Épidémiologiste, voilà un terme qui prête volontairement à confusion. C’est en fait depuis la grippe H1N1 quelqu’un qui débute à 2 000 € mensuels, un genre de chanteur-interprète de caboulot, ou de prestidigitateur de la société du spectacle. Un perpétuel étudiant en sociologie, relookée pour les besoins de la cause mondialiste.
« Il étudie les maladies à travers différentes données. (…) Grâce à des analyses statistiques et des outils spécialisés, l’épidémiologiste peut suivre l’évolution de certaines maladies et faire des simulations de propagation à plusieurs échelles (métropolitaine, régionale, nationale, internationale). Son rôle est donc de surveiller, mais aussi d’alerter si nécessaire. (…) Les résultats de ses analyses conduisent à la prise de mesures correspondantes à la situation. C’est un métier central de la santé publique. » (L4M.fr, fiche métier sortie le 15 janvier 2019).
Faites excuse, mais ce métier n’est pas central pour la santé publique. Chercheur intelligent en labo pharmaceutique et médecin de haut vol (rigoureux, non corrompus), oui.
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