Cet aspect pourrait signaler une diminution à même de nous plonger dans des conditions de type Maunder Minimum.
« Le récent minimum solaire prolongé et le faible cycle solaire 24 qui s’en est suivi ont conduit à penser que le grand maximum solaire pourrait être sur le point de se terminer », indiquait cette étude publiée le 23 juin 2015 surNature, qui examinait les variations passées de l’activité solaire. En 2010, toujours selon l’étude, les scientifiques avaient estimé à seulement 8 % la probabilité d’un retour à des conditions similaires au minimum de Maunder dans les 40 prochaines années.
Cependant,
« le déclin de l’activité solaire s’est poursuivi, et au moment où nous écrivons ces lignes, il est plus rapide que tout autre déclin de ce type en 9 300 ans »
Et,
« Si l’on ajoute à l’analyse ce taux de déclin récent, l’estimation de la probabilité de 8 % est maintenant portée à un taux compris entre 15 et 20 %. »
Je pense que les probabilités sont bien plus élevées que cela.
Le document souligne que :
« de nombreuses études ont identifié des liens entre le climat passé et la variabilité solaire[42], [43]. »
[…]
« Pendant le minimum de Maunder (1645-1715), très peu de taches solaires ont été observées malgré des observations régulières[44]. »
[…]
« De nombreuses études ont identifié des liens entre le climat passé et la variabilité solaire. »[42], [43]
[…]
« Pendant le minimum de Maunder (1645-1715), très peu de taches solaires ont été observées malgré des observations régulières[44]. »
Les scientifiques sont d’accord pour dire que :
« le minimum de Maunder a coïncidé avec des hivers plus rigoureux au Royaume-Uni et en Europe continentale.
[…]
« Sur des périodes plus longues, un grand minimum d’activité solaire comme celui du Minimum Homérique, il y a environ 2 750 à 2 550 ans, a affecté les conditions climatiques à travers toute l’Europe occidentale. »
Les auteurs prévoient une diminution progressive des conditions de vie pour atteindre des conditions proches de celles du minimum de Maunder, qui durera de quelques décennies à plus de 100 ans.
Malheureusement, ils avaient à l’époque embrassé l’idée du Grand Dieu du réchauffement climatique, en disant qu’une fois que le grand minimum solaire aurait pris fin, le réchauffement climatique se poursuivrait.
Bien entendu, ils ont formulé leur avertissement en termes plus scientifiques :
« Un minimum solaire aussi prolongé ne ferait pas grand-chose pour compenser ou retarder de manière substantielle le réchauffement dû à l’augmentation prévue des gaz à effet de serre persistants. »
Ben voyons…
Je me demande combien de survivants seront inquiets du réchauffement climatique après que des milliards de personnes seront mortes de faim ou auront été tuées dans des guerres déclenchées par une quête de nourriture et le besoin de terres arables.
Voir le document entier, intitulé « Regional climate impacts of a possible future grand solar minimum » [Les impacts climatiques régionaux d’un éventuel futur grand minimum solaire – NdT]
Source de l’article initialement publié en anglais le 19 juin 2017 : Ice Age Now
Traduction : Sott.net
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)