Campagne de dons – Juin 2020
Chers amis lecteurs, Au début de cette année, nous écrivions que 2020 serait une année de bouleversements à l’échelle mondiale. Elle a pleinement tenu ses promesses, et ce n’est apparemment que le début de quelque chose de plus grandiose encore, et dont la principale caractéristique est une tentative de prise de contrôle total de l’information. C’est même l’essence de toutes les guerres livrées contre les peuples depuis quelques décennies. Plus que jamais, il est nécessaire que des sites comme le nôtre se multiplient pour contrer toutes les tentatives de monopoliser l’information à des fins de manipulation. Grâce à votre fidélité, vos encouragements et votre aide, nous avons réussi à surmonter toutes les pressions et contourner les divers obstacles destinés à nous faire disparaitre ou à nous intimider. Nous comptons à nouveau sur vous pour nous aider dans notre combat, et nous permettre de continuer à vous fournir un travail de qualité et une vision juste et équilibrée du monde. Merci pour votre soutien. Avic
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par Dominique Delawarde.
Question : La France profonde a-t-elle vraiment été submergée par « une vague verte » comme nous l’ont seriné les médias ?
Réponse: Ce n’est pas ce que me dit ma recherche scientifique, donc randomisée et en double aveugle….. (humour….)
La démonstration est simple : Il y a 47,7 millions d’électeurs inscrits en France.
Seuls 16 millions d’entre eux étaient appelé aux urnes le 28 juin. Sur ces 16 millions, la participation a été de 41,6%.
C’est donc 6,656 millions d’électeurs qui ont glissé un bulletin dans l’urne.
Plus de 200 000 de ces bulletins (de 3 à 6% selon les communes) ont été blancs ou nuls.
Il y a donc eu 6,45 millions d’électeurs de villes moyennes ou grandes qui se sont exprimés le 28 juin en faveur d’une liste ou d’une autre au 2ème tour des municipales.
Sur 47,7 millions d’électeurs, cela fait 13,5% des électeurs inscrits qui se sont répartis entre tous les grands partis.
Même en comptant très large, les écologistes, qui se présentaient, le plus souvent, en coalition avec la gauche et/ou l’extrême gauche, n’ont pas réunis sur leurs listes 30% de l’électorat qui s’est exprimé le 28 juin soit moins de 2 millions d’électeurs au grand maximum.
Pour remporter une grande ville, il faut très peu de voix :
Exemples ? Strasbourg 21 500 voix ont suffit. À Lille, les écolo, battus de justesse, auraient pu remporter la ville avec seulement 15 400 voix (il leur en a manqué 200). À Bordeaux, les verts ont gagné la ville avec 26 500 voix. À Marseille, on est vainqueur avec 66 000 voix. À Lyon, 53 000 voix ont suffi pour gagner. À Paris,on gagne largement avec 223 000 voix. On peut gagner à Tours avec 14 000 voix, Grenoble avec 16 000 voix, Besançon avec 11 000 voix.
Le 28 juin, un parti, quel qu’il soit, aurait donc pu gagner Paris, Lyon, Marseille, Strasbourg, Bordeaux, Lille, Tours, Grenoble, Besançon avec…… 450 000 voix. Eh oui, c’est incroyable, mais c’est vrai. Alors, tout ça est peut être spectaculaire et peut donner du grain à moudre à nos médias, mais que représentent 450 000 voix sur les 47,7 millions d’inscrits ? moins de 1%. Ce n’est pas un tsunami à l’échelle du pays, c’est, tout au plus, une vaguelette…
Parler de vague verte alors que beaucoup moins de 2 millions d’électeurs ont voté « écolo » sur 16 millions d’électeurs appelés aux urnes (sur 47,7 millions d’inscrits) me paraît donc très excessif……
Wait and See.
Source: Lire l'article complet de Réseau International