Généticienne et ancienne directrice de recherche à l’Inserm, Alexandra Henrion-Caude évoque dans cette interview les origines du virus, l’utilité des masques et du confinement, le vaccin et les conflits d’intérêts qui musèlent les “élites intellectuelles mondiales”. Extraits et vidéo.
“C’est quoi être en bonne santé ? Nous avons quand nous sommes en bonne santé la capacité de faire face à à peu près tous virus, bactéries, pathogènes ; Nous avons le système de défense qui nous a été donné pour le combattre.”
“Le système immunitaire c’est finalement un capital santé qui nous est propre, et qu’il faut entretenir en faisant du sport, en évitant d’être confinés pendant 2 mois, en ayant une bonne aération, une bonne oxygénation, c’est-à-dire en évitant de mettre des masques, en ayant une bonne alimentation c’est à dire en ayant la liberté de sortir acheter tout ce dont on a besoin là où il le faut pour avoir la diversité alimentaire qu’il nous faut…” […]
“Sur cette gestion de crise, je ne comprends pas pourquoi on en fait autant […] on peut raisonnablement se mettre à douter du mot même de pandémie quand on voit que finalement au niveau mondial, à mois équivalent sur les autres années, nous n’avons pas assisté à la surmortalité qui est attendue pour une pandémie.”
« Si avant cet épisode de folie collective qui nous mène dans le mur […] je vous avais dit prenez un mouchoir […] crachez deux trois fois sur votre mouchoir et maintenant vous le gardez pendant deux trois heures sur votre nez ! […] Vous ne l’auriez pas fait, par votre bon sens.”
“c’est une aberration que de développer dans une urgence absolue un vaccin contre un virus en moins de 6 mois […] sans être certain de ne connaître aucun des effets secondaires […] (alors) On va tester sur des populations […] et donc l’horreur de l’horreur de l’horreur fait que l’on a choisi arbitrairement l’Afrique du Sud pour mettre en place une vaccination de force […]. Ils sont véritablement utilisés comme des cobayes.”
“[Je suis] Abasourdie par le fait que notre élite intellectuelle mondiale ait osé si peu parler, mais je l’ai compris car des collègues d’une qualité exceptionnelle étaient muselés par le fait qu’ils avaient des conflits d’intérêt avec des laboratoires pharmaceutiques…”
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