En terme d’objectif principal, ni l’une, ni l’autre.
Contrairement à ce que l’on pense, l’objectif n’est pas de provoquer une crise économique et financière mondiale afin de dédouaner le Capitalisme dérégulé, mais de provoquer suffisamment de crises afin de remodeler le paysage économique et financier à l’image de celui imaginé par les mondialistes, les gros absorbants les moyens et les petits, au chômage.
C’est un passage d’uniformisation du tissu économique et industriel obligatoire avant de passer à la suite de l’agenda supranational généralisé.
La fin justifiant les moyens, la mise au pas du peuple, sous logique de sécurité sanitaire, comprendre l’Etat d’urgence quasi permanent et les lois d’exception qui ne sont que des lois en faveur de la concentration accrue de la dépendance du secteur privé à l’appareil d’Etat.
On retrouve ici l’union de la Banque avec la grande bourgeoisie d’affaire, comprendre l’Etat profond du Capital, pour lesquels les élus sont au service quant à imposer leurs politiques vias des ingénieries sociales au sein des Etats-nations.
Plus pour très longtemps, puisque les Etats-nations vont disparaitre afin de former des Landers territoriaux, dont la gestion sera confiée à des consuls du futur Impérium globalisé, d’où l’importance d’une standardisation des lois, des peuples, de la culture, des territoires et de tout ce qui produit de la valeur ajoutée.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation