Je suis blanc, et ça ne me pose pas de problème. Je ne suis pas fier d’être blanc, parce que je n’ai rien fait pour. Il se trouve juste que je suis blanc parce que mes parents l’étaient. Je n’ai pas eu mon mot à dire. Je n’y suis pour rien.
En décembre 2019, des affiches portant le slogan « It’s OK to be white » (c’est pas grave d’être blanc) ont fait leur apparition à Perth (en Écosse). D’après la BBC, qu’on peut difficilement qualifier de source fiable, cela a donné lieu à des réactions du genre : « C’est révoltant et répugnant que des gens puissent raisonner ainsi ». Le gouvernement écossais était apparemment d’accord, en témoigne cette déclaration du député de Perth, John Swinney : « Nous devons nous unir pour résister à ces affiches inacceptables ».
En quoi sont-elles inacceptables ? Si on disait : « C’est pas grave d’être noir, basané, jaune ou peau-rouge », est-ce que ce serait inacceptable ? Peut-être, mais dans ce cas, pourquoi ? Qu’y a t-il de mal à accepter sa couleur de peau ? Notre propre ethnicité doit-elle nous rendre mal à l’aise ? En quoi la couleur de peau importe-t-elle, de toute façon ?
Pour moi, c’est OK d’être noir, c’est bien d’être basané, c’est super d’être jaune et c’est cool d’être « peau-rouge ». Dans les pays développés modernes, je considère qui quiconque se croit supérieur en vertu de sa couleur de peau s’est soit fait laver le cerveau, soit est un imbécile. Ce sont les cerveaux conditionnés et les imbéciles qui refusent à certains le droit à l’égalité des chances en raison de leur couleur de peau. Ils sont la cause des relents de racisme systémique (quelle que soit leur ethnicité). Heureusement, ce genre de personnes se font rares, mais elles n’ont pas disparu.
Des lois ont été votées pour empêcher les imbéciles de pratiquer la discrimination. Malheureusement, parmi les imbéciles qui la pratiquent encore, certains sont immensément riches, donc puissants. Ils ont les moyens de payer à prix d’or d’autres imbéciles pour qu’ils leur fassent gagner des procès. Ainsi la loi ne s’applique-t-elle pas aux imbéciles qui peuvent se payer le luxe d’ignorer la justice. Nous découvrirons bientôt qui sont ces gens.
Le privilège blanc, encore et toujours
On parle beaucoup de privilège blanc ces temps-ci. Certes, si vous êtes blanc dans une société qui favorise en apparence les Blancs, en théorie, un tel avantage devrait être visible. Pourtant, ça ne semble pas être le cas – du moins en ce qui concerne le Royaume-Uni.
L’évidence montre que la langue constitue un frein à la réussite scolaire ; or le deuxième plus gros obstacle n’est pas la couleur de peau, mais la classe socio-économique à laquelle on appartient. Le fait est qu’il n’existe aucun élément susceptible d’indiquer l’existence d’un quelconque privilège blanc.
En règle générale, c’est la pauvreté, et non la race, qui détermine vos chances de réussite au Royaume-Uni. Pour les sans-voix de race blanche vivant dans une société en majorité constituée de Blancs, ça a toujours été le cas. Ce sont les enfants blancs pauvres qu’on envoyait trimer dans les filatures, pas les rejetons de l’aristocratie. C’est la même chose pour les sans-voix noirs, basanés, jaunes et « rouges » qui vivent au Royaume-Uni.
Ça ne veut pas dire que certains patrons ne sont pas sectaires, ni que le système a été prompt à se débarrasser de ce genre d’individus. Toutefois, pour la personne pas ou peu qualifiée, dans une société majoritairement blanche, la couleur de peau ne semble pas changer grand-chose. Quand on regarde les statistiques sur le chômage, il est impossible d’identifier un quelconque privilège blanc. À moins qu’être au chômage soit un privilège.
