Un éveil tardif
J’ai eu tôt dans ma jeunesse des doutes sur la partialité des médias. Cela remonte à quelques décennies. Cette certitude s’est renforcée depuis sans discontinuer quel que soit le gouvernement en place, aussi bien concernant les chaînes privées que leurs consœurs financées par des capitaux publics. Les détenteurs du pouvoir savent l’influence de la télévision sur la population, c’est pourquoi ils s’assurent d’en avoir le contrôle pour asseoir le discours officiel et garantir leur suprématie. Aujourd’hui il est difficile de savoir via la presse traditionnelle. Les télés, les radios, les journaux relaient presque tous à quelques exceptions près la voix de leurs maîtres avec un zèle appliqué. Mais avec l’élection de Macron il faut admettre qu’une étape supplémentaire a été franchie.
Par conséquent, lorsque Internet a proposé une alternative, j’ai orienté ma curiosité vers ce média.
Le premier évènement auquel je me suis sérieusement intéressé via Internet sont les attentats du 11 septembre. Deux avions percutent deux tours, trois tours s’écroulent ! Quel est ce mystère ?
J’ai reçu un choc en cherchant des réponses ; les quelques certitudes que j’avais ont été ébranlées. Et j’ai découvert un monde nouveau, insoupçonné dans lequel je vivais depuis plus d’une douzaine de lustres ! J’ai donc farfouillé sur Internet, tirant sur ce fil pour tenter de le dérouler jusqu’au bout.
C’est d’autant plus facile qu’il est possible d’accéder à des milliers d’informations sans bouger de son fauteuil. Seuls sont nécessaires du temps, de la curiosité. Bien entendu on trouve là le pire comme le meilleur. Pas facile d’y voir clair. Pour ma part j’ai croisé les informations avant de quelques fois parvenir à me faire une opinion et à les croiser encore et encore avant de me forger une certitude. C’est ainsi que, concernant les évènements du 11 septembre, estimant qu’il y a eu machination, je suis devenu un dangereux complotiste/conspirationniste.
Depuis j’essaie de me soigner, en quête de la vraie vérité sur le monde qu’on veut nous vendre ou à défaut, dès lors que l’on considère que la vérité absolue n’existe pas, de débusquer les mensonges avérés sur des évènements-clé ayant marqué notre histoire récente ou non.
Mais face à l’étendue de la supercherie le sevrage est difficile et je suis loin d’être tiré d’affaire.
Un complotisme fort opportun
Les dictionnaires nous donnent cette définition du complot : « Projet concerté secrètement afin de nuire à quelqu’un ou à une institution, conspiration, machination, manigance ».
Un quidam traite généralement son interlocuteur de complotiste, infamie suprême, pour lui clouer le bec lorsqu’il aborde des sujets non-conforme au discours officiel, ou encore lorsqu’il ne veut pas entendre des vérités qu’il craint de découvrir… Paradoxalement, les accusateurs sont tous « Charlie », c’est-à-dire farouchement défenseurs d’une parole libérée de toute censure, mais à condition bien entendu que celle-ci soit compatible avec leur propre pensée. Un comble, non ? C’est dire la malhonnêteté et la bêtise de leur démarche.
Ceux-là devraient méditer cette phrase que l’on prête à tort ou à raison à Voltaire ?
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »
Pour info le portail ReOpen911 présente un dossier dense et fort instructif sur ces attentats du 11 septembre, qui contredit factuellement les conclusions du rapport d’enquête officielle. Mais attention, en prendre connaissance constitue déjà une transgression complotiste.
Pourquoi le récit de ces évènements tragiques n’est pas conforme à de nombreux faits relevés par une multitude de témoins ? Que se cache-t-il derrière ces mensonges ? Pourquoi ne peut-on pas tout simplement remettre en cause le narratif de la version officielle ?
Il est vrai que parfois certaines vérités dérangent. C’est le cas lorsque ces vérités contredisent ceux qui s’efforcent de cacher quelque-chose, mais parfois lorsqu’elles bousculent profondément les certitudes de ceux qui les découvrent.
« Les hommes trébuchent parfois sur la vérité, mais la plupart se redressent et passent vite leur chemin comme si rien ne leur était arrivé ». Winston Churchill
Et l’argent dans tout ça ?
Partant du principe immuable selon lequel qui paie commande, j’en suis venu inéluctablement à la question de l’argent. Qu’est-ce que l’argent, qui crée la monnaie ? Questions essentielles si l’on considère que l’argent est le nerf de la guerre ? Qu’est-ce qu’une banque centrale, la FED, la BCE, la banque de France. Et surtout, d’où vient la dette qui asservit les peuples ? Cette dernière question est fondamentale pour appréhender le monde moderne avec des bases solides.
Jeune adulte j’avais pressenti ingénument que la finance dirige le monde. Mais je n’avais idée ni de la genèse de l’institution financière, ni des mécanismes qui en forge la redoutable puissance.
Si la gestion des banques au quotidien est devenue assurément technique et réservée à des spécialistes, ses principes fondamentaux demeurent compréhensibles pour tout béotien.
« Il n’existe que deux seules façons d’asservir les nations, l’une par l’épée, l’autre par la dette » affirmait John Adams, le deuxième président des États-Unis d’Amérique.
J’ai tenté à plusieurs reprises d’expliquer ces mécanismes à des personnes de mon entourage. Elles ne m’ont pas cru bien entendu, me regardant tantôt avec condescendance, tantôt avec complaisance ou bienveillance… Il y a en vérité un long chemin à parcourir pour que la lumière scintille à nos yeux.
De fil en aiguille j’en suis arrivé à me demander notamment : qu’est-ce que la City de Londres, la république de Cromwell, quel rapport entre la bataille de Waterloo et la banque d’Angleterre ? Qui est Mayer Amschel ? Que s’est-il passé sur l’île Jekyll en 1910 ? Quelle en furent les conséquences ? Et une multitude d’autres questions que ces recherches m’ont suggéré ou vers lesquelles elles m’ont orienté ? Mais attention, là on sort du domaine du complotisme au risque de s’exposer à la menace d’antisémitisme !
L’Histoire qu’on nous raconte
Comme on le voit il est impossible d’aborder toutes ces questions en ignorant l’histoire. Je me suis ainsi penché sur la période de notre première révolution. Ce séisme a fracturé mille cinq cents ans de royauté (et de chrétienté) pour lui substituer une élite bourgeoise « éclairée » puis laïque (laïque ou athée ?). Cette époque a vu la naissance de l’industrialisation puis de la colonisation (3éme république) donc du capitalisme moderne, mué depuis les années 80 en néo-libéralisme libertaire, c’est-à-dire un capitalisme débridé qui s’affranchit autant que faire se peut des règles économiques élémentaires (mutation vers une finance essentiellement spéculative) et de toutes barrières sociétales (libéralisme-libertaire). Il m’est apparu alors que l’histoire officielle telle qu’enseignée dans nos établissements scolaires a parfois pris de la distance avec les évènements à des fins idéologiques. Et qu’il n’est pas bon être révisionniste (au sens premier du terme) en la matière, sauf à s’exposer à une mort sociale/économique ou peut-être même parfois à une mort tout court. Mais voilà encore une fois une posture pour le moins complotiste.
« Faites attention à l’Histoire que l’imposture se charge d’écrire. » affirmait Chateaubriand
D’autres recherches m’ont offert une lecture nouvelle sur la naissance et les velléités hégémoniques de l’Empire britannique, sur les deux guerres mondiales, les révolutions russes et chinoises… Il est alors devenu évident que le pouvoir fonde pour partie sa domination sur l’ignorance des masses, entretenue par le mensonge permanent et en particulier par la réécriture d’une Histoire à sa mesure.
Des réseaux d’influence
Je me suis ensuite penché sur les réseaux suivants : la franc-maçonnerie dont le rôle dans la révolution de 1789 ne fait plus guère mystère et le sionisme moderne né officiellement un siècle plus tard (même si ses racines remontent plus loin dans les temps antiques). A priori, pas de rapports entre les deux… Pourtant il s’avère que notre république est franc-maçonne depuis sa naissance et que nos institutions sont infiltrées (noyautées ?) par le sionisme, je dirais depuis la première guerre mondiale, mais probablement avant. Là pour le coup lorsqu’on ose aborder de tels sujets, on exsude le complotisme mais surtout l’antisémitisme. On s’expose à la vindicte des chiens de garde qui usent et abusent de cet argument fallacieux pour étouffer les idées gênantes et autres discours dissonants. Mais surtout les coupables de tels méfaits sont repoussés sans rémission possible dans le camp des éternels excommuniés, des pestiférés éloignés des abords de la cité.
Cependant il devient de plus en plus difficile de nier que ces réseaux-ci en particulier qui cultivent entrisme et ésotérisme, pénètrent secrètement les arcanes de la société pour servir leurs intérêts et ceux d’une caste ultra-minoritaire. Les mécanismes sous-jacents qui en découlent portent un nom : corruption.
À ce jour, même si je commence à y voir plus clair, je suis loin d’avoir fait le tour de toutes ces questions ; d’ailleurs ma vie et mes capacités cognitives n’y suffiraient pas. Opiniâtrement, je tire toujours sur mon fil.…
Le narratif médiatique
Puis en 2011, débutait la guerre en Syrie contre Assad le « boucher ». Comme beaucoup d’autres manipulés par les médias, je ne donnais pas trois mois à ce tyran avant de tomber. Des sites un peu plus sérieux et compétents que BFM-TV – média flanqué de ses pléthoriques experts patentés – et tous les autres, présentaient les évènements sous un autre angle. J’ai alors pris la mesure de l’immense matraquage des médias et de leur pouvoir de persuasion sur la population, mais surtout de leurs mensonges éhontés érigés en vérités indiscutables.
Une fois de plus, on a façonné pour nos esprits anesthésiés une guerre du « bien » menée contre le « mal », le progressisme dressé contre l’obscurantisme, la vérité clamée haut et fort contre le mensonge, comme si la marche du monde s’accommodait d’un manichéisme bienveillant à l’égard de l’occident.
« À chaque fois que vous vous retrouvez à penser comme la majorité des gens, faites une pause, et réfléchissez… » écrivait Marc Twain
« La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter ». Aldous Huxley
Le Moyen-Orient en feu
Cette guerre de Syrie ainsi que l’enchaînement des révolutions colorées pilotées dans la région (Tunisie, Libye) par l’OTAN a été un deuxième déclic. J’ai voulu en savoir davantage et j’ai découvert la passionnante géopolitique.
À chaud, quelques remarques à ce propos :
- L’asservissement de la France par l’OTAN en matière de politique étrangère a achevé de décrédibiliser notre pays dans le monde non occidental, politique dont Charles de Gaulle avait pourtant à cœur de préserver l’indépendance dans le concert des nations.
Autrefois respectée, saluée même de par la planète entière, elle est depuis Sarkozy moquée dans les chancelleries. - L’Union Européenne et la France avec elle est liée au sort des États-Unis d’Amérique. C’est-à-dire par exemple que lorsque Poutine (avec l’Iran et le Hezbollah) a sifflé la fin de la partie en Syrie, les USA, Israël et l’Europe ont dû reconsidérer à la baisse au moins provisoirement, leurs objectifs initiaux d’ingérence et leur projet de redécoupage de la région (Grand Israël).
Les évènements ayant cours au Liban ces dernières semaines attestent que la partie d’échec continue. - Difficile d’appréhender la situation en Europe en général et en France en particulier sans tenter de comprendre les tenant et les aboutissants des évènements qui agitent le Moyen-Orient élargi, autant qu’il est possible de le faire dans un contexte historique, culturel, religieux et géostratégique complexes.
Macron et la faillite des institutions
L’élection de Macron en 2017, ses trois années à l’Élysée, le passage en force des « réformes », le mouvement des gilets jaunes puis l’actuelle crise de la Covid-19 mettent à jour la détresse matérielle et spirituelle de la France, l’état de délabrement de nos institutions et l’impéritie de nos gouvernants. C’en est affligeant !
« La moitié des politiques n’est capable de rien, l’autre moitié est capable de tout ». disait abruptement Georges Clemenceau.
Dès lors que la séparation des pouvoirs n’est plus respectée, notre constitution foulée au pied dans ses principes fondamentaux n’est plus qu’un morceau de papier sans valeur. Et à partir du moment où les limites ont été outrepassées ne serait-ce qu’une seule fois, il n’y aura pas de retour en arrière. Ce qui laisse la place à toutes les éventualités.
Pour ne rien arranger, Macron est un psychopathe incapable d’empathie, un menteur compulsif… et pire qu’un autocrate avéré, c’est un dictateur en devenir. Il assoit sa posture de matamore sur une caste indéboulonnable de technocrates, de parvenus et de carriéristes en lévitation, préoccupée de servir ses intérêts et qui assurée de sa mission supérieure, toise le vulgaire avec condescendance. Malheureusement, j’ai suffisamment vécu pour savoir que nous n’avons rien à attendre ni à espérer de bon de ce côté-là.
Les ingrédients sont alors réunis pour que prenne la mayonnaise… totalitaire, le scénario qui se profile subrepticement.
Les évènements de ces dernières semaines pourraient offrir au pouvoir réel tapis dans l’ombre (j’y reviendrai), l’opportunité à ce pantin zélé de Macron d’exprimer tous ses talents conjugués. C’est ce qui est à craindre lorsque l’on prend un peu de recul sur le déroulé des mesures prises unilatéralement par ce gouvernement félon pour prétendument lutter contre la pandémie mais aussi et peut-être surtout, pour détruire ce qu’il reste des acquis sociaux hérités de la reconstruction d’après-guerre, de contenir les troubles contestataires qui semblent inéluctables dans un climat social houleux, afin d’achever le pillage de ce qu’il reste de richesses de notre pays.
Par ailleurs, comme je l’évoquais plus avant, pour ne rien arranger dans ce contexte particulier notre gouvernement, notre haute fonction publique, ainsi que les médias dominants et le monde du spectacle sont phagocytés par le sionisme et la franc-maçonnerie. Si ce phénomène ne date pas d’aujourd’hui, il a désormais atteint des sommets. À tel point que notre pays est sous influence étrangère, colonisé même le mot n’est pas trop fort, par un pays raciste qui pratique la ségrégation. Et cela commence à se voir au point que le CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France) voudrait bien que nos lois assimilent l’anti-sionisme à de l’anti-sémitisme. C’est une véritable imposture qui pour le moment n’a pas franchi le stade ultime du vote.
Au pays phare de la liberté d’expression, le mot « sionisme » est donc devenu un gros mot qu’il est mal venu de prononcer en public sous peine d’être remisé dans les cases « facho » et « nazi » ou poursuivi en justice.
Il serait urgent de s’en inquiéter.
Bien que la désescalade dans nos institutions ne date pas d’hier, elle paraît être aujourd’hui à son comble. Et nul ne peut dire ce qu’il peut advenir au cours des prochaines semaines, des prochains mois dans le contexte social explosif avec des dirigeants ayant démontré qu’ils sont capables de faire sauter tous les verrous.
Victor Hugo avait son idée sur la question : « La dernière raison des rois, le boulet. La dernière raison des peuples, le pavé ».
Le Nouvel Ordre Mondial
L’élection de Macron n’est plus vraiment un mystère. Les mondialistes étaient à la manœuvre. Les mondialistes ou globalistes sont ceux qui voudraient substituer un gouvernement mondial aux États-nations : le fameux NOM pour Nouvel Ordre Mondial. À ce jour, un noyau de gouvernance mondiale existe bel et bien : « City de Londres », FED, BCE, BRI, ONU, OTAN, UE, BM, FMI, OCDE, OMC, OMS, FEM, GIEC, Bilderberg, clubs de réflexion divers (Le Siècle, La Trilatérale), sociétés secrètes diverses (Skull & Bones, Bohemians Club), ONG, FEM, fondations multiples, etc. Toutes ces institutions transnationales patiemment mises en place au cours des décennies passées, sont astucieusement imbriquées et interconnectées pour constituer un pouvoir centralisé à la fois financier, économique, politique, militaire, scientifique, etc, qui s’affranchit des frontières et de la souveraineté des nations donc des peuples pour imposer son agenda.
Au sein de cette mouvance, des factions s’affrontent en particulier pour tenter d’imposer une monnaie mondiale qui pourrait être le dollar, les DTS (Droits à Tirages Spéciaux) ou une voie alternative.
