On ne peut pas comparer David Duke et Dieudonné. David Duke est un membre en règle du KKK, une organisation pseudo-écossaise, vraie juive kabbalistique qui ne fait pas que préconiser le racisme anti-noir et propager l’idée que le sudisme était une noble cause perdue (faux : la cause est ignoble et gagnante), mais entretient aussi des antisémites de profession (noirs islamistes comme blancs pseudo-chrétiens) dont le but est de terroriser les juifs à resserrer leurs rangs autour de la cause israélienne.
Un des buts du KKK auquel David Duke semble concourrir le plus pleinement est d’occulter le fait qu’avant la guerre de Sécession il y avait une élite juive aussi nombreuse en pourcentage et puissante en trafic d’influence qu’aujourd’hui aux USA, que c’était une élite sépharade (d’où l’erreur monumentale d’utiliser systématiquement le terme de khazar pour tenter de la délégitimer) presque entièrement concentrée dans les états sudistes esclavagistes, le long de la côte Sud-Est et à la Nouvelle Orléans qui a failli pour cette raison devenir la métropole américaine à la place de NYC. L’urgence pour le pouvoir judaïque américain est d’occulter ce fait avec une énergie du désespoir, de faire accroire aux antisémites eux-mêmes que les juifs ont commencé à essaimer aux USA seulement avec l’immigration d’Europe centrale des années 1880 et qu’elle était de gauche ou à la rigueur de centre-droit humaniste avant de virer neo-con.
Cette élite juive sépharade d’origine, la plus anciennement établie aux USA, fut toujours le fer de lance de la déshumanisation des Noirs et de la mise au point des doctrines racistes (les autres blancs y ont peu participé), c’est elle qui a réussi le tour de force de convertir les anciens juifs de gauche plus ou moins troskyste à la cause neo-con en se servant du chantage à la délinquance noire instrumentalisée. Le KKK est un groupe de magie rituelle strictement soumis aux lois de la kabbale hébraïque, et dont Albert Pike donne la description la plus exacte dans ses oeuvres. David Duke est payé pour jouer son rôle d’antisémite de service et faire accroire que le bon racisme anti-noir est une saine réaction blanche, et qu’une invasion juive gauchiste vint briser le rêve américain, alors que toute l’entreprise étasunienne fut suprémaciste juive de droite en partant.
Dieudonné c’est exactement l’opposé. C’est un noir qui dénonce le fait hyper-réel que le capital juif s’investissait tout particulièrement dans le commerce triangulaire.
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