
Les explosions successives survenues à Beyrouth mardi suscitent partout dans le monde, y compris au Québec, une profonde réflexion quant à l’utilisation du nitrate d’ammonium et des matières dangereuses. Dans la province, un constat se dégage d’emblée : le risque d’accidents existera toujours, mais il y est bien moindre qu’ailleurs.