Quelque chose ne tourne pas rond à Libé, ou alors le lobby LGBTP a pris le pouvoir sur la rédaction : mettre Joe Biden en une, avec un « go Biden » douteux, quand on sait les préférences sexuelles dégueulasses du vieux porc démocrate, ça efface d’un coup toutes les tentatives d’explication (par CheckNews) de la promotion de la pédophilie dans les pages du journal au cours des années 70.
En 1977, voici ce que Libé publiait :
On a retrouvé l’article de CheckNews (l’organe de vérification des faits du quotidien) sur ce sujet qui brûle encore les fesses du journal 40 ans plus tard…
Celui qui a été mandaté pour faire le sale boulot de mea culpa, c’est Sorj Chalandon, depuis passé au Canard enchaîné (ouf !), et qui y publie désormais beaucoup d’articles sur la Shoah à la télé, mais c’est hors sujet. Mais Chalandon y a été avec courage, car quand on lit ça, hier ou aujourd’hui, des coups de pelle se perdent :
« Je faisais un cunnilingus à une amie. Sa fille, âgée de cinq ans, paraissait dormir dans son petit lit mitoyen. Quand j’ai eu fini, la petite s’est placée sur le dos en écartant les cuisses et, très sérieusement, me dit « à mon tour, maintenant ». Elle était adorable. Nos rapports se sont poursuivis pendant trois ans. » C’est un homme qui parle. Il s’appelle Benoît. Son interview, titrée « câlins enfantins », est précédée d’une phrase du journaliste : « Quand Benoît parle des enfants, ses yeux sombres de pâtre grec s’embrasent de tendresse. » C’est terrible, illisible, glaçant. Et publié dans Libération le 20 juin 1981.
Une autre fois, en 1979, défendant à pleines brassées de mots et de pages un moniteur d’éducation physique condamné pour détournement de mineur, Libé titre « baudruche » une affaire qu’il estime se dégonfler. Des journaux avaient mis en scène des accusations de « prostitution enfantine », de « traites d’enfants ». Tout cela était faux. Ce qui était vrai, en revanche, c’est que cet homme mêlait des enfants à ses saloperies d’adulte. Le journaliste de Libération interroge le juge d’instruction chargé de l’enquête. « Cet homme était-il violent avec les enfants ? » « Non, répond le juge, mais il les faisait pisser et chier dans les partouzes. » « Mais y a-t-il proxénétisme ? », continue le journaliste. « Non, mais il leur faisait faire des horreurs, jouer avec leurs excréments, ils en mangeaient. » Presque victorieusement, l’article estime avoir démonté la machination parce qu’aucune violence n’avait été exercée sur les enfants. Voilà. Alors « lâchez-nous les baskets », grondait l’article juste à côté, pour lequel cette « baudruche dégonflée » n’est rien de plus que l’expression d’« une campagne d’ordre moral ».
Go Biden ou go bidet ?
Voici, pour l’information de Libé et de CheckNews :
« Jean-Paul Sartre, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Gilles et Fanny Deleuze, Francis Ponge, Philippe Sollers, Jack Lang, Bernard Kouchner, Louis Aragon, André Glucksmann, François Châtelet et bien d’autres encore, de Félix Guattari à Patrice Chéreau ou Daniel Guérin ; tous font partie des 69 intellectuels français qui, aux côtés de l’écrivain Gabriel Matzneff et du romancier, journaliste à Libération et membre fondateur du Front homosexuel d’action révolutionnaire (FHAR) Guy Hocquenghem ont signé une tribune publiée le 26 janvier 1977. D’abord dans Le Monde puis dans Libération pour défendre trois hommes incarcérés depuis plus de trois ans pour avoir abusé sexuellement de mineurs de moins de 15 ans. »
Vu qu’on est dans la glauquerie de la pédogauche caviar, autant écouter les émissions d’époques retrouvées par France Culture. D’abord Dialogues en 1978 avec Foucault, Hocquenghem et Danet, puis un sujet sur « Tony Duvert, le dernier maudit », l’écrivain pédocriminel qui se vante d’avoir violé près de 3000 garçons de 8 à 14 ans.
France Culture a même osé remettre la vidéo du pédophile Daniel Cohn-Bendit qui, curieusement, a toujours ses entrées sur le service public audiovisuel où il peut, à chaque élection, donner son point de vue socialo-sioniste. C’est à n’y rien comprendre : qui le protège ? Seul le « journaliste Gilet jaune » Marc Rylewski, dont le compte YouTube a été fermé (il y asticotait de nombreuses stars hypocrites) a pu confronter l’homme politique avec son passé pédophile :
Gabriel Matzneff ne semble pas bénéficier des mêmes protections, et en plus il assume !
Pour clore – momentanément – ce chapitre dérangeant, sachez que CheckNews a aussi répondu à la question suivante en novembre 2017 :
Le début (et résumé prudent) de la réponse est là :
À notre connaissance, il n’existe pas à proprement parler d’accusation de pédophilie contre Pierre Bergé. L’homme d’affaire, décédé en septembre dernier, a été cité ces dernières années à deux reprises dans des affaires de pédophilie mais indirectement : comme propriétaire d’une villa à Marrakech où se seraient déroulés des actes de pédophilie (ne lui étant pas imputés).
Tous ces papiers pour expliquer ce passé qui ne passe pas, et cette « une » sur Joe Biden, tout ça parce qu’il faut être contre Trump… On sent que dans 40 ans, et peut-être moins, Libé va encore devoir se justifier sur cette photo estampillée « go Biden » ! Si le journal existe encore, ce qui est loin d’être certain…
L’enfance abusée
Un documentaire du magazine de France 2 Infrarouge, diffusé en novembre 2018 :
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation