« Deux vidéos postées sur les réseaux sociaux montrent des dealers armés et cagoulés protéger un point de vente de drogue, à Grenoble. Des images qui ont suscité l’indignation des autorités, la mairie va demander des renforts de police.
Deux vidéos ont été postées sur les réseaux sociaux. Sur l’une d’elles, plusieurs individus font le guet autour d’une table, au pied d’immeubles, près d’une aire de jeux pour enfants. Certains semblent équipés de gilets pare-balles et d’armes lourdes. D’autres portent des tee-shirts floqués du nom du quartier et du code du département : “Mistral 38”. » (SputnikNews)
La ville de Grenoble est la première grande ville dirigée par les écologistes en France. On peut constater qu’il y a un adjoint à la tranquillité publique, qui est une adjointe.
- Les dealers n’ont qu’à bien se tenir, Maud rôde !
Yves Calvi est en ligne avec Maud Tavel sur RTL jeudi 27 août 2020. Il relate la descente de police dans la cité du Mistral après la publication des vidéos et photos de dealers :
« Bilan de l’opération hier soir, deux scooters saisis. Que pensez-vous de ce butin qui peut paraître maigre, Maud Tavel ? »
Le socialo-sionisme qui par antiracisme ne veut rien faire, laisse la place au national-sionisme qui propose de passer le kärcher sur les banlieues. On se retrouve dans une séquence à la Sarkozy 2004-2005 quand il avait mis le feu aux cités pour promettre de cogner dur sur la délinquance, ce qu’il ne fera pas une fois au pouvoir. Les Français auront été cocus, une fois de plus.
Le national-sionisme, aujourd’hui, nous refait le même coup avec Zemmour. D’une main, le pouvoir sioniste laisse se dégrader les situations dans les banlieues (en neutralisant la justice et la police par l’injonction antiraciste), qui deviennent littéralement incontrôlables, de l’autre il propose une solution miraculeuse, dans laquelle il conserve toujours la main.
Les radicaux des deux camps, identitaires et racailles, sont poussés à la guerre les uns contre les autres. Les sionistes se débarrasseront alors de nationalistes sincères et d’une partie des racailles (pas tous, cette « police » politique peut toujours servir contre les Français). Il ne restera qu’un peuple craintif, spectateur et passif, dont les forces vivres auront disparu.
SputnikNews détaille la « guerre d’image » dont parle Maud Tavel, qui réclame « des effectifs de police complémentaires » :
« Rappelons que nous n’avons pas trouvé les effectifs que nous avions perdus dans les années 2000 sous l’ère Sarkozy. »
On sait aujourd’hui qu’une grève du zèle chez les policiers, qui ont donc laissé monter la petite délinquance quand Sarkozy était ministre de l’Intérieur juste avant l’élection présidentielle de 2007, a permis l’élection du même Sarkozy à la présidence de la République sur le programme quasiment unique de la « sécurité ». CQFD.
SputnikNews évoque une seconde vidéo qui a fait polémique :
« La seconde vidéo semble être une mise en scène, sur fond sonore. On y voit plusieurs dealers assis devant une table couverte de paquets de bonbons multicolores, et de bocaux contenant visiblement de la drogue. »
Le procureur de la République de Grenoble et l’adjointe à la tranquillité publique se sont indignés en chœur :
« Le magistrat a qualifié la situation d’“inadmissible” et a rappelé “la détermination du parquet de Grenoble à lutter contre les trafiquants de stupéfiants”.
La mairie a également réagi à ces images. L’adjointe à la tranquillité publique Maud Tavel a ainsi adressé ses pensées aux familles et citoyens vivant dans le quartier, tout en réaffirmant la volonté de la municipalité de rétablir l’ordre public. »
Ils ont tapé de leur petit poing sur la table et une boîte de bonbons s’est renversée ? Maud a donné une autre interview, cette fois à France Bleu :
« On a l’air d’être sur une mise en scène. Pour impressionner qui ? Les jeunes, les autorités. […] En tout cas, c’est une condamnation ferme de la ville de Grenoble […]. Il est du rôle de l’État de démanteler les trafics, il est du rôle de la ville de Grenoble de faire en sorte qu’on puisse y vivre dans de bonnes conditions, aller au travail, sortir de son immeuble, demain aller à l’école. »
En 2019, face à la montée des violences des migrants dans la capitale, cédant sur son humanisme socialiste, le maire de Paris Anne Hidalgo avait réclamé des effectifs de police supplémentaires, ce que l’Intérieur macronien lui avait refusé.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation