Le maire d’une certaine ville du Québec a fait passer durant son mandat un règlement de sélection d’embauche pro-ethnique et anti-québécois de souche pour le personnel de la municipalité. Même qu’il a l’impudence de s’en vanter.
Le pire, c’est que ce beau parleur ait pu faire adopter ce règlement comme du beurre dans la poêle en exerçant toute la pression voulue pour y arriver au nom de la sacro-sainte bien-pensance. Ô scandale!
Pour mémoire, l’utilisation de la « discrimination positive » consiste à accorder la préférence d’embauche à des minorités visibles, raciales, ethniques, voire religieuses, comme principal critère de sélection, passant avant même les qualifications, compétences et expérience de travail.
Devant des candidats québécois ayant de meilleures qualifications, compétences et expérience de travail, on leur préférera le postulant issu de l’immigration tiers-mondiste sous-developpée. Quelle injustice flagrante envers les nôtres!
On comprend que c’est un non-sens total qui ne peut qu’abaisser la qualité des services rendus et du rendement au travail. C’est ce qui s’appelle une fausse bonne idée, une idée trompeuse, comme l’est par exemple également l’exigence de la parité qui voudrait rendre caduc l’obtention d’un emploi par le mérite.
Et pour nous faire avaler le morceau coriace sous la dent, notre apologue servile du politiquement correct prétend que c’est dans le but de venir en aide à ceux qui éprouvent de la difficulté à dénicher un emploi. C’est un tout plein de bons sentiments, un beau geste humanitaire d’entraide universelle, quoi. Personne n’est contre la vertu, n’est-ce pas?
En fait, oui, lorsque ceux qui écopent sont les Québécois de naissance, qu’on prive expressément des emplois qui leur reviennent tout naturellement.
Donc, pas question de traitement préférentiel des immigrés à nos dépens.
Il faut rectifier cette orientation malsaine et contreproductive qui lèse la population native.
Plaçons les éléments dans l’ordre pour mieux comprendre la bonne marche à suivre:
1- Tout emploi au Québec doit être attribué à des Québécois de naissance et de souche en premier lieu. Cela nous revient de droit. On est chez nous, on est d’ici. Les emplois sont pour nous d’abord.
2- Les étrangers du tiers-monde ne doivent être acceptés ici que temporairement et uniquement pour combler les manques, en attendant qu’un vrai Québécois devienne disponible pour occuper le même poste. Si cet étranger se plaint d’être un intérimaire, un surnuméraire, un temporaire, voire un bouche-trou, c’est un point de vue comme un autre. Qu’il accepte pourquoi il a été accepté. On ne lui doit strictement rien après tout. Et qu’il s’estime chanceux qu’on lui offre ces contrats d’une durée limitée plutôt que rien du tout.
3- Pour respecter une approche nationaliste d’embauche équitable, il convient lorsque nécessaire d’accorder tout emploi à un étranger sous forme de contrat de 6 mois ou d’un an. À ce terme, l’emploi se voit de nouveau offert à tout Québécois intéressé, qui le remplace aussitôt que possible.
4- Tout emploi dans le système public (provincial, municipal) et les sociétés d’état (SAQ, Hydro-Québec) devrait n’être accordé qu’à des Québécois de souche. C’est notre prérogative, notre privilège, notre droit de naissance. Nous ne devons à aucun prix perdre peu à peu le contrôle de nos institutions au profit de mentalités étrangères dont les intérêts et priorités diffèrent beaucoup trop des nôtres.
5- Il est inacceptable qu’un seul emploi nous soit volé par des étrangers. Les travailleurs québécois passent avant eux dans tous les cas sans exception.
6- Dès son arrivée, l’immigré doit accepter tout emploi où il y a une pénurie à combler, peu importe ses qualifications et diplômes. Qu’il soit conscient qu’on lui accorde une faveur insigne en l’acceptant au pays, et qu’en échange il doit répondre à nos nécessités. Si on a besoin de préposés aux bénéficiaires, de personnel hôtelier, de cueilleurs aux champs, de travailleurs de nuit, c’est ce qu’il fera. C’est cela ou le retour immédiat d’où il vient.
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Ce même maire dont l’obsession pro-ethnique ne fléchit jamais, en rajoutait en déclarant tout récemment vouloir laisser infiltrer les corps policiers de sa ville par des minorités raciales et même musulmanes. Quel aveuglement volontaire aberrant! On croirait pratiquement entendre le caquetage d’un Justin Trudeau, propagandiste avoué de l’idéologie post-nationaliste visant l’oblitération accélérée de notre identité collective canadienne-française.
Cela tombe sous le sens que la population québécoise doit être protégée par les nôtres, et non pas par des individus venus d’ailleurs qui resteront toujours biaisés envers les leurs, quoi qu’ils en disent. Et c’est sans parler des frictions et malaises que cette mixité forcée entraîne dans le corps policier même, nuisant au bon fonctionnement et à l’efficacité de son travail.
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En conclusion, il importe que les divers paliers de gouvernement qui nous représentent gardent toujours à l’esprit qu’ils ont le devoir de favoriser prioritairement le peuple historique majoritaire qu’il représente et qui le fait élire. C’est une simple question de respect.
Le règlement de la sélection d’embauche par favoritisme ethnique doit être aboli sans délai partout où il a été adopté à mauvais escient.
Qu’on vise plutôt l’excellence, le professionnalisme, la qualité, pas les listes de quotas ethniques ou raciaux.
Ne laissons pas le Québec s’éparpiller, s’écailler, aux mains des autres.
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