

Quand on analyse la communication du gouvernement et des médias sur le virus, on se rend compte que rien n’a été laissé au hasard dans le but de créer un état de sidération au sein de la population.
On se retrouve clairement avec un 2ème 11/09, où des stratégies très précises ont été mises en oeuvre pour terrifier la population et lui faire perdre ses capacités de défense, de réaction et de raisonnement, détail de ces stratégies :
1. Création d’un choc, d’une menace vitale :
Le virus a été en permanence présenté par les médias comme un virus mortel (actualisation quotidienne du nombre de « cas », de morts, mise en avant de scènes tragiques, dramatiques, surexposition des conditions de décès), alors que dans un souci d’objectivité, il aurait aussi fallu montrer le parcours des personnes testées positives, qui ont été soignées et ont guéries, et s’intéresser de très près à leur cas et aux conditions de leur guérison, voire aussi les compter
2. Absence d’espoir et de solution :
Débats contradictoires dans les médias ne menant volontairement à aucun consensus, qui a eu pour effet d’entretenir la peur, le flou et l’incompréhension au sein de la population, avec, en arrière fond, interdiction de la chloroquine, absence de tests et disparition des masques, présentés à la fois comme inutiles et indispensables, alors qu’aucune étude de fond n’a été mise en avant pour prouver leur efficacité réelle ou leurs dangerosité éventuelle
3. Absence de guides fiables :
Un gouvernement annonçant volontairement tout et son contraire, se contredisant en permanence, feignant l’ignorance et l’impuissance, livrant ainsi la population à elle-même, à l’inconnu, au doute, à l’incertitude et au désarroi, avec déploiement d’experts corrompus et d’études achetées, dont les conflits d’intérêt ont été révélés par la presse dans le but de maintenir un lien de confiance envers les médias et de faire passer le message aux français que même leur propre médecine ne pouvait rien pour eux
4. Entretien de la menace :
Etat de guerre, surveillance, confinement, gel de l’économie, retrait des enfants de l’école, traque, répression et amendes ont permis de créer une situation hors normes et terrifiante, qui a incité les français à penser que si l’Etat prenait toutes ces mesures, c’est qu’il devait quand même se passait quelque chose de grave, alors que la seule mesure que la situation sanitaire exigeait de lui en priorité était le retrait de la chloroquine des substances vénéneuses
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