par Francis Goumain.
La crise du Covid est-elle uniquement sanitaire et passagère ou s’inscrit-elle dans une tendance bien plus longue de domestication, de transformation de l’homme en Covidé ?
Selon une source perdue (probablement une production de Polémia et de Jean-Yves le Gallou), les citoyens de la modernité sont parqués dans un enclos formé de quatre côtés : la télévision, les sondages, l’auto et le loto.
Quatre outils de contrôle social, la télévision domine largement, mais tous les côtés sont interdépendants, ils se renforcent en jouant ensemble. Par exemple, prenons le côté « Auto », plus précisément le code de la route, et le côté « Télévision », plus précisément la liberté d’expression.
On tombe alors sur un résultat absolument stupéfiant : la chronologie des trois grandes étapes de la répression routière et la chronologie des trois lois limitatives de la liberté d’expression sont identiques, il y a eu trois vagues, une quatrième se prépare.
Ceci peut être résumé sous la forme d’une table, une espèce de « matrice de la servitude » :
Cela a donc commencé par une sorte de laisse, la ceinture de sécurité, et ça continue aujourd’hui par une sorte de muselière, le masque, tout un processus long d’une cinquantaine d’années.
(On trouvera plus d’explications sur cette matrice ici)
Laisse et muselière, le citoyen idéal ?
Prenons maintenant le côté « Loto » et le côté « Télévision ». Le Covidé joue au loto, ça, ce n’est pas une surprise, selon une enquête de l’iNPS en 2010, 48 % des 18–75 ans tentent sa chance au moins occasionnellement au jeu de hasard et d’argent. Cela représente 25 millions de joueurs en France.
Le mécanisme est très simple, la faiblesse ridicule de la probabilité de gagner n’est pas perçue par le Covidé, en outre, elle est masquée par une intensification à outrance de l’enjeu par la télévision : s’il gagne, le Covidé devient millionnaire, il change de vie, il se retrouve au paradis.
Pourquoi cette intensification ?
Parce que le vrai but, c’est de faire jouer tout le monde, il faut que tout le monde joue. Ce mécanisme de manipulation de masse ne se limite pas au cas un peu inoffensif du loto, par contre, le loto prépare les populations à d’autres manipulations du même genre. On aura remarqué qu’il était tout aussi impossible de convaincre un jeune Covidé qu’il ne coure pratiquement aucun risque de décéder du Covid, que de le convaincre, chiffres en mains, qu’il n’a aucune chance ou presque de gagner le gros lot.
Le covid fonctionne comme une sorte de loterie à l’envers, toucher le gros lot, mourir, c’est perdre, heureusement, à l’inverse du vrai loto, on gagne presque à tous les coups : avant 60 ans, très peu de décès. Comme au loto, la mise de départ est faible (au moins au point de vue financier) : porter un masque. En réalité, miser ou pas, c’est-à-dire porter ou non le masque, ne change rien au fait d’attraper ou non la maladie, mais ça, la télévision ne le dit pas. Au contraire, elle matraque à tour de bras qu’il faut jouer le jeu, porter le masque, et, Dieu sait comment, elle a réussi à convaincre le Covidé qu’il était bien plus terrible de mourir du virus que de n’importe quelle autre manière : dans les tôles d’un accident de voiture, sous les décombres d’une explosion, égorgé au Niger, du cancer ou du diabète… Il s’agirait d’un virus du « Mal » qui vous conduit tout droit en enfer.
Mais c’est ici et maintenant que ça devient l’enfer, et rien n’indique que le processus débuté en 1972 touche à sa fin, au contraire, il menace de s’emballer. Qui sait par exemple si à la rentrée on ne décidera pas de séparer les enfants de leurs parents, de les placer en quarantaine ?
Et dire que tout avait commencé par un éclat de rire retentissant, en février 1973 : La Cage aux folles.
La Cage aux Covidés promet d’être sensiblement moins hilarante, on n’est plus très loin du ballon blanc pour attraper les récalcitrants au masque et au confinement : « ma vie m’appartient » ! hurlait le mal-héros de la série « Le prisonnier ».
Source: Lire l'article complet de Réseau International