30 pour cent des gens comprennent le pourquoi du comment, que ce soit de façon informée ou instinctive parce qu’ils ont un bon fond, et la plupart des gens savent, tout comme un âne, que la muselière ne leur convient pas et qu’elle répond à d’autres intérêts que le leur. Preuve en est qu’ils se l’ôtent dès que le gendarme ne leur fait plus peur, ou que la punition est levée, parfois par d’autres que les politichiens : le patron, le commerçant, l’entourage…
Environ un quart des gens sont toujours du côté du manche, ou carrément ravis de se murer dans leur petite personne gazeuse et nauséeuse. Il y en a même parmi eux qui adorent la maladie : elle les rend intéressants.
Malheureusement les mères étouffantes vont bien profiter de l’occasion pour empêcher encore plus leurs enfants d’exister.
L’oppression se fait par réseautage de la culpabilisation : si tu ne mets pas ton masque, quelqu’un d’autre paiera, non plus avec sa santé, mais avec ses sous. Ainsi tout le monde s’entre-surveille et les geignards triomphent.
Il n’est pourtant pas légalement possible que l’infraction (ici supposée) de l’un soit payée par quelqu’un d’autre que lui, sauf si le supposé délinquant est mineur, idiot ou fou. A répéter dans les magasins-flics.
Les forces armées en France, habituées à la discipline et l’estimant, pourraient ne pas apprécier d’être au service des geignards et trouillards. C’est un espoir.
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