L’annonce de l’interpellation d’Alain Soral et de sa mise en garde à vue devrait scandaliser tout le camp national.
Qu’importe, en ces circonstances, les reproches qui peuvent lui être faits concernant certains de ses propos, ses méthodes ou son mode de vie. C’est l’acte de persécution politique mené par la république maçonnique qui doit retenir notre attention.
Alain Soral est persécuté pour des idées et pour des mots. Il faut le souligner au moment où, par ailleurs, la république se paye le luxe de se désigner comme ministre de l’Intérieur un homme accusé de viol.
Alain Soral est placé en garde à vue pour « provocation publique, non suivie d’effet, à la commission d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ». Les propos qui lui sont reprochés n’ont pourtant aucune mesure avec ceux du rappeur Nick Conrad qui éructe « Je tue des bébés blancs, pendez leurs parents » et appelle à « brûler la France ». Et il n’y a aucune garde à vue quand Assa Traoré lance : « En Afrique, ils vont renverser le président, ils rentrent dans le palais. Ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça ne devrait pas se passer comme ça en France ? Nous sommes prêts, nous pouvons faire une belle révolution ».
L’interpellation d’Alain Soral ne peut donc nous laisser indifférents.
La persécution politique menée par la république maçonnique vise d’ailleurs le camp national dans toute sa diversité. Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, et l’écrivain Hervé Ryssen sont également menacés de prison pour leurs écrits. Les jeunes militants identitaires – comme la jeune Thaïs d’Escufon et d’autres qui ont déployé une banderole contre le racisme anti-Blancs du haut du toit d’un immeuble parisien sous les huées d’une marée multiculturelle qui a pour idole un violeur noir homosexuel – sont fréquemment placés en garde à vue et envoyés devant les tribunaux. L’abbé Beauvais avait été condamné à une amende pour un slogan contre Taubira qui rimait avec Banania, célèbre boisson illustrée autrefois par un tirailleur africain de l’armée coloniale. Des mouvements comme le Bastion Social et les Jeunesses Nationalistes ont été dissous par ordre de tribunaux. Les Gilets jaunes ont été à plusieurs reprises violemment réprimés, comme avant eux les manifestants de la Manif pour Tous, tandis que les manifestations de casseurs et pillards multiculturels et d’extrême gauche bénéficient d’une mansuétude des préfectures.
Le constat saute aux yeux : la persécution politique se fait à l’encontre de tous ceux qui aiment réellement la France et veulent agir pour la défendre. C’est la preuve que c’est l’anti-France qui nous gouverne.
Et pendant ce temps, les Français de souche sont de plus en plus nombreux à être sauvagement agressés et humiliés. La criminalité se développe partout. Sans que la justice ni la police ne viennent l’affronter. Comme le commande la république maçonnique, la justice et la police réservent l’usage de leur sévérité implacable et de leur arsenal répressif contre les Nationaux. C’est insupportable, c’est inacceptable. Il faut le clamer.
Alain Escada, président de CIVITAS
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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation