Mémoire
Pour la suite, Frédéric Bastien
Bernard Landry, c’était le mien! Une station du REM à Montréal va porter son nom. Disons lui merci. Comme québécois et ou péquistes et indépendantistes, NOUS LUI DEVONS DE CHOISIR LE BON CHEFdans la course au Parti Québécois. Il faut continuer son combat pour le pays Québec. Indépendantiste convaincu, militant infatigable, versé en économie, éloquent au français impeccable. Éternel numéro deux. Je voulais qu’il succède à René Lévesque, faute d’appuis, il s’est retiré et j’ai appuyé Jean Garon. Il s’est enfin imposé pour succéder à Lucien Bouchard, il avait passé son tour pour laisser la place à Parizeau.
Sa démission, après le vote de confiance, mais qui l’a mal conseillé?! Il aurait du prendre un peu de recul avant de trancher, a été un coup de tête et un désastre! Mario Dumont n’aurait pas aussi bien performé, à l’élection suivante, face à Landry et le PQ aurait peut-être repris le pouvoir. J’ai appuyé Pauline Marois, mais c’était un second choix. Boisclair a été élu, que dire de plus. J’ai été surpris, mais à moitié seulement, parce qu’on a appris sur lui. Un ministre qui consomme de la coke, incapable de se maitriser et qui pète les plombs face aux journalistes. Il avait des qualités, mais ne se qualifiait pas comme chef. C’était une catastrophe annoncée. C’est pourquoi cette fois-ci, le PQ NE PEUT PAS SE PERMETTRE DE FAIRE LE MAUVAIS CHOIX! Frédéric Bastien est mon choix, il est dans la continuité de ce combat, batailleur obstiné qu’il est.
Pierre Boucher
Québec
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