Certaines différences commencent à émerger quand on gravit les échelons socio-économiques. Par exemple, les statistiques du gouvernement britannique montrent qu’en termes d’ethnicité, 21% des personnes noires et métisses se qualifient professionnellement, contre 20% des Blancs. En termes de nationalité, les statistiques sont plus tranchées : 31% des Indiens contre seulement 16% des Pakistanais et des Bengalis se qualifient professionnellement.
Là aussi, il est impossible d’identifier un prétendu privilège blanc d’après ces statistiques. Bien sûr, on part du principe qu’elles sont exactes. Elles nous viennent du gouvernement, après tout.
Certaines statistiques ressortent cependant. Pour résumer, en entreprise, tandis que 11% de « basanés », de Blancs et de Jaunes arrivent au sommet de la pyramide, seulement 6% de Noirs et 8% de métisses y parviennent. Même si, là encore, il n’y a pas de preuve indiquant un quelconque privilège blanc, il semble bien y avoir une certaine discrimination visant spécifiquement les Noirs. S’il faut chercher de la discrimination, c’est dans le monde des affaires qu’on la trouvera. Ce qui n’est pas surprenant, à mon avis.
Sous l’angle du racisme
J’admets que le racisme est réel ET que l’histoire de l’Empire et de l’esclavage peut être considérée comme raciste. Elle raconte globalement la subjugation d’un peuple par un autre. Il est raisonnable, bien qu’insatisfaisant, d’examiner ces entreprises de meurtres de masse et d’asservissement sous l’angle du racisme. Or comme nous allons le voir, cette interprétation manque de profondeur. Comme nous venons de le voir, pour ce qui est des sans-voix, le privilège blanc n’est pas aujourd’hui une réalité au Royaume-Uni.
Si l’on adopte la perspective racialiste, l’esclavage fut principalement orchestré par des Blancs puissants exploitant des sans-voix noirs. Il eut indubitablement une influence pernicieuse sur la société, et à l’époque, le racisme extrême n’était pas rare dans les cultures occidentales (entre autres). Cependant, bien que le racisme à tous les niveaux de la société fût endémique, les Blancs puissants n’avaient aucun scrupule à exploiter aussi les sans-voix blancs.
Des basanés et des Noirs puissants ont eux aussi vendu des sans-voix noirs en esclavage. Des Jaunes puissants ont généralement asservi des sans-voix jaunes, et des Blancs puissants ont acheté de la main d’œuvre jaune bon marché, exploitant la majorité des sans-voix jaunes, généralement pour enrichir des Blancs puissants et une toute petite minorité de Jaunes puissants.
Nombre de Noirs et de basanés sont également devenus puissants en exploitant d’autres Noirs et basanés, souvent pour le compte de Blancs puissants. Plutôt que de faire beaucoup d’argent sur le dos des « peaux-rouges », des Blancs puissants ont envoyé des sans-voix blancs les massacrer. En fait, des Blancs puissants ont envoyé des sans-voix blancs tuer énormément de sans-voix noirs, basanés, jaunes et rouges (qu’ils ont failli éradiquer complètement pour ces derniers).
Toutefois, à l’ère impériale, des Blancs puissants ont massacré des millions de sans-voix blancs, noirs, basanés, rouges et jaunes. Et puis, des Noirs et des basanés puissants tuaient fréquemment des sans-voix noirs, basanés, jaunes et blancs. Au cours des siècles passés, des Jaunes puissants ont surtout tué des sans-voix jaunes, même s’il y a environ 80 ans, ils ont aussi tué beaucoup de sans-voix blancs, jaunes et basanés. En remontant un peu plus loin dans le temps, des Jaunes puissants ont tué des millions de sans-voix jaunes, blancs et basanés.
À l’époque moderne, le tableau a changé, du moins c’est ce qu’on nous raconte. Dans nombre de pays développés, Blancs, Noirs, basanés et Jaunes vivent ensemble. Il est même illégal de tuer des « peaux-rouges », ce qui est une grande avancée. Bien sûr, les sans-voix blancs, noirs, basanés et jaunes ont toujours vécu ensemble, un peu partout sur la planète. La différence est qu’aujourd’hui, cette réalité séculaire est célébrée.
Cette célébration me semble déplacée. Si les puissants arrêtaient de tuer les sans-voix en masse, il y aurait peut-être matière à se réjouir. Mais ce n’est pas le cas, alors non merci.
Aujourd’hui, en cette nouvelle ère impériale, des Blancs, des Noirs et des basanés puissants sont apparemment très occupés à envoyer des sans-voix blancs, noirs, basanés et jaunes tuer des sans-voix basanés. En outre, ils entraînent, financent et arment des groupes de cinglés basanés, blancs et noirs, pour qu’ils massacrent d’autres sans-voix basanés et une minorité non négligeable de sans-voix blancs.
Encore plus au Sud, des puissants basanés, jaunes, blancs et noirs ont adopté une approche similaire, encourageant des sans-voix noirs à massacrer principalement d’autres sans-voix noirs. Ailleurs, des nations dirigées par des basanés puissants financent des cinglés noirs et des cinglés basanés (pour la plupart des sans-voix), pour qu’ils massacrent leurs congénères – des sans-voix, là aussi.
Dans la même veine, selon une perspective économique racialiste, tandis que de nombreux Noirs, basanés, Jaunes et ce qui reste de « peaux-rouges » ont globalement amélioré leurs conditions de vie et leurs opportunités économiques et sociales, nombre d’entre eux demeurent en bas de l’échelle économique. En termes de mobilité socio-économique, l’ère moderne n’a pas vraiment profité aux sans-voix blancs non plus.
Au cours de l’Histoire, des gens très puissants ont toujours empoisonné, affamé, déplacé, tué et exploité la majorité des sans-voix. La situation n’a pas changé.
Dans le passé, les sans-voix qu’on envoyait massacrer des basanés, des Noirs, des Jaunes, des « Peaux-rouges » et des Blancs n’avaient pas le choix. Quand eux-mêmes se faisaient tuer par d’autres sans-voix lorsque ceux-ci tentaient de se défendre, les puissants qui les avaient envoyés, et qui se fichaient bien de savoir qui allait s’en tirer, n’avaient qu’à en envoyer d’autres, et ceux-là n’avaient pas leur mot à dire.
Aujourd’hui, on n’oblige pas les gens à tuer, à l’exception d’une petite minorité conséquente. Au sein de ce groupe de sans-voix qu’on oblige à tuer, il y a de nombreux enfants, alors ce n’est vraiment pas leur faute. Toutefois, les agents économiques, sociaux, idéologiques et politiques qui obligent des adultes – et de pauvres enfants – à s’entretuer demeurent influents.
Heureux de perpétuer cet état de fait, les puissants continuent d’envoyer des sans-voix tuer d’autres sans-voix. Pour augmenter leur propre pouvoir. C’est pour cela qu’ils soutiennent et promeuvent les « influenceurs » économiques, sociaux, idéologiques et politiques.
Que les sans-voix d’aujourd’hui se sentent coupables de cette situation en raison de leur couleur de peau est l’un des désordres émotionnels les plus absurdes auxquels l’humanité ait jamais été en proie. La notion de culpabilité collective, surtout concernant les générations passées, est effectivement stupide. Même si, par contre, il serait justifié de se sentir coupable de laisser les puissants s’en tirer à si bon compte.
Un côté positif est que presque tout le monde sur la planète jouit d’un meilleur niveau de vie, d’une meilleure espérance de vie, de meilleures conditions d’hygiène, de l’accès à l’eau et à la nourriture. Pourtant, tout cela est relatif. Les inégalités n’ont cessé d’augmenter.
Les puissants aussi ont amélioré leurs niveaux de vie et leur espérance de vie, de façon exponentielle comparé au reste de la populace. En fait, ils sont désormais tellement éloignés du modèle économique, social et politique (qu’ils contrôlent entièrement) auxquels sont soumis les sans-voix qu’ils vivent pratiquement sur une autre planète.
Et considèrent le reste de l’humanité (toutes races confondues) comme appartenant carrément à une autre espèce.
Sous l’angle du Dollar
Tout ceci est l’œuvre des puissants, qui ont imprimé des millions de bouts de papier pour les distribuer aux sans-voix noirs, rouges, basanés, jaunes et blancs, pour qu’ils puissent acheter encore plus de choses afin de se construire un monde meilleur. Ce qui n’a fait qu’accroître le pouvoir des puissants, au point qu’acheter des nations entières est désormais à leur portée.
Pour les puissants, cette idée – qui date d’environ 250 ans – consistant à imprimer et à distribuer des bouts de papier à tout un tas de gens, puis de les convaincre qu’ils ont de la valeur, a eu certains avantages non négligeables. D’abord ça ne leur a rien coûté, ensuite ça a donné naissance au mythe selon lequel travailler dur pour les puissants serait une bonne chose pour les sans-voix jaunes, rouges, blancs, noirs et basanés. À mesure que les sans-voix accumulaient les bouts de papier, les forcer à travailler pour les puissants devenait inutile : ils le faisaient de leur plein gré.
En outre, les puissants n’avaient plus besoin de forcer les sans-voix à tuer leurs semblables. Ils n’avaient qu’à les convaincre qu’ils pourraient quitter leurs (relatifs) bidonvilles s’ils acceptaient de tuer. Certains sans-voix, ne voyant aucune autre opportunité dans la vie, ont sauté sur l’occasion et ont accepté de tuer sur ordre des puissants.
Il arrive que les puissants jugent nécessaire d’intensifier les massacres. Ils lancent alors des guerres majeures, forçant les sans-voix à se battre juste pour survivre. La victoire ou la défaite n’entrent pas en ligne de compte. Ils financent les deux camps et, quand la guerre est terminée, ils récoltent les dividendes. C’est comme ça que les multinationales, en particulier les banques, vivent du meurtre d’autrui.
Aujourd’hui, lorsque les tueurs sans-voix s’en sortent indemnes, ils profitent rarement de cet arrangement. Quand ils ne meurent pas, ils peuvent revenir amputés d’un ou plusieurs membres et s’ils reviennent en un seul morceau, il est probable que le traumatisme qu’ils ont subi détruise leur vie. Quand ils ont besoin de soutien, les seules personnes disposées à leur venir en aide sont d’autres sans-voix comme eux. Les puissants qui les ont envoyés tuer, se faire tuer, se faire mutiler et sombrer dans la folie se fichent bien de leur sort.
Certains sans-voix ont accumulé tellement de bouts de papier qu’ils ont été invités à entrer dans le club des puissants. Dès qu’ils possèdent suffisamment de bouts de papier, ils les vendent contre des choses qui ont une valeur réelle : terres, infrastructures, immeubles, entreprises, œuvres d’art, or et argent. Leur véritable richesse ainsi assurée, et voyant que les sans-voix croient encore que ces bouts de papier valent quelque chose, leur pouvoir ultime est celui d’en imprimer toujours plus.
Seuls les plus puissants ont ce pouvoir. Il est gratuit, pour ceux qui peuvent se le permettre. Grâce à lui, et parce que tout le monde a placé sa foi dans des bouts de papier, ils contrôlent la planète entière.
Il existe bien quelques pays où l’on ne permet pas aux puissants d’imprimer du papier et de s’accaparer tout le pouvoir. Ces pays sont constamment attaqués. Quand un pays décide d’imprimer ses propres bouts de papier sans en demander la permission aux puissants, ils sont démantelés sans pitié.
Le problème auquel sont aujourd’hui confrontés les sans-voix est que le Système de Ponzi est en essence défaillant. C’est un système de dette incontrôlable qui n’existe qu’en conséquence de la création de la dette. Il va bientôt s’effondrer, si bien que les puissants sont en train de concevoir un nouveau système de contrôle pour les sans-voix. Un système qui, au lieu de reposer sur des bouts de papier, reposera sur la monétisation de la nature.
L’avantage supplémentaire pour les puissants et que cela leur permettra de contrôler quelque chose dont les sans-voix ont véritablement besoin pour survivre. Contrairement aux bouts de papiers, qui leur sont inutiles.
Sous l’angle de la distraction
Les plus puissants ne veulent pas que le moindre sans-voix se rende compte qu’il ont asservi le monde entier grâce à cette vaste escroquerie. Or quelques sans-voix ont découvert le pot aux roses. Les pluissants ordonnent alors à une poignée de sans-voix serviles de dire à tous les autres sans-voix que ceux qui ont deviné leurs machinations sont tous cinglés. Apparemment, ça marche.
Les puissants doivent s’assurer que le moins de sans-voix possibles devinent leur vaste entreprise d’escroquerie. Alors il leur faut détourner l’attention de la grande masse des sans-voix, pour les empêcher de voir la vérité.
Ils détiennent la totalité des médias et des partis politiques, financent presque toute les recherches scientifiques, dirigent les organisations gouvernementales, possèdent toutes les multinationales, presque toutes les terres et, bien sûr, le pouvoir exclusif d’imprimer des bouts de papier. Alors leur tâche est relativement aisée.
Tout ce qu’il leur faut, c’est convaincre la masse des sans-voix qu’ils doivent s’en prendre les uns aux autres. Utilisant leur pouvoir de persuasion, ils parviennent à faire croire aux gens qu’ils sont divisés, en leur inculquant certains systèmes de croyance par le biais du système « éducatif », qu’ils contrôlent entièrement, et des universitaires et autres érudits en majorité sous leur coupe.
Parmi les outils qu’ils déploient tactiquement, on citera l’ultranationalisme, les dogmes politiques, l’intolérance religieuse, l’endoctrinement social, l’exceptionnalisme scientifique, et toute croyance qui encourage un groupe de sans-voix à s’imaginer qu’ils sont meilleurs que les autres.
Convaincre les sans-voix de tout voir sous l’angle du racisme est particulièrement efficace. Précisément parce que l’évidence montre à quel point les gens peuvent être racistes. La question est de savoir pourquoi les gens sont racistes. On ne naît pas raciste, alors comment le devient-on ? La réponse est la même depuis toujours : on apprend aux gens à le devenir. Ce « on » peut être les parents, l’école ou l’entourage. Le système est vraiment fantastique pour les puissants.
Quant aux puissants, peut-être sont-il racistes, peut-être pas. Ça n’a pas d’importance. L’Histoire nous enseigne qu’ils massacrent tout le monde sans distinction. La race ne semble pas entrer en ligne de compte quand il s’agit de décider qui va mourir et qui va vivre. Tout ça fait partie de leur stratégie sur le grand échiquier.
Une chose est certaine. Tant que nous, les sans-voix, n’arrêterons pas de nous accuser les uns les autres de tous les maux du monde, tant que nous ne réaliserons pas que nous sommes tous soumis à des forces mondialistes incroyablement pernicieuses qui se fichent de notre âge, ethnicité, genre, orientation sexuelle ou éventuel handicap, nous continuerons à etre exploités. Comme c’est le cas depuis toujours.
Tant que nous continuerons à bêtement tomber dans le piège du diviser pour mieux régner, nous sommes perdus. Le seul moyen de progresser vers un monde meilleur est de réaliser que nous sommes tous sous leur coupe, exploités tel du bétail, et de tourner notre regard vers les exploiteurs au pouvoir, au lieu de nous quereller avec les autres moutons.
Quelle que soit notre couleur de peau, nous sommes vraiment tous dans la même galère.
À propos de l’auteur
Iain Davis est un auteur, blogueur (qui contribue à 21stCenturyWire, UKColumn et d’autres grands sites d’informations) journaliste, chercheur et réalisateur de courts métrages. Il a créé le site In This Together. On peut suivre Iain sur Twitter, Steemit & MINDS. Ses vidéos sont disponibles sur YouTube, DTube et BitChute.
Traduction : SOTT
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)