http://mai68.org/spip2/spip.php?article6497
Bonjour à toutes et à tous,
Pour nous faire peur, le pouvoir nous menace d’une deuxième vague. Mais, s’il avait dû y avoir une deuxième vague, elle aurait déjà eu lieu. En effet, lors de la fête de la musique, en France, le 21 juin 2020, des dizaines de milliers de personnes se sont réunies dans toutes les grandes villes sans respecter aucun « geste barrière », et aucune d’entre elles n’avaient de masque. Elles ont fait la fête toute la nuit, dansé ensemble les unes contre les autres en s’embrassant et se serrant la main normalement sans penser au coronavirus. Et elles ont bien eu raison ; car, depuis le 21 juin, il s’est écoulé 19 jours, soit bien plus qu’une « quatorzaine ». La deuxième vague n’a pourtant pas eu lieu.
La deuxième vague risque d’autant moins d’avoir lieu que, cette fois-ci, « ils » veulent la faire partir de Mayenne ; alors qu’elle aurait dû partir de Paris, de Lyon et de Marseille qui sont les plus grandes villes de France, où les rassemblements sans aucune précaution ont été les plus massifs lors de la fête de la musique.
Le pouvoir nous fait chier avec ses « gestes barrières » à la con qu’il ne respecte même pas lui-même :
http://mai68.org/spip2/spip.php?article6491
De toutes façons, ce coronavirus n’est pas plus dangereux que la grippe. Si, le 20 avril 2020, l’institut Pasteur lui attribue un taux de létalité de 0,53% :
https://hal-pasteur.archives-ouvertes.fr/pasteur-02548181
Le même institut attribue à la grippe un taux de létalité de 0,3%.
Cependant, en testant plus de monde, on se rend compte qu’il y a beaucoup plus de porteurs sains qu’on pouvait l’imaginer et que le taux de létalité de ce coronavirus est encore plus faible que ce que disait l’institut Pasteur.
Ainsi, dans une étude plus récente, Le Pr. Ioannidis, de Stanford Univ., lui, conclut à 0,25% :
http://mai68.org/spip2/spip.php?article6494
Ce coronavirus se nomme SARS-CoV2, et la maladie qu’il peut parfois provoquer s’appelle le covid-19.
Le pouvoir fait volontairement la confusion entre le virus et la maladie de façon à entretenir ou recréer la grande peur.
Il ne faut pas confondre être porteur du SARS-CoV2 et être malade du Covid-19 ; car, quand on est colonisé par ce virus, on est rarement malade.
Il y a de plus en plus de gens qui se font tester ; donc, forcément on trouve de plus en plus de gens porteurs du SARS-CoV2. Et pourtant, il n’y a vraiment pas souvent de nouveaux malades du covid-19 hospitalisés. C’est par exemple le cas en Mayenne où on teste les gens massivement, où l’on nous dit que 300 cas de coronavirus a été trouvés, mais où on ne dit pas qu’il a fallu hospitaliser qui que ce soit. Mais, en faisant la confusion entre le virus et la maladie, le pouvoir veut qu’on imagine qu’il y a 300 nouveaux malades en Mayenne.
En plus de cela, il est évident que le coronavirus évolue ; c’est-à-dire que sa séquence d’ARN change un peu de temps en temps. Il est bien clair que si une variante du coronavirus est très dangereuse, très mortelle, elle a tendance à disparaitre en même temps que ses hôtes au fur et à mesure qu’elle les colonise et les tue. Par conséquent, la sélection naturelle favorise les variantes les moins dangereuses du virus :
http://mai68.org/spip2/spip.php?article6418
Conclusion : contrairement à ce que voudrait le pouvoir, il ne faut pas avoir peur et vivre normalement. Et si le pouvoir veut nous emmerder trop, les Français pourraient bien suivre l’exemple de Belgrade qui a été pendant deux nuits consécutives le théâtre de violents heurts entre la police et des manifestants protestant contre la réintroduction d’un couvre-feu intégral. Le gouvernement y a finalement renoncé :
http://mai68.org/spip2/spip.php?article6496
Bien à vous,
do
10 juillet 2020
http://mai68.org/spip2
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Source: Lire l'article complet de Les 7 du Québec