La vidéo date de 2012 mais elle est d’une actualité brûlante. Aujourd’hui, aux États-Unis, la guerre médiatique fait rage entre les éléments manipulés de la communauté noire (jeunes, féministes, terroristes antifas et racailles réunis) et le peuple américain, qui inclut évidemment les Blancs, les Noirs et les Latinos, pacifiques et travailleurs. Une sorte de guerre organisée par le pouvoir profond, qui donne ses instructions au Parti démocrate, entre parasites sociaux et travailleurs utiles à l’édification du pays.
L’ingénierie des démocrates, qui ne sont que la vitrine acceptable du pouvoir profond sioniste, est de déstabiliser Trump en lui faisant envoyer la troupe et, le cas échéant, tirer dans la foule. Car Trump ne doit pas gagner les prochaines élections. Il y a fort à parier, d’ici-là, que les provocations anti-Trump vont se multiplier. C’est peut-être pour cela que le Président, qui sait pourquoi les Kennedy ont été abattus, s’est mis au vert provisoirement. La question est : peut-il faire confiance à son équipe de sécurité rapprochée ?
Jamais président américain n’a été autant menacé par le lobby sioniste local. Les journaux de la côte Est, New York Times en tête, se déchaînent, donnant le la à toute une cohorte de suiveurs, dont Le Monde en France. Trump est devenu l’homme à abattre. Et pourquoi ? Parce qu’il défend le peuple américain, le peuple travailleur, entrepreneur et irréductible qui n’aime pas qu’on lui dicte sa loi. Que le lobby sioniste lui dicte sa propre loi. Car la paire Biden-Haaris, c’est la construction fragile que les démocrates ont trouvée pour faire opposition au populisme de Trump, qui n’est même pas un vrai républicain, et c’est heureux pour lui.
La force de Trump, c’est la paire Biden-Haaris, totalement alignée sur les desiderata et les intérêts du pouvoir profond, comme Hillary Clinton en son temps. Lui incarne l’Amérique historique et l’unité de son pays, alors que la paire hybride d’en face (la sioniste noire Haaris a démoli le pédophile raciste Biden lors des primaires démocrates) n’incarne qu’un agglomérat de minorités agressives dressées contre le peuple américain et destinées à le fracturer.
Quand Noam Chomsky, la figure morale de l’Amérique, l’homme qui incarne depuis 70 ans la gauche américaine opposée au pouvoir visible mais jamais profond, puisque le pouvoir profond US est constitué de néocons sionistes de droite !, traite Trump de « pire criminel de l’histoire humaine », le linguiste ne déraille pas, il exprime toute la haine du pouvoir profond qui se sert de la gauche trotskiste pour abattre l’homme qui représente un grain de sable dans la dictature sioniste en marche.
Chez nous, cette dictature est plus avancée car le pouvoir visible n’est pas populiste, donc pas résistant au noyautage, loin de là : Macron, s’il joue au populiste en s’adressant directement aux Français sans passer par les médias, ou en utilisant des expressions comme « État profond », est un employé servile de la Banque, celle qui tient les régimes néolibéraux successifs dans sa main. Les libertés reculent à une vitesse inouïe dans notre pays, un Trump français ne doit pas arriver au pouvoir en 2022, c’est pourquoi Zemmour, flanqué de son écuyer de gauche (Onfray), sont mis en avant par le Système. Mais ils n’ont de populistes (et donc de patriotes) que le nom, puisqu’ils servent la soupe sioniste au final.
La France, si l’Amérique bascule une seconde fois dans le populisme avec une victoire de Trump, constituera le dernier refuge confortable du sionisme mondial, hormis l’entité israélienne, bien entendu. C’est pourquoi, chez nous, la chasse aux dissidents, aux vrais (pas le clown Conversano et compagnie), est ouverte avec la nomination d’un antifrançais dur à la Justice, le pénaliste qui préfère objectivement les racailles au peuple français.
La France est en train de devenir, après l’Amérique, la mère de toutes les batailles sionistes. Ou antisionistes. Au fait, qu’est-ce que le pouvoir profond reproche à l’Amérique de Trump ? L’Amérique de Trump n’est pas antisémite, mais elle n’est sûrement pas sioniste : elle est américaine. Cela suffit à en faire un ennemi irréductible.
Aux États-Unis, la liberté d’expression est protégée par la Constitution. Pas chez nous.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation