par Liliane Held-Khawam
Pourquoi faire porter un masque à des enfants et des jeunes alors que les officiels l’enlèvent dès qu’ils peuvent? Voir photos ici aussi
«L’isolement est trop dur, je ne supporte plus le confinement, je ne tenais plus.» Ces quelques mots traduisent le désarroi d’une personne qui fut prise d’idées suicidaires à cause de l’isolement imposé par le confinement. Ce danger n’épargne ni les hauts responsables puisque le ministre des Finances allemand s’est suicidé, et encore moins le personnel soignant avec le médecin du club de foot du stade de Reims qui mit fin à ses jours.
Une étude lance l’alerte sur les risques d’accroissement du taux de suicides dès avril 2020
Une étude publiée dès avril 2020, intitulée Suicide risk and prevention during the COVID-19 pandemic, The Lancet, lance l’alerte sur les conséquences sanitaires mentales dues au COVID-19.
Ce papier confirme ce que le bon sens de tout un chacun pouvait amener à supposer: le risque de suicide est accru durant l’épisode du COVID-19. On nous y explique que la pandémie de 2019 (COVID-19) pourrait être profonde
et il y a des suppositions que les taux de suicide augmenteront, bien que ce ne soit pas inévitable.
Pourtant, toujours selon l’étude, le suicide est susceptible de devenir une préoccupation plus urgente à mesure que la pandémie se propage et d’avoir des effets à long terme sur la population dans sa globalité, l’économie et les groupes vulnérables. La prévention du suicide nécessite donc une réflexion urgente. La réponse doit capitaliser sur les politiques et pratiques générales de santé mentale, mais aussi aller au-delà.
Un peu plus loin, les auteurs nous expliquent que les effets néfastes probables de la « pandémie » sur les personnes souffrant de maladie mentale et sur la santé mentale de la population en général, pourraient être exacerbés par la peur, l’auto-isolement et la distanciation physique. Le risque de suicide pourrait être accru en raison de la stigmatisation envers les personnes atteintes du COVID-19 et leurs familles.
Les personnes atteintes de troubles psychiatriques peuvent ressentir une aggravation des symptômes et d’autres peuvent développer de nouveaux problèmes de santé mentale, en particulier la dépression, l’anxiété et le stress post-traumatique (tous associés à un risque de suicide accru). Ces problèmes de santé mentale seront vécus par la population générale et par ceux qui sont fortement exposés à la maladie causée par le COVID-19, comme les agents de santé de première ligne et ceux qui développent la maladie.
Le suicide des jeunes, une conséquence de la gestion de la crise du COVID-19
Voici Hayden. Un jeune homme de 13 ans qui va commettre l’irréparable ne supportant plus l’isolement social imposé par les autorités sanitaires de son pays.
L’être humain normal ne peut vivre sans interactions sociales. L’enfant ne peut s’épanouir sans l’affection de son environnement. Les mesures prises par nos gouvernants sont dangereuses et leurs conséquences seront durables!
Bien que ne disposant pas de statistiques, un taux inhabituel de suicides est à craindre partout dans le monde à cause de la distance sociale imposée par les autorités sanitaires sous l’autorité de l’OMS. Voici un reportage australien qui traite de la chose.
Pareil en Chine.
L’angoisse accrue après le verrouillage est devenue un sujet de préoccupation pour le gouvernement central alors que les médias nationaux rapportent une vague de suicides de jeunes. Cela a également conduit à des mesures sans précédent de la part des écoles et des gouvernements locaux pour se concentrer sur la santé mentale des élèves – un sujet qui, comme le suicide, a souvent été tabou dans la société chinoise.
«Il y a eu des incidents déchirants lors de la réouverture des écoles», a déclaré Yan Wu, vice-maire de la ville méridionale de Zhuhai, lors de la réunion parlementaire annuelle de la Chine le mois dernier.
Des statistiques anxiogènes frauduleuses
Nous avons été nombreux à nous interroger sur les incohérences des gouvernants, et sur les innombrables évidences de faux chiffres annoncés depuis le premier jour de la crise. C’est si vrai que très vite nous avons renoncé sur ce site à nous intéresser aux chiffres communiqués par les officiels pour nous concentrer sur l’évolution de la mortalité toutes causes confondues. Ainsi, dès le mois de mai, nous pouvions affirmer qu’il n’y avait pas de surmortalité en France ou en Suisse. Au contraire.
Voici quelques données. Il y en a bien d’autres qui vont toutes dans le même sens.
Ces faux chiffres accompagnés de de communications et de comportements incohérents de la part des représentants de l’autorité sanitaire n’ont pas manqué de générer une anxiété auprès de la population. La chose fut d’autant plus problématique, que les médias grands publics ont fonctionné comme amplificateurs de ces causes anxiogènes.
Question: Comment expliquer ce comportement qui est d’autant plus contestable puisque la publication du Lancet devait être connue des services de santé publique.
Plus grave encore si cela est possible, nous venons d’obtenir les confirmations que les chiffres américains concernant le COVID-19 sont faux!
Les CDC (Centers for Disease Control) des États-Unis viennent de publier des données sur leur site Web. Et là, grosse surprise. Ce que les médecins libéraux américains (les équivalents des Dr Perronne, Douste-Blazy, Raoult) dénonçaient depuis de très nombreux mois, à savoir qu’il leur était demandé de classer tous les décès sous la cause COVID-19, se voit confirmer d’un coup d’un seul.
Seuls 6% des décès annoncés étaient dus au seul COVID-19! Pour les autres, on compte en moyenne 2,6 conditions ou causes supplémentaires par décès. Processus identique en Europe, OMS oblige. La Suisse par exemple a présenté ses décès liés au COVID-19 et non pas des décès dus au COVID-19. La différence entre les deux mots liés et dus est de taille. Exemple. Un gros fumeur fragile au plan cardiaque, testé positif au COVID-19, totalement asymptomatique, et qui dans un délai de 3 semaines subitement décède d’une crise cardiaque sera recensé dans les décès COVID-19.
Pas mieux du côté des la comptabilisation des hospitalisations. Un prêtre suisse testé positif a été hospitalisé pour l’éloigner du collègue qui partage la cure avec lui. On se demande qui paie les frais d’hospitalisation dans pareil cas.
Un média roumain nous explique que dorénavant « les patients asymptomatiques de Covid-19 seront libérés de l’hôpital plus rapidement, après 10 jours, pour alléger la pression sur les hôpitaux locaux, a déclaré le ministre de la Santé Nelu Tătaru. » Cela sous-entend que dans ce pays, les patients asymptomatiques sont retenus dans les hôpitaux! Ces patients libérés le 10ème jour doivent avoir été testés négatifs le 7ème jour. Pourtant, on va les garder 3 jours de plus. Pourquoi? On ne sait pas!
«Le septième jour, un test est effectué; si le résultat est négatif, le patient peut rentrer chez lui après dix jours. S’il est toujours positif, mais que le patient légèrement asymptomatique n’a montré aucun symptôme en trois jours, il peut quitter l’hôpital et s’isoler jusqu’à 14 jours à domicile, sous la supervision de son médecin de famille », a déclaré Tătaru.
Toujours en Suisse, des accords transfrontaliers permettent à des patients venant des pays limitrophes et d’ailleurs de venir se faire dépister et soigner en Suisse. On les comptabilise dans des ratios se rapportant à la population résidente! Pareil pour les décès. Du coup, cela signifie que les « clusters » devraient se référer à un territoire plus vaste, ce qui réduirait automatiquement le taux de contamination.
Un grand scandale méthodologique qui frise la malhonnêteté intellectuelle!
Le scandale est amplifié par le fait que dès le 1er jour, nous savions tous ce que l’étude du Lancet affirme! Il y a donc mise en danger volontaire d’autrui dans une description mensongère de l’environnement. Une preuve de plus nous est donnée par ce qui suit.
Reprise scolaire après le confinement. Le choc des photos
Une enseignante a partagé sur Facebook sa rentrée scolaire avec les 4èmes (3ème année secondaire). Elle y décrit les « frimousses » de ces jeunes perdus derrière leur masque. Nombre d’entre eux avait les larmes aux yeux.
Les jeunes pré-ados et ados sont soumis à un stress insupportables. Une génération est en train d’être sacrifiée parce qu’elle est en train d’être démolie au niveau psychique. Cela se déroule en direct devant nous.
Après avoir bouclé 60% des établissements d’enseignement de la planète en raison d’une pandémie dont le qualificatif est donc statistiquement FAUX, voici ce qui attendait les enfants lorsque les pays ont commencé à les rouvrir.
Taïwan
A student gets a temperature check before entering a school in Vietnam
Anxiété et stress sont au rendez-vous, et cette certitude qu’il faut changer le mode de vie durablement est très troublante….
Combien de personnes souffrant des fameuses « comorbidités » décédées par manque de soins?
Par peur du virus, les cabinets se sont vidés durant le confinement. Les patients ont arrêté leur traitement. 28 millions d’opérations ont été repoussées ou annulées. Certains patients en sont décédés. Nous savons par les interventions de médecins américains sur le Net que durant le confinement les décès ont été facilement comptabilisés sous la rubrique COVID-19. C’est ce qui fut appelé par les autorités sanitaires de ce pays: méthode libérale. On aurait voulu provoquer des morts que l’on n’aurait pas fait autrement.
Combien de morts par manque de soins dû à l’arrêt en milieu hospitalier des interventions non COVID-19? Nous ne le saurons jamais.
Autre cas, les soins lourds et longs pour maladies graves du genre cancer ont été fortement troublées. Récemment un oncologue suisse disait en aparté que son cabinet avait été vidé de ses patients durant la période de confinement. Les patients auraient préféré éviter de se faire soigner plutôt que d’attraper le virus dans la salle d’attente. Ce médecin était catastrophé dans la mesure où ces patients ont arrêté leur traitement, et se sont du coup mis en danger.
Il y a quelques jours, une dame racontait le désarroi de son mari atteint d’un cancer de la prostate. Le traitement ne pouvait reprendre que si le monsieur acceptait de subir un test Covid-19. Ainsi, si cette personne était testée positive et décédait de son cancer, les responsables le classeraient sous décès Covid-19. Pour la petite histoire, aussi longtemps qu’il n’acceptera pas son test, il ne sera pas admis pour la suite de son traitement.
L’art de rajouter du stress au stress fut remarquable durant cette année 2020.
Les Faux positifs renforcent les biais
A toutes ces erreurs inacceptables, s’ajoutent les marges d’erreurs imposantes des tests de dépistage. Il est bon de rappeler que tous les tests, tous domaines confondus, présentent une marge d’erreur, et que vous pouvez être un faux-négatif ou un faux-positif! Ce qui est logique puis que aucun matériel ne peut présenter une fiabilité de 100%.
Le golfeur américain professionnel Cameron Champen en a fait les frais. Après avoir été testé positif au coronavirus, il s’est immédiatement retiré du PGA Tour’s Travelers Championship et s’est mis en quarantaine pendant 14 jours. Il avait déclaré sur Twitter qu’il ne présentait aucun symptôme et se sentait très bien. « Je me sens bien physiquement et j’ai été évidemment surpris et déçu d’apprendre le résultat du test ».
— Cameron Champ (@Cameron__Champ) June 27, 2020
Cinq jours plus tard, ce même golfeur déclarait avoir subi un test négatif – trois fois – soulevant des questions sur la fiabilité des tests utilisés par les sports professionnels pour filtrer les joueurs.
Alors que le nombre de nouveaux cas confirmés de coronavirus continue d’augmenter dans plusieurs États des États-Unis, certaines personnes, y compris le PDG de Tesla, Elon Musk, se demandent si des tests inexacts ne gonflent artificiellement le nombre de cas.
Imaginez maintenant le cas de ce golfeur en Roumanie. Il aurait été retenu pendant 10 jours dans un hôpital aux frais du contribuable, alors que de vrais patients (cancéreux, cardiaques, etc.) ne peuvent être pris en charge par manque de place.
A Nancy, on a relevé une flambée des cas de Covid-19 causée par… des tests de mauvaise qualité. Plus de 150 tests positifs au Covid-19 se sont révélés faux. La faute à un dysfonctionnement technique, explique le CHRU de Nancy.
Les gestes barrières, c’est selon…
Pendant ce temps, les décideurs ne semblent pas s’inquiéter outre mesure du fameux virus. Ci-dessous, un élu américain mangeant tranquillement à l’intérieur d’un restaurant sans le respect des normes d’hygiènes imposées à tout un chacun à commencer par les enfants!
Pareil en France où pour la énième fois, nous avons les photos officielles:
Les couples de Monaco, et Estrosi au Tour de France.
…Puis les photos amateurs:
Tribune VIP où le masque est rangé.
Et enfin une dernière photo pour lever tout doute sur la dangerosité du méchant vilain virus (comme on le décrit aux petits enfants):
Rappelons que Nice est la ville où les drones vous contrôlent sur ordre du maire, qui lui-même ne porte pas son masque quand il pense être hors du champ des caméras.
En conclusion, des erreurs cumulées sur fond de surmortalité « normale », voire faible en termes relatifs, et ce malgré la mise en veilleuse des opérations, de l’augmentation des suicides, l’interruption de traitements importants, nous forcent à affirmer avec détermination qu’au plan de la Statistique pure, il n’y a pas de « pandémie ».
Par conséquent, quelqu’un qui a autorité doit prendre la parole pour faire cesser le jeu morbide, dont l’élite est dispensée, mais qui est imposé à l’ensemble de la jeunesse. Et ceci sans délais.
Complément: Pour ceux que cela intéresserait, le point de vue d’un scientifique chrétien sur le sujet
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MISE A JOUR
Tout à fait conscient du désastre occasionné au niveau de la santé mentale, le WEF lui consacre dans son Donut une page entière avec les impacts systémiques… Conséquence: augmentation majeure des coûts de la santé…
Source: Lire l'article complet de Réseau International