Depuis des décennies, ce gouvernement quasi mondial a déjà fait la preuve de ses pouvoirs de nuisances prédatrices sur l’ensemble de la planète : endettements provoqués, manipulations, blocus, déstabilisations, chaos organisés, assassinats, attentats sous faux drapeaux, révolutions colorées, guerres puis guerres via proxy etc, dans le but de piller les richesses locales sans considération aucune pour les populations autochtones. Sous couvert de promouvoir la démocratie et de répandre les idées progressistes, il travaille sans relâche pour asseoir son emprise sur la planète entière. On le voit à l’œuvre aujourd’hui avec la « pandémie » en cours.
C’est un cartel de banquiers ayant pris naissance au début du 18ᵉ siècle, voire dans le milieu du 17ème siècle en Angleterre, qui est à la manœuvre. On peut dire que celui-ci, par la corruption, la division, la manipulation, la perversion, le crime, dirige le monde à son avantage. Il est tellement riche et tellement puissant qu’il conviendrait plutôt d’écrire qu’il possède le monde ? Le nouvel ordre mondial, c’est lui.
Ces banquiers, élites plus que discrètes, qui n’apparaissent jamais dans le classement Forbes des milliardaires les plus riches de la planète (à côté d’eux Jeff Bezos et Bill Gates font figure de nécessiteux), présument de leur légitimité d’un passé spirituel lointain, et valident leur conception mystique et sataniste d’un monde qui résulterait de l’accomplissement d’une prophétie biblique messianique.
Bien que j’aie eu des réticences à accepter ce fait, les récentes affaires de mœurs ayant éclaboussé le monde du spectacle, de la haute couture et des personnalités de premier plan, tant aux États-Unis qu’en France et en Angleterre, pour peu qu’on fouille le sujet, confirment cette maléfique et monstrueuse réalité.
Enfin, bien que les maîtres du monde soient des êtres de chair comme vous et moi, il est audacieux de parler d’eux, de les montrer du doigt, de les nommer. Ils appartiennent à l’élite de l’élite, à la caste suprême des intouchables Du moins pour le moment…
« Pour savoir qui vous dirige vraiment, il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer » écrivait encore Voltaire.
Cette autre de Régis Debray : « Qu’on ne fasse pas le coup du fascisme, parce qu’après on vous demande de voter banquier, mais c’est le banquier qui fait le fascisme »
Un monde divisé ; une dystopie en perspective ?
Alors que la bulle financière menace d’exploser (ou pas), la maladie Covid-19, véritable aubaine pour les laboratoires pharmaceutiques, est l’occasion pour cette oligarchie financière de s’enrichir davantage sur le dos des populations qui paieront l’addition par des baisses drastiques de leur niveau de vie et la confiscation de leur épargne. Ces temps-ci la bourse se porte plutôt bien, merci.
C’est l’occasion surtout d’accroître leur emprise sur le monde pour que s’accomplisse la prophétie.
La maladie Covid-19 pourrait être une opportunité d’imposer aux peuples cette gouvernance mondiale au prétexte de lutter efficacement contre les pandémies futures, mais également d’asservir les peuples et aussi incroyable que cela puisse paraître d’en réduire le nombre, de mettre en place des mesures de surveillance et de contrôle coercitives/sécuritaires dignes d’une dystopie qui serait devenue réalité. Il suffit pour s’en convaincre de mesurer les « avancées » réalisées en matière de surveillance et de contrôle des populations mises en place depuis les multiples attentats perpétrés aux USA et en Europe depuis vingt ans.
Schématiquement et pour résumer en simplifiant à l’extrême, on pourrait considérer que depuis quelques années le monde se divise en deux camps :
- d’un côté les mondialistes où globalistes, présents dans la quasi-totalité des pays de la planète, dominés en sous-main par ce cartel de banquiers, qui prônent un libéralisme économique sans frein, une monnaie mondiale unique (les DTS ?), prêchent pour un monde ouvert s’affranchissant des frontières, des cultures, de l’histoire, annihilant les individus-consommateurs érigés à dessein en demi-dieux accomplis, les émancipant de toutes contraintes morales et comportementales… pour en faire des zombies déracinés manipulables à souhait.
- de l’autre les alter-mondialistes identifiés comme nationalistes ou patriotes, protectionnistes (ils peuvent être également libéraux sur le plan économique et/ou favorables ou non à la prééminence du dollar) revendiquant leur appartenance à un territoire, sont attachés à leur héritage culturel, à leur langue, à leur histoire, à leur patrimoine, à leurs indépendance et souveraineté, à la prééminence de l’individu tel que façonné par la Nature.
Ce clivage est à son paroxysme aux États-Unis semble-t-il où une guerre civile larvée, mais néanmoins de haute intensité se joue en ce moment. Il n’est pas impossible que Trump ait été porté au pouvoir par des militaires patriotes pour lutter contre la corruption qui sévit au sein des services de renseignement et de l’administration fédérale, bref pour anéantir l’état profond et s’opposer aux velléités hégémoniques des mondialistes. Les accusations successives portées contre lui par ces derniers (« l’impeachment »), les affaires Wikileaks, le Pizzagate, les courriels d’H. Clinton, l’affaire Epstein, les démissions en cascade etc, seraient les escarmouches portées par les protagonistes de cette lutte à mort. Il est possible plus simplement que les mondialistes veulent l’anéantir parce qu’il entrave l’agenda de leur plan expansionniste.
Quoi qu’il en soit, l’issue de cette lutte redistribuera les cartes. Les élections programmées pour novembre prochain seront déterminantes pour l’ensemble du monde occidental et par voie de conséquence pour la planète entière.
Une guerre de l’information
En parallèle, une véritable guerre de l’information fait rage.
Sur le Net les informations, toujours plus d’informations circulent sur des millions de smartphones et d’ordinateurs à la vitesse de la lumière. Internet s’organise. La planète s’informe et s’éveille.
Pour combattre cette prise de conscience insupportable pour le pouvoir en place le matraquage mensonger des médias de masse traditionnels contrôlés par les maîtres du monde est voué à s’intensifier ; les mensonges succèdent aux mensonges au risque de devenir visibles aux yeux des plus crédules.
D’autre part, la censure passe à la vitesse supérieure notamment via les Google, Facebook, Tweeter, YouTube et consort qui s’attaquent aux publications gênantes ou intolérables pour la doxa ; l’information dissidente ne doit pas circuler.
De fait le durcissement de la censure accrédite la thèse selon laquelle un pouvoir qui recourt à la coercition est en position de faiblesse, ou pour le moins pris en défaut.
L’espoir d’un monde nouveau ?
Voici donc où j’en suis arrivé avec mon fil.
À ce jour, j’ai le sentiment que nous avançons sur une ligne de crête. D’un côté l’abîme qui pourrait nous plonger dans une dystopie totalitaire usant de technologies ultra-sophistiquées dont nous n’avons pas idée, pour contrôler, cibler, pister, intimider voire neutraliser les opposants et les réfractaires. Compte-tenu de l’ignorance, de l’apathie dans laquelle la majeure partie de la population est engluée, il n’est pas non plus interdit d’imaginer que le glissement vers un asservissement consenti soit progressif et indolore. J’espère me tromper dans les deux cas.
Bien évidemment, j’aimerais plutôt basculer sur l’autre versant : grâce à Internet notamment, la plèbe commence à comprendre et se dresse pour déjouer le scénario écrit pour elle.
Mais ne nous trompons pas : les mouvements de contestations ayant cours en ce moment aux États-Unis (Black Lives Matter) sont pilotés en sous-main, c’est-à-dire financés par les fondations Ford et Open Society pour déstabiliser Trump, voire provoquer une guerre civile dont les mondialistes pourraient tirer profit. Ces violences sont répliquées dans divers pays d’Europe dont la France, où elles façonnent une contestation de façade qui, pour l’occasion, bénéficie curieusement de la bienveillance du ministère de l’Intérieur, alors que les autres rassemblements sont proscrits en raison de la Covid-19.
La généralisation en cours du port du masque dans les espaces publics, la menace d’une seconde vague avec l’instauration d’un nouveau confinement confirment le narratif : comme toujours, il convient de diviser ou instiller la peur pour régner.
Il n’est toutefois plus illusoire de croire qu’un monde nouveau est aujourd’hui possible.
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Merci d’avoir eu la patience de me lire jusqu’au bout, en vous priant de me pardonner d’avoir été… plutôt long.
La quasi-totalité des informations issues de ce texte devraient être encore à ce jour accessibles sans difficulté sur internet pour qui se donne la peine de chercher.
Source: Lire l'article complet de Réseau International