pragmatisme, toujours soucieux d’économiser les finances publiques, vont créer :
le Haut Commissariat de lutte contre les épidémies
Le Haut Conseil de veille sanitaire
L’Agence nationale de sécurité de logistique médicale .
5 000 fonctionnaires en plus (et les petits copains à placer) et où ça ? : à Paris, évidemment !
La prochaine fois, on aura peut être des masques mais il va manquer les gants ! La médecine française croule en effet sous « l’administratif centralisé », géré par des technocrates dits experts, mais totalement incompétents !
Alors, SVP, faites vite votre déclaration d’impôts : il va falloir payer grassement tout ce petit monde ! On compte sur vous.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation