Who Controls the Gates Family : un documentaire publié en mai 2020 par la chaîne Reallygraceful.
Sur Bain & Company, relire le texte de Pierre Jovanovic :
« Le déconfinement des Français est géré par l’américain Bain,
annexe bien connue du Mossad »
Marianne a publié un joli scoop en montrant que le ministère de la Santé du gouvernement Macron a offert la gestion du déconfinement au cabinet de management américain Bain & Company.
Cette information a littéralement sidéré les Français qui, comme vous et moi, se sont demandé le « pourquoi du comment »… On n’a pas assez de polytechniciens, d’énarques, de saint-cyriens, d’organisateurs de toutes sortes en France, qu’on soit obligés de payer des… Américains pour gérer quelque chose d’aussi stratégique que le déconfinement ???
La semaine passée, je me disais que le nom de cette compagnie me rappelait quelque chose. Et cela m’est revenu. Bain & Co a fait sa fortune dans le downsizing, entendez par là les licenciements massifs. Quand une multinationale ou une banque veut virer 3000 salariés ou plus d’un seul coup, elles font appel à Bain, exactement comme la fille que vous voyez au début du film Margin Call venant annoncer à chaque personne sur la liste ce qu’elle va recevoir comme chèque de départ tout en lui demandant de prendre toutes ses affaires perso et de partir dans la minute qui suit.
Et devinez qui a fait le plus souvent appel à Bain ? Une société que je connais bien et qui a toujours été ma boussole en terme de licenciements : IBM.
Bain s’est aussi occupé de virer les gens chez le géant de Las Vegas, MGM Resorts.
Bain s’occupe de tous les secteurs, de l’aéronautique à l’hôtellerie, en passant par la chimie, la banque ou la logistique. Il facture à coup de millions de dollars et ne prend pas de petits comptes. Quand il s’agit de virer 3000 personnes qui vont vous faire économiser 150 millions de dollars, leur prix sera de l’ordre de 20 à 30 millions de dollars.
Mais Bain est aussi connu pour escroquer les gouvernements comme en 2018 avec le service des impôts d’Afrique du Sud (SARS), que Bain était censé réorganiser.
Bref, les gens de Bain font du grand n’importe quoi, y compris détruire, entre autres, le système de perception des impôts d’Afrique du Sud avec des conseils bidons.
Si les activités de Bain sont, on va dire « classiques » dans le monde du privé, on n’arrive pas à comprendre comment le ministère de la Santé a décidé que la France était un pays du Tiers-Monde, n’ayant pas assez de diplômés, au point de confier le programme de déconfinement des Français à Bain & Company. Sans même parler du fait que, historiquement, la société a clairement des attaches claires avec le Mossad israélien. Et qui dit Mossad, dit efficacité radicale.
Aujourd’hui, la patronne de Bain & Co est toujours Mme Orit Gadiesh [photo], une ancienne cadre supérieur du… Mossad, elle même fille d’un général israélien ! Bravo au contre-espionnage de la DCRI qui n’a pas eu, a priori, d’objections, ou bien a été mise devant le fait accompli par Macron ou ses adjoints de donner un dossier ultra-sensible à une ramification du Mossad. Dingue !
Une fois que Bain est informé de toutes les magouilles d’une multinationale ou d’un gouvernement, plus moyen de s’en séparer. Comme un agent recruté par un service, la série Le Bureau des légendes d’Éric Rochant sur Canal+ le montre très bien.
Bain ne communique pas aux États-Unis sur son chiffre d’affaire mondial, et reste également dans le flou dans les autres pays dans la mesure des lois des sociétés et comptables. Ne vous trompez pas, vous êtes en face ici d’une multinationale aux cent bras, mais dont la tête est directement liée aux intérêts du Mossad.
Force est de reconnaître que cette ultra discrète extension des services israéliens est absolument remarquable. Il suffit de temps à autre de faire chanter les PDG ou d’en cibler pour les encourager ensuite à signer avec Bain & Co.
Pour toutes ces raisons, je trouve encore plus scandaleux et surtout HAUTEMENT suspect que des haut-fonctionnaires du ministère de la Santé aient donné la gestion du déconfinement de 60 millions de Français à cause du Covid-19 à Bain & Co. Clairement, certaines mains ont été « gentiment » encouragées à signer avec une société américaine plutôt que de confier le dossier aux officiers français (spécialité Effectifs) qui sont les seuls grands spécialistes en France de ce que l’on appelle « la montée en puissance des effectifs ».
Pierre Jovanovic
Et sur le mormonisme,
lire ces extraits de l’article de Slate (Attali, Rothschild, Graham) :
« Juifs et mormons : pourquoi ils s’aiment »
(…)
« Les mormons se considèrent comme des israélites modernes et comme les héritiers des promesses faites à Abraham, c’est pourquoi ils ont des affinités naturelles avec les juifs », explique Mark Paredes, un mormon originaire du Michigan, qui tient le blog Jews and Mormons pour la revue Jewish Journal of Greater Los Angeles.
(…)
L’Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours [c’est le nom officiel de la religion mormone ; nous l’abrègerons « SDJ »], elle, se présente comme « restaurationniste » par l’entremise de Joseph Smith, le fondateur du mormonisme. Elle ramène le christianisme à ses authentiques racines, préservées des atteintes de la philosophie grecque d’autres adjonctions profanes.
Bon nombre de ces racines sont clairement juives, même si la plupart des juifs ne le savent pas. Le Livre de Mormon dépeint les Amérindiens comme des Hébreux exilés de la Terre d’Israël vers l’an 600 avant J.-C. Les mormons s’identifient comme des descendants des tribus israélites d’Éphraïm et de Ménashé.
(…)
Le jour du sabbat mormon, les croyants (ou comme on les appelle parfois : la Maison d’Israël) sont encouragés à consacrer leur temps à étudier et à éviter de manipuler de l’argent. Les mormons appellent ceux qui ne sont pas des leurs les « Gentils ». L’Utah a eu son premier gouverneur « Gentil » en 1917, Simon Bamberger, un juif.
Dans le Livre de Mormon, Jésus condamne même avec prescience l’antisémitisme et la « théologie de la substitution », la doctrine chrétienne selon laquelle l’Alliance entre Dieu et le peuple juif est devenue caduque lorsqu’Israël a rejeté l’identité messianique de Jésus.
(…)
« Il n’y a aucun peuple au monde qui comprend mieux les juifs que les mormons », a un jour affirmé David Ben-Gourion, le fondateur et Premier ministre de l’État d’Israël, au futur président des SDJ, Ezra Taft Benson.
Les chefs religieux mormons ont embrassé les valeurs sionistes plusieurs décennies avant la naissance du mouvement national juif. En 1841, Joseph Smith envoya son « apôtre personnel », Orson Hyde, à Jérusalem. Ce dernier se rendit sur le mont des Oliviers pour implorer Dieu de « rétablir le royaume d’Israël, d’élever Jérusalem au rang de capitale et de constituer pour son peuple une nation et un gouvernement distincts ». Aujourd’hui, le parc Orson Hyde de Jérusalem se situe sur le lieu de cette prophétie, à quelques pas du Centre de Jérusalem de l’Université Brigham Young.
(…)
Quoique distendu, le lien est toujours là : de nombreux responsables politiques mormons « sont si pro-juifs que c’en devient presque embarrassant », affirme Stephen Richer, un sondeur de l’Utah, dans une chronique publiée dans le premier quotidien de Salt Lake City. Le sénateur républicain de l’Utah, Orrin Hatch, porte une mezouzah autour du cou et a souvent confié au New York Times qu’il « regrettait » souvent de ne pas être né juif :
« Les mormons considèrent que les juifs sont le peuple élu, conformément à ce que dit l’Ancien Testament. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour le peuple juif. » Le discours de Mitt Romney à propos d’Israël – un discours de soutien si ferme qu’il aurait pu être dicté par la Coalition juive républicaine – suggère que le mormon doit être fait du même bois.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation