C’est Dale Carnegie (membre de l’ »élite ») qui disait qu’une croyance est ce qu’il y a de plus dur à modifier chez les gens.
D’où la méthode préférée de nos ennemis dans l’Histoire qui est d’employer le choc, l’effroi… pour recadrer l’opinion.
En moindre mesure, si Soral utilise la provoc c’est pas pour choquer, mais pour réveiller, c’est ce que n’ont pas compris la plupart (pas ici) qui, choquée, réagit à des termes qui ne leur plaît pas, au lieu d’en prendre conscience… comme Cassen, etc.
Pour ce qui est de la compassion, c’est gentil… mais n’oubliez pas que le Christ s’est aussi énervé contre le Temple.
Contre l’Ennemi : la saine colère ; vis-à-vis de son entourage, d’abord l’empathie.
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Pour ce qui est du ’complotisme’ : complotiste n’est pas comploteur – il suffit parfois de changer de terme pour semer une graine de lucidité chez son interlocuteur…
Et le terme ’complotisme’ étant un mot novlangue se rattachant à l’idéologie dominante, de la part de l’Ennemi, on peut dire que le complotisme ’lutte contre les complots’, et donc que le ’complotiste’ est celui qui dénonce les complots, non celui qui les crée !
Inversion accusatoire en somme.
Par résolution dialectique, on vérifie ainsi que les termes employés par l’Ennemi sont (toujours) l’exact inverse de la réalité et du sens même des mots employés, d’où la cacophonie, et d’où l’importance, pour répondre, de savoir de quoi on parle !
Les femmes sont les plus fortes pour nous mettre en déroute et les plus difficiles à convaincre – car les plus émotives.
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