

1 Abdu Barakat a tout perdu lors de l’explosion à Beyrouth la semaine dernière, mais « grâce à Dieu », ses enfants et sa conjointe s’en sont sortis indemnes, explique-t-il, les mains tremblantes. Lorsque ses fils entendent le moindre claquement, ils se jettent dans ses bras, traumatisés. Renaud Philippe Le Devoir